Blog à Part : Portrait de Blogueuse #33

Salut mes polardeux ,

Aujourd’hui je reviens avec « mes ITW Blogueur »

Une rubrique qui a pris vie il y a  trois ans sur notre blog et que vous connaissez bien maintenant. 

D’ailleurs si vous êtes blogueur littéraire et que vous parlez aussi de polar, mais pas forcément que, sur votre blog, vous êtes les bienvenus. Un petit mail à [email protected] est le tour est joué.

Alors peut-être à bientôt.

En attendant place interview blogueuse de Camille

Blog à part : Portrait de blogueuse

La trente troisième blogueuse à être interrogée aujourd’hui c’est : 

Camille Meneghini

du blog Les Paravers de Millina

 

«ITW Blogueur

Ge : As-tu déjà participé à des interviews?

Camille :Oui, mais plutôt de l’autre côté du micro, même si je proposais toujours à l’auteur de me poser une question.

 

1ère Partie

Ge : Bonjour, es-tu prêt(e) à être soumise à la question?

Chaud les ballons, à fond.

Ge : Alors ici on va, je vais essayer de comprendre comment on en arrive à créer un blog et comment on anime celui-ci.

Mais avant cela je sais que mes lecteurs et lectrices sont curieux

Alors, peux-tu te présenter? Je veux tout savoir, ta scolarité, ton parcours pro, ton âge, oui je le demande même aux dames! Surtout quand elle aime le noir!

 Je m’appelle Camille, j’ai 25 ans. Je suis étudiante en Pharmacie 6iè année validée. Il me reste à rédiger ma thèse, et je serais enfin pleinement dans la vie active.

 

Ge : Dis-moi Camille, quelle place avait la lecture dans ton milieu familial?

Je fais partie d’une famille de grands Lecteurs mon grand-père lit entre 100 et 200 livres par an. Il lit quelques essais et sinon principalement de la SFF ou encore des polars. Ma tante en dévore aussi pas mal et varie les supports : mangas, bande dessinée, romans graphiques. Ma mère lit aussi pas mal. J’échange beaucoup avec eux. Mes cousines lisent peu à part la petite dernière, mais malheureusement je n’ai que peu l’occasion de partager ma passion avec elle.

Dans ma famille italienne, ce sont plus des moyens lecteurs, mais la littérature a toujours une place de choix. J’ai fait de belles découvertes grâce à eux.

 Ge : Comment abordait-on le livre chez toi?

La littérature était un moyen de m’aider avec la dyslexie. J’avais du coup un peu de mal, car elle était associée à une tare chez moi et la lecture était aussi un devoir. Et finalement, j’ai découvert la fantasy, j’ai commencé à dévorer les Harry Potter puis les quêtes d’Ewilan. Je m’y suis plongée et perdue. Ma tante m’a initié au polar avec la saga jeunesse Cherub. Mmmh, un délice cette saga. Je continue à parcourir tous ces genres et sortir de ma zone de confort.

 

Ge : Veux-tu bien me montrer ta/tes bibliothéque(s) :

Ge : Et m’expliquer comment elles fonctionnent, comment elles sont rangées?

J’ai une petite bibliothèque dans mon studio de 21 m2, difficile d’en avoir plus d’une, à cause d’un manque de place et j’ai des bouquins un peu partout chez mes parents. Le rangement passe surtout par un rangement par genre, pas d’ordre alphabétique chez moi. Chez mes parents, j’ai essayé de faire pareil. C’est un vrai capharnaüm surtout quand ma mère passe par là et pose un livre là où il y a de la place. Elle est maniaque pour le ménage et la décoration, mais les livres non, et moi c’est l’inverse haha.

 

Ge : Et le livre et la lecture pour toi c’est quoi?

Je cherche une échappatoire, une évasion, une quête d’aventure sans grand risque, un enrichissement personnel et une occasion d’apprendre en s’amusant.

 

Ge : Es-tu papier ou numérique?

