Aujourd’hui C’est un jour décalé sur Collectif Polar
C’est aussi une journée spéciale que nous offre Isabelle Villain.
Ce matin, Isa nous propose son avis sur Roland de Danino Garnault
Cet après-midi elle papotera avec l’auteur.
Allez c’est parti
Le livre : Roland de Danino Garnault. Paru le 26 janvier 2021 en autoédition. 7€90. (103 pages) ; 13 x 20 cm
4e de couv :
L’auteur a décidé de changer totalement d’univers pour ce texte qu’il a volontairement voulu court.
Porté par une plume tantôt émouvante, tantôt poétique, mais toujours bouleversante, il offre au lecteur un pan de sa vie, une fenêtre sur sa tendre enfance, tout en pudeur et sobriété.
« Roland » c’est la rencontre, certes éphémère, mais tellement belle entre un grand-père et son petit-fils. C’est le récit d’une complicité humaine, d’un amour filial.
Ce témoignage est aussi un testament du passé que l’auteur souhaite offrir à ses enfants.
L’auteur : Danino Garnault est né dans l’Yonne en 1969. Il vit actuellement à Orléans dans le Loiret, où il est fonctionnaire. Féru de lecture en général depuis son enfance, il a un penchant certain pour les polars et les thrillers. Après avoir composé des poèmes et des petits textes depuis le lycée qu’il garde pour lui, il se décide enfin, sur l’insistance d’une amie, à franchir le cap de l’écriture et surtout à dévoiler ses écrits aux autres. Après « Contrastes », « Fulgurances » et « Pulsions », ses premiers ouvrages, et après avoir participé à des recueils collectifs de nouvelles, Danino revient avec un nouveau récit différent, plus intimiste.
Extraits :
« 1914. La Grande Guerre. Mais y-a-t-il seulement de grande guerre ? Il y a juste des conflits dégueulasses prenant en otage les enfants des nations belligérantes. »
« Mon voyage s’achève. Encore une légère monter sur une petite route de campagne qui serpente à travers bois et champs et j’arrive à destination. Tanguy que l’asphalte continue d’arpenter la côte pour terminer en haut de la colline et pour rejoindre finalement Grandchamp, je bifurque sur la chaussée de droite qui descend doucement en direction de ce petit village de l’Yonne dans j’aperçois le panneau : LOUESME
Je m’autorise, lorsque la vie se fait trop pressante, ce pèlerinage sur les terres de mes ancêtres. C’est mon Saint-Jacques-de-Compostelle. (…) »
Jolie chronique, cette histoire est très touchante.
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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