le Pumpkin Autumn Challenge 2022, j’ai complété ma PAL

Hello mes polardeux,

Il y a quelques jours, une dizaine) je vous parlais du Pumpkin Autumn Challenge 2022

Aussi, aujourd’hui, j’ai décidé à la fois de changer de catégorie et du coup d’étendre ma PAL, de challenger ma PAL

 Allez je vous explique tout cela

 

Le « Pumpkin Autumn Challenge 2022 »

J’avais choisi de valider

« Une faim de Loup Garou »

ou peut-être

« ça s’appelle avoir les crocs » 

Et pour cela j’avais sorti de ma PAL  Un certain nombre de bouquins

Aujourd’hui je complète ma PAL

#PALduPAC

Il me manquait deux sous catégories

« Le portrait du mal » dans Automne Frisonnant

et

« Chante moi une chanson Sassenach » dans Automne Douceur de vivre

pour pouvoir valider…

« Un appétit de Goule »  = 12 bouquins, 3 pour chacun des 4 menus

Et bien j’ai trouvé ces deux bouquins

Voici donc ma nouvelle PAL 

L’Automne de l’Etrange

 

( déjà lu, chronique à venir en octobre)

« In the Dark I hear a call » La digue, Blackwater vol 2 de Michael McDowell

Black Water II

La digue

Tandis que la ville se remet à peine d’une crue dévastatrice, le chantier d’une digue censée la protéger charrie son lot d’imprévus : main-d’oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes… Pendant ce temps dans le clan Caskey, Mary-love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d’Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer. Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis.

À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.

 

 

 

 

« In the Dark I hear a call » : Prenez-moi pour une conne, Guillaume Clicquot

Je m’appelle Orane de Lavallière, j’ai 58 ans, j’ai sacrifié tous mes diplômes pour me dévouer à ma famille et à la réussite de mon mari, Xavier.

Ma mission de mère au foyer accomplie, ce salopard m’a quittée pour une jeunette. Il m’a prise pour une conne et vous aussi, je présume.
Je ne vous blâme pas, car vous avez raison. C’est une histoire banale. Mais moi, je n’ai rien vu venir, endormie par mon confort de vie et aveugler par mes certitudes de petite bourgeoise naïve et coincer. Xavier m’a détruite, je me suis relevée. Pourtant son souvenir m’obsède, son existence me ronge. Je me sens impuissante. A moins

 

 

 

(Chroniqué et déjà lu)

«Soit vent, rêve, cendre et néant. Soit nuit, noir, âme et souhait» : La mort est parfois préférable, Sacha Erbel

Yan est flic à la police judiciaire de Lille.
Depuis quelque temps, un « passager clandestin » s’est invité dans sa vie : « l’Araignée », c’est le surnom qu’elle lui a donné.
Alors que Yan traque l’auteur du meurtre d’un journaliste connu pour ses reportages à sensation, elle n’a pas d’autre choix que de composer avec son « invisible ennemie » : insidieuse, omniprésente, l’Araignée tisse sa toile, cuisante morsure dans ses chairs survenant n’importe où, n’importe quand…
En parallèle, Brath, son collègue, enquête sur la mort étrange d’un homme retrouvé décapité, assis au volant de sa voiture, la tête reposant sur la banquette arrière.
En équilibre sur un fil, Yan ne baisse pas les bras, avance sur son chemin de douleurs au risque de se perdre… définitivement.

 

 

(En lecture)

« La cueillette des champignons » :  Et la forêt brulera sous nos pas de Jens Liljestrand

Au plus fort de l’été, alors que de nombreux Suédois aisés sont en vacances, de gigantesques feux de forêt se déclarent. Dans cette situation apocalyptique, la région se mue en une véritable zone de guerre et les autorités peinent à faire face. Didrik, consultant médias, est pris dans le cataclysme avec sa famille, mais semble autant préoccupé par ses tweets en direct que par le destin des siens.

Courage, lâcheté, indifférence, colère, comment réagissons-nous face à ces crises qui nous dépassent ? Sommes-nous, aujourd’hui, capables de modifier profondément nos modes de vie ? En suivant quatre personnages qui incarnent chacun une réaction différente face à la catastrophe qui vient, Jens Liljestrand livre avec ce roman saisissant une salutaire mise en garde. L’humanité ne dispose que d’une planète, et chaque individu n’a qu’une vie. Dès lors, que choisissons-nous d’en faire ?

 

 

L’Automne Frissonnant

 

(Chroniqué et déjà lu)

« Gost Hunt » : Le faussaire de Salt Lake City : meurtres et manigances chez les mormons, Simon Worrall

 

La limite entre le vrai et le faux est parfois floue. Pas celle entre la vie et la mort.

