Le livre : Le cri de Nicolas Beuglet. Paru en poche le 5 novembre 2020 en édition collector. 9€50. (557 p.) ; 18 x 11 cm
4eme de couv
Hôpital psychiatrique de Gaustad, Oslo. À l’aube d’une nuit glaciale, le corps d’un patient est retrouvé étranglé dans sa cellule, la bouche ouverte dans un hurlement muet. Dépêchée sur place, la troublante inspectrice Sarah Geringën le sent aussitôt : cette affaire ne ressemble à aucune autre…
Et les énigmes se succèdent : pourquoi la victime a-t-elle une cicatrice formant le nombre 488 sur le front ? Que signifient ces dessins indéchiffrables sur le mur de sa cellule ? Pourquoi le personnel de l’hôpital semble si peu à l’aise avec l’identité de cet homme interné à Gaustad depuis plus de trente ans ?
Pour Sarah, c’est le début d’une enquête terrifiante qui la mène de Londres à l’île de l’Ascension, des mines du Minnesota aux hauteurs du vieux Nice.
Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va lier son destin à celui d’un journaliste d’investigation français, Christopher, et découvrir, en exhumant des dossiers de la CIA, une vérité vertigineuse sur l’une des questions qui hante chacun d’entre nous : la vie après la mort…
Et la réponse, enfouie dans des laboratoires ultrasecrets, pourrait bien affoler plus encore que la question !
Inspiré par des découvertes et des événements réels,Le Cri renvoie à nos peurs les plus intérieures. Un thriller sur la folie des hommes et le danger d’une science dévoyée, transformée en arme fatale.
L’auteur : Nicolas Beuglet est romancier et scénariste.
Il a été présentateur, rédacteur en chef et directeur artistique en télévision (M6).
En 2011, il a publié un premier roman, « Le premier crâne », sous le nom de Nicolas Sker.
« Le cri » (XO éditions, 2016), son deuxième roman, est lauréat du Prix du Polar des Petits Mots des Libraires, du Prix du Roman Populaire et du Prix Nouvelles Voix du Polar 2018, catégorie roman français (Pocket).
Extrait :
Sarah jeta un œil sur le tableau de bord de son 4 × 4 : – 4 °C, 5 h 56 du matin, 36 km/h. Dehors, les rues recouvertes de neige ressemblaient à des canyons blancs d’où ne dépassaient que les rétroviseurs des voitures garées le long des trottoirs. Pas un passant ne s’était encore aventuré dehors, et de rares lumières commençaient à éclairer les fenêtres des appartements. Dans la lueur des phares, Sarah distingua le panneau indiquant la direction de la Sentralstasjon. Elle arrivait au lieu de rendez-vous convenu avec le légiste.
Il y a bien longtemps que j’ai lu ce livre et je me souviens de ce que j’y ai lu. Une idée étonnante, glaçante si inspirée de faits similaires ou réels. La folie des homme n’a aucune limite. J’ai lu un livre passionnant, cela je me souviens, haletant.
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Coucou Dame Gene,
Heureuse de vous retrouver ici. Et avec un joli petit avis en plus. Merci pour celui-ci…
J’en profite aussi pour vous faire une bise.
Ge
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Un très bon roman, atmosphère, suspense… glaçant, j’adore !
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ça c’est un cri du coeur Elisa ! 😉 😛
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Il est dans ma trop grande pal ! Bon dimanche
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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