Le livre : Le clan d’Éric Dupuis – Paru le 31 mai 2021 chez Caïrn éditions – collection Du noir au sud – 12.50 € (432 pages) ; 12 x 18 cm
4ème de couverture :
Le braquage du dépôt de la banque de France par un commando, provoque l’émoi dans le département du Pas-de-Calais. Membres d’un clan, ces hors-la-loi sévissent depuis des décennies sans qu’aucun service de police n’ait réussi à les stopper. Accompagnée de son adjoint Kaczmarek, la capitaine Bordas déclenche une traque à travers le pays, direction le Sud, mais perd leurs traces au viaduc de Millau. Sur le point d’abandonner, elle les « raccroche » en Catalogne… Magnifique région des Pyrénées-Orientales, propice aux retrouvailles, puisque le major croisera la route de ses anciens comparses, le détective privé Jean Dreux en planque près de la frontière Espagnole, et le capitaine Carpalès, en charge d’une enquête de meurtres dans le Vallespir…
L’auteur : Né en 1965, natif du Pas-de Calais, Eric Dupuis, puise dans son expérience de policier pour écrire ses polars. Conseiller technique pour le cinéma et la télévision, il est passionné par le Krav-maga, discipline qu’il enseigne depuis de nombreuses années.
Auteur valdoisien, Éric Dupuis a publié sept romans policiers. Son expertise dans la Police nationale comme major-instructeur le fait repérer par le milieu du cinéma où il devient conseiller technique et comédien sur les plateaux de tournage
(Julie Lescaut, Profilage ou Polisse de Maïwenn). Il finit par écrire ses propres romans dans lesquels les héros ne sont ni commissaires ni lieutenants, mais des hommes de terrains, des gardiens de la paix dans leurs uniformes bleus.
Extraits :
« – Vous les mecs, vous êtes bien tous pareils ! quand il s’agit des femmes, il faut toujours qu’elles fassent attention à ce qu’elles disent, à ce qu’elles mangent, à ce qu’elles font et même avec qui elles baisent ! Par contre, vous, vous pouvez vous permettre de roter, de péter, de picoler et de vous taper tout ce qui bouge, même des thons et des chèvres avec des bottes ! »« Agé de cinquante-huit ans, ancien légionnaire, et très sanguin, il est capable de tuer un homme avec ses mains pour un simple regard de travers. Son gabarit est si impressionnant et hors norme qu’il frôle l’indécence, tout en lui conférant une autorité naturelle. Une larguer d’épaules comparable à une armoire comtoise, des bras si épais que le tee-shirt souffre l’agonie, sans compter ses mains aussi fermes que des enclumes à vous broyer les doigts. Pour vous situer le bonhomme, les gens préfèrent le saluer de loin plutôt que de perdre l’usage de leurs mains ! »« La prison a le mérite de t’apporter deux notions indissociables pour la suite de ta vie. La première est de savoir profiter de ta liberté, une fois sorti, et la seconde, d’avoir assez de jugeote pour éviter d’y revenir… »
« Ils bossent [NDLR : les athlètes de haut niveau] tellement dur qu’après des heures de travail intensif, de contraintes musculaires, articulaires, le corps souffre et finit parfois par lâcher. Alors on les soigne juste le temps qu’ils puissent battre quelques records et puis, une fois qu’ils ont dépassé l’âge, ou que leur blessure est incurable, on les jette comme du linge sale … sans égard ni compassion. »
Rien que pour sa grande expérience, ça me tente de lire un de ses livres !
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Quelle belle idée que tu as là ma NAth
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Merci Danièle pour ce retour ! Je note ! 😉📚
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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Merci
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merci
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