Les deux. Je ne peux me passer du papier. J’aime tourner les pages, voir ma progression, sniffer le papier. L’odeur des vieux livres, une drogue sens effet secondaire et tellement plaisante. J’aime le numérique, car il est pratique, qu’il fasse 100 pages 1000 pages c’est le même poids et puis plus besoin de choisir quel livre mettre dans la valise. On a maintenant la possibilité d’emmener toute sa bibliothèque avec soi.

 

Ge : En parlant de bibliothèque, vas-tu ou es-tu allée en bibliothèque?

 Je vais en bibliothèque surtout pour les mangas, car c’est cher et ça se lit en 30 minutes et les bibliothèques de la Ville de Paris ont une sacrée collection. C’est un très bon rapport qualité prix, quand on sait que l’abonnement est gratuit.

 

Ge : Si oui qui as-tu trouvé, que t’ont-elles apporté?

J’y ai trouvé des gens sympas, des livres par millier et surtout des économies de places et d’argent non négligeable. J’effectue moins d’achats depuis que je suis en bibliothèque. Elle me permet aussi d’assouvir mon amour du papier.

 

Ge : As-tu une librairie attitrée? Une ou plusieurs d’abord. Une ou tu achètes tes bouquins?

 Pour le coup, pas vraiment… Ma première expérience en librairie indépendante a été assez moyenne. Une commande de livre, jamais arrivé. Je les ai relancés trois fois puis j’ai abandonné. Trop, c’est trop. J’ai retenté l’expérience avec la librairie de Colette dans la rue Rambuteau. Pour l’instant, le retour d’expérience est positif. Cette librairie ressemble à une bibliothèque bazar rangée avec des libraires souriants et professionnels. Une bonne expérience.

 

Ge : Où achètes-tu principalement tes bouquins. (Ça peut-être dans différent lieu, par exemple, moi c’est dans ma librairie de quartier, dans les librairies où je vais voir des auteurs, des librairies que je visite en vacances. Et aussi énormément sur les festivals et les salons où je vais. Parfois même c’est dans ma bibliothèque quand je reçois des auteurs… mais là c’est une libraire qui vient vendre les bouquins à la biblio pour l’occasion)

 Les numériques, je les achète principalement sur « kobo », car les fichiers sont très facilement récupérables. L’autre plateforme que j’utilise pour les mêmes raisons est « emaginaire ». Les livres physiques sont de plus en plus des cadeaux que je fais aux personnes de mon entourage. Le dernier, je l’ai acheté à la librairie de Colette pour mon père : « Le silence des Vaincues de Pat Baker ». Sinon, c’était souvent à Gibert Joseph ou la Fnac. Eh oui, je suis de ces lectrices, mais j’y ai mes libraires avec des conseils avisés.

2e Partie

 

 Ge :  Bon passons aux choses sérieux, tu es toujours prêt(e)?

 OUIIIII !

Ge : Combien de livres lis-tu par semaine, par mois, par ans?

 J’en lis autour de 80 par an avec une moyenne de 6 à 7 par mois en ce moment et une à deux par semaine.

Ge : Tiens-tu décompte précis de tes lectures?

 J’ai même fait un graphique, j’adore les statistiques, les camemberts.

  

Ge : As-tu une PAL?

 Oh oui, elle est assez conséquente.

 

 Ge : Combien de livres dans ta PAL?

497 livres heureusement principalement numériques, je dois en avoir qu’une vingtaine en physique, c’est une question de place.

 

Ge : Pour toi, c’est quoi ta PAL, quelles relations entretiens-tu avec elle? Comment la vis-tu?

 Amie ennemie : Parfois, elle me hante, car elle est trop grande et d’autrefois, je me réjouis, car j’ai le choix. Seulement, j’aimerais faire un peu moins d’achats compulsifs.