Comment devient-on un faussaire ? L’enfance de Mark Hofmann a été rythmée par les textes mormons. Alors qu’il est adolescent, et a accès à des livres critiques sur son Église, sa foi se fissure. Se sentant trompé, il se transforme en usurpateur. Il commence par fabriquer de faux documents, d’abord pour moquer les hauts dirigeants mormons, puis enhardi par son succès, il rédige de faux poèmes d’Emily Dickinson. Mais pris au piège de sa propre folie, il finit par commettre l’irréparable.

Simon Worrall revient sur cette trajectoire effroyable et nous montre à quel point la vérité est parfois construite de toutes pièces.

 

 

(Lu mais pas encore chroniqué)

« Gost Hunt » : Les masques éphémères, Donna Leon

Au Campo Santa Margherita un doux soir d’été, deux étudiantes américaines partent en balade dans la lagune avec deux beaux Vénitiens et sont grièvement blessées dans un accident de bateau.

L’incident semble anodin, mais la curiosité du commissaire Guido Brunetti est piquée par le comportement des garçons, qui ont abandonné les victimes à l’entrée de l’hôpital. Le commissaire en est certain, ces deux suspects ont un secret à protéger.

Aidé par sa collègue Claudia Griffoni, Brunetti découvre un vaste réseau de corruption où des bateliers véreux sont impliqués dans un sinistre trafic nocturne. Brunetti va devoir travailler de pair avec la Guardia Costiera en sillonnant les canaux sombres et sinueux de la ville pour faire éclater cette affaire au grand jour.

La trentième enquête du commissaire Brunetti est un véritable tour de force sur le crime organisé vénitien.

« Gost Hunt » : Brooklyn requiem, Ken Bruen

Il est brillant, séduisant et froid. De son chapelet vert il étrangle les femmes, leur long cou blanc comme celui des cygnes, mais il ne s’en souvient pas. Cet homme est irlandais, il s’appelle Matt O’Shea. Il est flic et il rêve d’Amérique.

Sélectionné pour un échange entre polices, il débarque à Brooklyn, au NYPD. Sa personnalité clivée doit composer avec Kurt, alias Barka, un pit-bull en uniforme ripou jusqu’à l’os – son coéquipier. Mais Kurt a une soeur, une fille superbe, légèrement attardée…

Matt est lâché, l’enfer va se déchaîner…

 

 

 

 

(Bientôt en lecture)

« Des sakuma drops au milieu des lucioles » :  L’affaire de l’île Barbe de Stanislas Petrosky

Janvier 1881, on découvre sur les bords de la Saône, le cadavre d’une femme mutilée. Les restes sont transportés sur la morgue flottante de Lyon, où ils seront autopsiés.
C’est pour Ange-Clément Huin le début d’une grande aventure aux côtés de son maître, le profes- seur Alexandre Lacassagne.
Comment cette mauvaise graine, cet Apache, est devenu le fidèle auxiliaire d’un des plus grands pontes de la médecine légale, c’est ce que vous découvrirez dans ce premier carnet secret.

 

 

 

 

 

 

(La nouvelle)

« Des sakuma drops au milieu des lucioles » Agatha : la vraie vie d’Agatha Christie

Saviez vous qu’Agatha Christie a elle-même organisé sa propre disparition pour punir un mari infidèle, qu’elle n’a eu de cesse de voler, de faire du surf, qu’elle a voyagé en Irak, en Egypte, n’imaginant pas de limite à sa liberté. Indéniablement Dame Agatha nous est familière, et sa reconnaissance internationale. Pourtant qui connaît le vrai visage de la Duchesse de la mort ? Loin de n’être que cette bourgeoise conservatrice à l’embonpoint sympathique, coupable de romans policiers populaires, la vénérable Anglaise était avant tout une femme moderne, complexe et secrète. Un personnage bien plus énigmatique que tous ceux qu’elle a inventés !
Agatha Christie, une femme libre propose d’appréhender les multiples facettes de la reine du whodunit. D’explorer sa part d’ombre, son univers crypté, et ses fascinantes mille et une vies…

 

 

 

(Le nouveau)

« Le portrait du mal » L’inspecteur Dalil à Beyrouth, Soufiane Chakkouche

De retour à Casablanca, l’inspecteur Dalil est envoyé d’urgence à Beyrouth, pour enquêter sur le meurtre d’une jeune chanteuse marocaine retrouvée dans sa chambre d’hôtel, la gorge tranchée.

Mais ce n’est là qu’un alibi. Il est en réalité chargé d’une mission classée secret défense, capitale et bien plus dangereuse. Il s’agit de localiser des missiles iraniens détenus par le Hezbollah sur le sol libanais.

Sur place, le contact de Dalil est la délicieuse Nabila l’Égyptienne, alias la Chatte, agent dormant des services marocains au Moyen-Orient.

Toutefois, afin de mener sa mission à bien en toute sécurité, Dalil préfère embaucher comme guide le petit Rafik, un gamin débrouillard et réfugié syrien.

