Le livre : Mémoire de Métal de, Alastair Reynolds, traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Benoît Domis. Paru le 8 septembre 2021 chez Bragelonne SF dans la collection Poche science-fiction. 6€90. (190 p.) ; 18 x 11 cm
Présentation de l’éditeur
Un vaste conflit, qui a englobé des centaines de mondes et de systèmes solaires, semble enfin toucher à sa fin. La soldate Scur peut commencer à envisager sa vie après la guerre, et penser à la famille qu’elle a laissée derrière elle. Mais la paix ne sera pas.
À la veille du cessez-le-feu, Scur est capturée par un criminel de guerre renégat et laissée pour morte dans les ruines d’un bunker. Lorsqu’elle reprend connaissance, elle se trouve à bord d’un vaisseau de transport de prisonniers qui a subi une terrible avarie. Les passagers, issus des deux camps, se réveillent d’hibernation beaucoup trop tôt. Leurs souvenirs, gravés sur des balles, sont tous ce qui les lie à un monde qu’ils ne reconnaissent plus. Et Scur va renouer avec son vieil ennemi, mais cette fois, pour un enjeu qui dépasse de loin sa propre vie.
L’auteur : Originaire du Pays de Galles où il habite encore aujourd’hui, l’auteur né en 1966, a mené de front l’écriture et une carrière d’astrophysicien, travaillant treize ans à l’Agence spatiale européenne aux Pays-Bas. A partir de 2004, il a décidé de se consacrer entièrement à l’écriture. C’est le roman, L’espace de la révélation, publié en 2000 qui l’a révélé comme auteur de « hard » SF et de space opera, premier volume du Cycle des Inhibiteurs. Sa trilogie Les Enfants de Poséidon (2012-2015) met en scène la conquête et la colonisation de l’espace, à partir de l’Afrique comme berceau des technologies nouvelles et des acteurs les plus déterminants.
Extrait (p47) :
«Nous manquions toujours cruellement d’informations sur notre situation dans son ensemble. Le système nerveux électronique du vaisseau ne répondait qu’en partie. Des pans entiers de lui-même et l’essentiel de l’univers extérieur lui échappaient.
Il était pourtant parvenu à nous traîner vaille que vaille en orbite autour d’une planète. Une orbite haute et stable, facile à maintenir presque indéfiniment, et qui ne nécessitait que quelques poussées d’ajustement automatique toutes les deux ou trois décennies.
Etions-nous là depuis si longtemps ? »
Super, j’ai bien envie de noter le titre !
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tu ferais bien, hihi 😉
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c’est presque fait 🙂
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Oh, c’est pas vrai ?
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J’hésite encore un peu, juste un peu… :p
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Non !!! Tu vas pas faire ça, hein ?
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Si, je vais le faire, je n’ai même pas encore eu le temps de lire « vengeresse » de ce même auteur
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Mais tu vas le lire, hein ?
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Je ne promettrai rien :p
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allez, s’il te plait ! (fit-elle avec son air de cocker !)
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Je te répondrai avec une tête de chat Potté… 😆
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Ok je m’entraine pour faire la tête du chat Potté 😆
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Non, non, c’est moi qui te fait la tête du chat potté 😆
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arrête je vais pas pouvoirs résister ;-/
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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