 

Ge : Alors…. Et le polar dans tout ça? Pourquoi tu en lis? as-tu un rapport particulier avec le genre. (J’entends par polar tout ce qui a attrait aux littératures policières, du roman de procédure, au roman noir en passant par tous les types de thrillers…)

 Le polar a été mon premier genre non imaginaire. J’aime, car je m’évade et que rien n’est facile. En général, il y a des conflits, des histoires de famille, de la haine du ressentiment et parfois aucune raison. J’aime le mélodrame. J’aime aussi les polars engagés sur des problèmes sociétaux : la délocalisation (les salauds devront payer d’Emmanuel Grand), l’immigration (Les vagues reviennent vers le rivage de Marie Xavier-Bonnot), l’esclavage moderne (Toutes blessent la dernière tue de Karine Giebel)… Bref, c’est une enquête avec un beau bonus.

 

Ge : dis-nous, quels sont tes auteurs favoris?

 J’aime Karine Giebel dans le genre thriller même si pour le gore, elle ne fait clairement pas dans la dentelle. Pour le polar, mon petit chouchou, c’est Charles Exbrayat, une plume pleine d’humour, un brin cliché, mais les fous rires qu’est-ce que c’est bon ? Pour ce qui est des feel-goods, j’adore Gilles Legardinier, mais pas pour ses polars.

 

 Ge : Peux-tu nous parler de 5 livres qui t’auraient marqué ces dernières années

 

  • Entre deux mondes d’Olivier Norek, c’est un roman angoissant captivant et terrifiant. Une histoire qui reflète quelqu’un de sensible et de profondément humain.

  • Et soudain, tout change de Gilles Legardinier : il me bouleverse, sa sensibilité, ses émotions tellement prenantes. Cette bande copain m’a touché en plein cœur.

  • Nos âmes tourmentées de Morgane Moncomble : la thématique santé mentale est vraiment très bien exploitée. Elle dit des choses justes, ses mots on a besoin de les entendre, les lire, se les approprier. C’était juste parfait.

  • La voleuse de livres de Markus Zusak est une histoire romancée, simple, belle sans prétention et avec un amour des mots. Ce roman m’a fait aimé un nouveau genre la fiction historique et ma réconcilier avec les mémoires de la Seconde Guerre mondiale.

  • Les petites filles de Julie Ewa est un polar intrigant, glaçant surtout quand on sait que cette histoire pourrait être vraie et multipliée par 1000. Brr, j’en ai des frissons.

Ge : Fréquentes-tu les festivals et autres salons… Si oui depuis quand?

 Avant le blog, 0 et il m’aura fallu 4 ans de blog pour participer à des événements littéraires.

Cette année, j’ai sauté le pas et fait un tour à la librairie Le Divan (dans le 15e arrondissement de Paris) pour rencontrer Olivier Norek et à Saint Maur en Poche où j’ai rencontré Sire Cédric, Valérie Perrin et Lorraine Fouchet. Je t’ai d’ailleurs vu de loin.

J’ai également participé à un Apéro polar organisé par Geneviève, enfin toi, sur les seriales Killeuses à la bibliothèque Parmentier présenté par Sacha Erbel et Cécile Pellault. Je ne connaissais pas les auteures qui faisaient la présentation. C’était une belle occasion pour les découvrir.

Ge : Que t’apportent ces salons, ces rencontres?

 Finalement, cela me permet de mettre un visage ou un sourire derrière une plume. C’est aussi apprendre à les connaître avant leur livre. C’est plaisant.

3e Partie Un blog? Pourquoi un blog?

 

  Ge : Nous voilà dans le dur, on va sans doute enfin comment pourquoi, et comment on en vient à créer un blog.

 J’en avais marre d’écrire sans retour et noyer dans le flux des réseaux comme booknode, ou Babelio… J’avais envie de créer quelque chose de bien à moi.

Ge : Alors dis-moi :  qu’elles ont été la motivation à la création de ton blog? Qu’est-ce qui t’a poussé à te lancer dans la création d’un blog?

 C’est très bête, mais je me suis juste dit, aller je peux le faire… Je me suis lancée pour me le prouver à moi-même, je pense avoir réussi le pari. J’ai une communauté des vues et c’est top.

 

Ge : Comment on choisit le nom de son blog?

