Le livre : Germania de Harald Gilbers.Traduit de l’allemand par Joël Falcoz.Paru le 19 mars 2015 chez Kero. 19€90 ; (421 p.) ; 24 x 16 cm.
Réédité en poche le 3 mars 2016 chez 10/18 dans la collection Grands détectives. 8€80 ; 480 p.) ; 18 x 11 cm.
Quatrième de couverture
Berlin, été 1944. De jeunes femmes sont retrouvées mortes, nues et mutilées, devant des monuments aux morts de la Première Guerre mondiale. Contre toute attente, le SS-Hauptsturmführer Vogler fait appel à Richard Oppenheimer, l’ancien enquêteur star. Pourtant Oppenheimer est juif et donc officiellement interdit d’exercer…
Tiraillé entre son quotidien misérable dans une «maison juive» et le confort que lui offre son nouveau statut, Oppenheimer est de plus en plus inquiet. Tous les indices pointent vers un assassin appartenant à l’élite nazie, si Oppenheimer échoue, son destin est scellé. Mais n’est-il pas encore plus dangereux de démasquer le coupable ?
Pendant les derniers jours du Reich, les tensions sont à leur comble…
L’auteur : Après des études de lettres anglaises et d’histoire, Harald Gilbers a travaillé comme journaliste pour les pages culturelles d’un magazine puis comme metteur en scène indépendant. Il vit près de Munich. Germania, son premier roman, a reçu l’un des plus prestigieux prix de littérature policière, le prix Friedrich Glauser. Harald Gilbers vient de faire paraître son deuxième roman.
Le post-it de Ge
Germania
Berlin, 1944, le 7 mai pour être précise, à la veille de l’armistice. Mais ça les protagoniste ne le savent pas encore.
Les corps de jeunes femmes sont retrouvés nus et mutilés, devant les monuments aux morts de la Première Guerre mondiale. Le SS Vogler fait appel à Richard Oppenheimer, un célèbre enquêteur. Mais celui-ci, d’origine juive, n’a officiellement pas le droit d’exercer. Découvrir le coupable pourrait s’avérer dangereux pour Oppenheimer. Tout indique qu’un officiel haut gradé pourrait être derrière tout cela. Notamment que les jeunes femmes aient été abusé sexuellement post mortem. Et que le sérial killer est particulièrement retors.
Quand on démarre la lecture de ce roman on ne peut pas s’empêcher de penser à la Trilogie Berlinoise de Philipp Kerr.
Harald Gilbers, avec Germania, fait une entrée particulièrement impressionnante dans le polar.
Il a inventé une histoire extrêmement captivante et la raconte avec passion. Le roman est captivant dès le début et maintient la tension jusqu’à la dernière ligne.
J’ai vraiment eu le sentiment de remonter le temps et de mettre rendu à Berlin à cette époque.
De plus, son flic, le commissaire Oppenheimer est très sympathique et on aimerait en savoir plus sur son histoire personnelle.
Et surtout on aimerait le retrouver très vite dans d’autres aventures.
Pour info Avec Germania, Harald Gilbert a été lauréat du prestigieux prix littéraire Glauser du meilleur premier roman policier en Allemagne.
Lire le début
La suite des aventures de Richard oppenheimer sortent en ce début mars.
Ce deuxième volet à pour nom Les fils d’Odin.
Et voilà l’intrigue : Berlin, début 1945. Tandis que la chute du Reich semble inévitable, Richard Oppenheimer, un ancien commissaire juif, craignant encore la déportation, mène une existence discrète. Lorsque son amie Hilde, une opposante au régime, est accusée du meurtre de son ex-mari, un SS impliqué dans les expériences humaines menées à Auschwitz, il se lance dans une enquête pour l’innocenter.
Oppenheimer ?? Un des scientifiques sur le fameux projet Manhattan ! La bombe H…
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Oui un homonyme 😉
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Ouf… 😉
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Mais c’est explosif quand même !
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Ouille, on va sentir le souffle de la grande explosion alors !
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Ben ça va nous amener une révolution tout ça !
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— C’est une révolte ?
— Non, Sire, c’est une révolution !
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Merci votre majesté pour cette citation.
RAS , sinon 😉
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Tout va bien, j’ai la tête bien sur les épaules ! mdr
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PTRD 😉 😉 😉
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« Bien dégagé derrière les oreilles » furent ses dernières paroles.
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Humour noir, j’adore !
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Moi aussi… les dernières paroles du Christ furent, « Un clou, vite, je glisse »…
Et si tu es sage, tu auras celles de Jeanne d’Arc.
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Je suis sage,
mais toi tu n’as plus de réserve parait-il !
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— Puisque vous ne m’avez pas crue, et bien, vous m’aurez cuite !! (©Jeanne d’Arc).
Non, je ne suis pas sage, j’aime les blagues à deux balles.
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Attention tout de même à celles qui sont recyclées. lol 🙂
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En litière pour chat ??
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Hein ? c’est quoi cette histoire !
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Je pensais qu’en parlant de « Attention tout de même à celles qui sont recyclées » tu parlais des cendres de la Jeanne d’arc… et j’ai revu la scène du film « mon beau-père et moi » où le mec avait fait tomber l’urne contenant les cendres de la mère de son futur beau-père et que le chat avait pissé dedans, la confondant avec sa litière… mais en fait tu parlais du recyclage des blagues à deux balles, ça m’apprendra à ne pas réfléchir ! MDR
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hahaha 🙂
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Mon esprit va loin…
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Et il est taquin ! 😉
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Voui.
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hihi 😉
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