Le livre : Barcelona de Daniel Sanchez Pardos. Traduit de l’espagnol par Marianne Million. Paru le 2 juin 2016 aux Presses de la Cité. 23€; (535 p.) ; 23 x 15 cm
4e de couv :
Après plusieurs années d’exil en Angleterre avec sa famille, Gabriel Camarasa regagne l’Espagne alors consumée par les luttes de pouvoir. Étudiant en architecture à Barcelone, il se lie d’amitié avec un élève un peu plus âgé que lui : Antoni Gaudí. Une personnalité insaisissable, d’une érudition étonnante, et qui a un penchant pour les disciplines ésotériques. Les deux jeunes gens deviennent vite inséparables.
Mais quand la vie tranquille de Gabriel se voit perturbée par un assassinat – dont on accuse son père, le directeur du journal tapageur Les Nouvelles illustrées -, le jeune homme en vient à douter de tout son entourage. À commencer par Fiona, la femme qu’il aime, et Gaudí. Pourquoi son ami connaît-il si bien les bas-fonds de Barcelone et ses habitants peu recommandables ? Que fait-il la nuit parmi eux ? Peut-il vraiment se fier à lui ?
Daniel Sánchez Pardos signe un thriller historique passionnant qui nous plonge dans le Barcelone bouillonnant de la fin du XIXe siècle et nous fait découvrir celui qui allait devenir l’un des architectes les plus inventifs de tous les temps, Antoni Gaudí. Fascinant.
L’auteur : Né en 1979, l’Espagnol Daniel Sánchez Pardos a été bibliothécaire pendant quinze ans. D Diplômé de l’Université de Barcelone, ce jeune écrivain espagnol se consacre désormais à l’écriture. Il a reçu de nombreuses récompenses parmi lesquelles en 2011, le Prix de la Tormenta du meilleur nouvel auteur pour son roman « Le quatuor Whitechapel » (2010).Barcelona est le premier de ses romans à être traduit en français.
Le post-it de Ge
Barcelona de Daniel Sanchez Pardos
Barcelone, 1874. Antoni Gaudi, étudiant en architecture, sauve la vie de Gabriel Camarasa lors de l’incendie des locaux du journal La Gazette du soir. Les deux hommes se lient d’amitié. Mais, l’honnêteté de la famille de Gabriel est mise en doute. Le père de ce dernier, directeur d’un journal concurrent, pourrait être l’instigateur de l’incendie. Antoni Gaudi décide de mener l’enquête.
Barcelone, 1874 : ses mystères, ses conspirations politiques, son architecte surdoué…
La faune interlope du Barcelone de la fin de 19e. Un Barcelone sombre à la limite du gothique.
Une ville où les intrigues politiques semblent légion. Une ville qui semble être en pleine mutation.
Et un Antoni Gaudi au mieux de sa forme. Dandy à souhait, jouant les détectives, usant de sa capacité de déduction tel Sherlock Holmes. Malmenant au passage le personnage central de ce roman Gabriel Camarasa.
Jouant avec un côté «Sidekick», Barcelona nous plonge dans une atmosphère barcelonaise fort bien documentée.
Action, mystère, histoire, humour, art et amour, il y a tout cela dans ce roman. Réalité et fiction se mélangent dans un Barcelone fascinant, plein de mystère et d intrigue.
C’est passionnant, foisonnant, fourmillant et populeux.
Un coup de cœur !
Nom de zeus, je le veux ! 😆
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Haha, un Gaudi en Sherlock et notre Belette fais des bons. Youki !!! 🙂
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Je ne fais pas des bonds, je fais juste des bonds… James Bond ? mdr
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Ah toi aussi !
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Voui !
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J’adore la couv! Si le contenu est aussi beau ça vaut le coup de se pencher dessus 😉
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Et oui, Julie en plus d’être un bel objet, ce titre est un excellent bouquin. Et ça ne gâche rien, hihi 😉
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C’est toujours un plus une belle couv 😉
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oui, ça joue beaucoup sur le reflex d’achat du lecteur.
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Parfois au détriment d’un bon contenu!
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Parfois, oui. La couv est le passport du livre. Une mauvaise couv est le lecteur passe à coté dune histoire potentielle. Alors quand contenant et contenu sont raccord, c’est le pied !
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😉
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😉
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