C’est une question difficile. Il doit refléter le contenu, mais aussi le blogueur. Il ne doit pas être trop long ni trop banal pour marquer les esprits.

 Ge : Quelle est la date de création et l’origine du nom de ton Blog?

15 décembre 2017

A l’origine, il s’appelait Les univers parallèles de Millina, puis la contraction d’univers et parallèles a donné paravers, merci à ma meilleure amie et son idée d’ailleurs. Pourquoi cela ? Car je voulais parler de livre, mais pas que, écrire des recettes, vous montrer mes photos ou dessins…

 

Ge : J’aimerai une brève histoire pour expliquer comment a débuté ton blog ?

J’ai d’abord écrit quelques chroniques, programmées et j’ai attendu. J’ai eu deux trois vues rien d’exceptionnel, mais c’était du tangible. Je voyais qu’ils étaient lus.

 

Ge : Pourquoi l’avoir nommé ainsi 

Hihi j’ai déjà répondu !

 

Ge : Quel est le but de ton blog?

 Faire découvrir des livres, des auteurs, partager des avis, tenter mes lecteurs(rices), partager ma passion, mais aussi trouver de nouvelles idées de lectures.

 

Ge : Comment fonctionne celui-ci?

 Je poste régulièrement des avis souvent le mardi, mercredi, jeudi et vendredi. J’essaie également de faire découvrir des livres à travers des extraits à travers mes rendez-vous (Fragment de livre, le mardi sur son 31 et Premières lignes). Je range mes chroniques par ordre alphabétique des auteurs sur la page « Ma Bibliothèque », « Bdthèque » et « Mangathèque ».

Ge : Où trouves-tu ton inspiration pour écrire tes articles?

C’est souvent les livres qui m’inspirent. Si l’auteure fait des phrases courtes, j’en fais souvent dans ma chronique sur le livre. Après je pense qu’à force de lire les chroniques des autres, je m’inspire aussi d’eux.

Ge : Comment les prépares-tu?

Je commence par faire des mini-avis, puis je les étoffe sur un google doc. Je les rédige souvent le soir sur plus ou moins une heure. Je fais une relecture trois jours plus tard, puis correction avec mon ami antidote, préparation d’un extrait du livre et mise en page de l’article.

Ge : À quelle fréquence postes-tu et comment tu t’organises?

En moyenne trois chroniques par semaine et pour un total de 5 articles, je programme en général en fin de semaine pour le début de la semaine suivante. Parfois, je programme sur plus d’une semaine, mais c’est très rare.

 

Ge : Comment fais-tu la promotion de ton blog et de tes posts?

Je publie mes photos d’article sur Instagram (story ou publications), sur Facebook sur ma page et dans les groupes, sur Babelio et sur twitter. Je ne sais pas si ça marche.

 

Ge : : Combien de temps consacres-tu à ton blog par jour?

En moyenne d’une à deux heures par jour.

 

Ge : Que t’a-t-il apporté depuis sa création?

J’ai fait des lectures que je n’aurais sans doute jamais faites sans le blog. J’ai découvert de nouveaux auteurs. Je me suis challengée pour sortir de ma zone de confort. Sans le blog, je n’aurais jamais lu des livres autoédités. Je suis aussi devenue plus exigeante au niveau de mes lectures, je fais attention aux respects dans les romances. J’ai aussi des attentes plus importantes.

 

Ge : Qu’est-ce que ton blog a changé dans ta vie?

J’ai toujours une occupation et je m’éclate en écrivant. Je n’aurais jamais cru. Je suis fière, car j’étais un vrai cancre en français, ma bête noire. J’avais des notes en dessous de la moyenne et de beaux 0 en dictée. C’est un comble, un peu comme ce qu’écrit Daniel Pennac dans Chagrin d’école. Ma revanche scolaire n’est pas aussi puissante, mais c’est une belle victoire.

 

Ge : Quel est ton meilleur souvenir de blogueur?

Quand librinova m’a contacté pour un service presse en message privé, je me suis sentie flattée et quand j’ai été contacté par des auteurs (Tessa Nauvel, Michèle Beck et Linda Da Silva) pour chroniquer leur livre.

 

Ge : Peux-tu partager une anecdote avec nous, un truc rien qu’à toi! sur toi ou ton blog?

 La première fois que j’ai demandé des Services Presses sur Netgalley, j’en ai sollicité par dizaine. Je me suis dit : euh, de toute façon, ils me déclineront et non je n’ai eu que des réponses positives. Ça a eu pour résultat une longue liste de livres à lire avec une deadline et un petit coup de stress. J’avais même fait une bullet list.

Ge  :  Dirais-tu que tes habitudes de lecture ont changé depuis que tu tiens

Non à part mes microavis en cours de lecture et le fait que j’attends pour écrire mes chroniques pour le faire à froid, réfléchir et corriger les fautes d’orthographe. Un nouvel outil a fait son apparition d’ailleurs sur mon bureau d’ordinateur : Antidote, mon nouveau meilleur ami.

 

Ge  : Dis-moi quand on a un blog, on est beaucoup sollicité(e)? On a beaucoup de propositions? D’ailleurs quel genre de propositions? Et les SP, comment on les gère?

Je n’en ai pas beaucoup, c’est moi qui les sollicite sur Netgalley. J’ai eu quelques propositions ou des auteurs qui essaient de me vendre leur livre. Cependant, peu de maisons d’édition m’ont contacté en fait, il n’y a que Librinova.

 

Ge : Te considères-tu comme un influenceur? Pourquoi?

Dans mon microcosme, je suis suivie, mais pas tant que ça. J’ai assez peu de visibilité. Pour moi, pour être une influenceuse, il faut avoir des échanges avec ses lecteurs influencés leur lecture et avoir leur retour. Ce n’est pas encore le cas, mais peut-être dans l’avenir. Advienne que pourra.

 

Ge  : Quelle est pour toi la définition du bon blogueur?

Un bon blogueur est celui qui respecte les autres. C’est bien d’avoir une belle plume, mais l’on peut descendre en flèche un livre avec une belle écriture. Seulement, faire une critique constructive, c’est plus compliqué. C’est une démarche respectueuse de l’auteur et de son œuvre. Faire preuve de bienveillance est essentiel envers tout et tout le monde, même si, ce n’est pas le cas des autres.

 

 

Ge :  À ton avis : Quel est l’avenir des blogs dans l’avenir du livre?

Je ne sais pas, je ne suis pas encore Madame Irma. Je ne suis pas capable de prédire l’avenir, mais selon les maisons d’édition, Tiktok semble être le nouveau réseau social du livre. Personnellement, j’aime à croire que la vague Tiktok s’arrêtera, je n’aime vraiment pas ce réseau. Certaines personnes publient des vidéos de suicides ou les spectateurs invectivent celui qui a fait une tentative de suicide en essayant passé sous un train. Juste horrible et avec plusieurs millions de vues. Brrr !

 

Ge : Ne penses-tu pas que la blogosphère livresque sera saturée un jour

Non, car certains blogs naissent et restent sur la toile pendant de courtes périodes. De plus, nous ne sommes pas tant que ça. Et il y a un public avec plein de goût différent et chacun peut avoir son public selon moi.

 

Ge : Peux-tu donner deux conseils aux nouveaux blogueurs?

Écrire par passion plus que par notoriété

Et surtout sans pression, c’est une passion.

 

4e partie Instagram

 

Ge : Je crois que tu publies sur Instagram?

Oh oui !

Ge : Dis-moi qu’elle est la différence entre ces deux modes de partages? Le blog et Instagram?

Instagram, c’est plus du visuel et attiré un autre type de public, car il faut dire que wordpress n’a pas une super indexation sur google et que l’on se noie dans les marasmes d’internet. J’ai l’impression que sur Instagram on se noie moins. Le blog, c’est pour laisser libre cours à ma rédaction sans nombres de caractères limités. Le blog et Instagram n’attirent pas le même public, je ne sais pas ce que tu en penses ?

 

Ge Lequel préfères-tu? Et pourquoi?

Je préfère wordpress, car je me sens plus libre de la mise en page de mes articles. Sur Instagram, tout se résume à une image, le texte est optionnel et c’est dommage. J’ai la petite prétention que mon texte vaut quand même d’être parcouru.

 

Ge : Quel genre de public touche-t-on avec Instagram que l’on ne touche pas avec un blog?

Un public jeune !

 

Comment es-tu venue à Insta?

J’ai commencé mon Instagram il y a 3 ans, je me suis dit tu aimes prendre des photos alors poste-les sur Instagram et advienne que pourra.

 

Ge : À par la lecture et ton blog, tes réseaux sociaux, quelles sont tes autres passions dans la vie?

J’aime la photo, nager, le café, le thé et cuisiner parfois même si d’autres fois j’ai plus envie de commander chez le Chinois comme Lorelai et Rory dans Gilmore Girls. Je suis une fana de série TV.

 

Ge : Pour terminer, y a-t-il d’autres questions que tu aurais aimé que je te pose sur ton blog?

Et si oui, lesquelles, et peux-tu y répondre du coup!

Ouh la non ! la rafale de question a visé un peu partout.

 

Ge : Sinon… rien à ajouter?

Si merci pour l’interview et ta patience, car ma réponse à comme qui dirait tarder.

 

Ge : Tu es certain(e) que c’est ton dernier mot?

 Il semblerait que non.

 

Ge : Alors un petit coup de gueule. ET Un gros coup de cœur…? (Mais pas des livres, hein!)

Je fais des chroniques pour Netgalley et des maisons d’édition et je n’ai aucun échange, je ne me sens pas soutenu non plus. J’aimerais qu’ils nous donnent un peu plus de visibilité.

 

Ge : Ah et comme tu as un blog autour des polars, peux-tu répondre à cette dernière question : Que pensez-vous de l’évolution du roman noir-policier et thrillers en ce moment?

Je m’y perds, il y en a tellement, certains sont toujours pareils, la trame basique et rien ne ressort. Le genre policier et roman noir est loin d’être mon genre principal de cette année. Je n’en ai lu 11. D’autres sont des pépites, mais bon la production exponentielle de roman touche tous les genres.

 

Ge : Pour conclure : Que penses-tu de ces questions?

Je me suis fait un vrai brainstorming, c’était intéressant, c’est le retour à l’essentiel. J’adore être cuisiné, jusque-là, c’est moi qui cuisine les auteurs. J’aurais deux petites questions pour toi. L’interview est à la hauteur ? Et pourquoi m’avoir choisi ?

 

Ge :  Oui, je te rassure tu as été parfaite Camille. Et je t’ai choisi peut-être parce que tu es une femme femme fort sympathique et que j’aime bien ton blog. C’est aussi bête que ça chère Camille.

Alors…Merci à toi pour ces petites confidences, et à très vite sur collectif polar et sur Les Paravers de Millina

 

29 réflexions sur “Blog à Part : Portrait de Blogueuse #33

  1. Eh bien, 497 livres dans la pile à lire, c’est une bien belle pile ! 🤭 Le numérique est bien pratique dans ce cas c’est vrai. J’avais beaucoup apprécié le film La voleuse de livres, j’aimerais bien découvrir aussi le roman, merci pour ce rappel Camille. Et merci à vous deux pour cette chouette interview. ☺️

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  2. Ah, les paravers, je vois passer les chroniques du blog sur Livraddict 😉 J’aime bien sa mise en page, avec, en conclusion, une courte phrase pour résumer son ressenti sur le roman. Hélas, en modération Livraddcit, je la lis en diagonale, impossible de faire autrement 😉

    Aimé par 2 personnes

  3. J’adore échanger avec Camille et son blog fait partie de ceux que j’apprécie le plus visiter chaque jour. Je suis donc ravi de la découvrir davantage à travers ton intéressante interview et la passion de ses réponses 😉

    Aimé par 3 personnes

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