Mais l’enlèvement de Rafik par Abou Jâafar – un autre prétendant aux missiles – va lourdement compliquer la donne. Une course contre la montre s’engage alors…

L’inspecteur Dalil s’en sortira-t-il vivant ?

 

« Le portrait du mal » : La femme congelée, Jon Michelet

Dans La Femme congelée, le premier roman de Jon Michelet à être traduit en français, l’inspecteur Thygesen est maintenant rangé des affaires. Cependant, un cadavre de femme ayant été découvert dans son jardin, il se retrouve mêle à une enquête dont les ingrédients sont des bandes de motards, un trafic d’amphétamines, la nouvelle mafia des pays de l’Est, le milieu de la police norvégienne et les magouilles des politiciens locaux, un inquiétant cocktail d’où il ressort à l’évidence que la Norvège n’est plus épargnée par les maux des sociétés contemporaines.

Ce livre a valu à Jon Michelet de recevoir pour la deuxième fois le Grand Prix norvégien de la littérature policière (2001). On notera aussi que plusieurs de ses romans ont été portés à l’écran et traduits en une dizaine de langues.

 

 

 

 

« Le portrait du mal » : La traque, Muriel et Patrick Spens

Pourquoi le célèbre romancier anarchiste Larsen, exilé au Mexique, n’a-t-il plus écrit de livres après 1940 ?

Pourquoi les seuls otages fusillés par le gouvernement communiste de Munich en 1919 appartenaient-ils tous à une société secrète dont les principaux membres inspirèrent ensuite son programme d’extermination à Adolf Hitler ?

Pourquoi Rudolf Hess, le dauphin d’Hitler, a-t-il gagné en avion la Grande-Bretagne au printemps 1941, avant le déclenchement de l’opération Barbarossa ?

Pourquoi Jacques Doriot, ancien communiste devenu chef du Parti populaire français collaborationniste, a-t-il été mitraillé dans sa voiture, en 1945, par des avions de chasse non identifiés, sur une route du sud de l’Allemagne ?

L’enquête menée à Paris au début de l’été 1942 par un inspecteur français à la suite de l’assassinat d’un officier SS conduit sur la piste de quelques-uns des aspects les plus mystérieux de la Seconde Guerre mondiale.

Un thriller historique qui fait revivre, sous les traits de Larsen, l’écrivain B. Traven, l’inconnu le plus fameux des annales littéraires du XXe siècle.

Ce roman, par son intrigue aux multiples rebon

 

 

 

L’Automne Rayonnant

 

Tous les sous genres me vont :

« We’re all born naked, the rest is drag »: La famille de l’Hiver et le Roi Fée d’Elisabeth Ebory

Chaque nuit, son bien-aimé le sauve des flammes d’un dragon et pourtant, Marcus ignore son identité.

Condamné pour son homosexualité, le jeune magicien s’exile d’un XXe siècle étriqué en compagnie de son amie de toujours, la fée Orégane, à la recherche de ce héros mystérieux dans les terres du Sidh.

Pour découvrir enfin leur place, les deux parias devront vaincre la méfiance du peuple féerique et de son roi insaisissable, apaiser des spectres furieux et déjouer les manigances d’une menace oubliée et, surtout, affronter leur propre part de ténèbres.

Entre quête d’amour et d’identité, de destin individuel et collectif, la féerie se heurte aux tourments contemporains au cours d’un récit épique et enivrant.

 

« We’re all born naked, the rest is drag » : Nuages Baroques, Antonio Paolacci, Paola Ronco

À Gênes, un jeune étudiant en architecture est retrouvé battu à mort au petit matin, non loin de l’endroit où se tenait une fête en soutien à l’union civile des homosexuels, nouvellement adoptée. Le sous-préfet de police adjoint Paolo Migra arrive bientôt sur les lieux. Aidé de l’inspecteur en chef Caccialepori, efficace mais toujours plus ou moins malade, et de la volcanique assistante Santamaria, il s’intéresse à l’oncle du jeune homme, un célèbre architecte qui l’a adopté après la disparition mystérieuse et subite de ses parents.

Dans un milieu policier réactionnaire, Migra ne craint pas de s’afficher comme gay et le sort de la victime le touche. La thèse du crime homophobe semble s’imposer mais l’affaire se révélera encore plus noire et complexe que ne le pensait le sous-préfet.

 

« We’re all born naked, the rest is drag »: Nos identités, celles qu’on nous impose celles qu’on cache : 6 histoires qui font la part belle à la diversité

Voici nos identités. Elles étaient gommées, bafouées ou méprisées. On nous avait rendu•e•s invisibles, inaudibles. Nos voix éclatent ici.

À votre tour, faites entendre la vôtre pour que les diversités jaillissent !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« you cannot eat the money »: Climax De Thomas B. Reverdy

Climax

C’est une sorte de village de pêcheurs à l’extrême nord de la Norvège. C’est là que tout a commencé : l’accident sur la plateforme pétrolière, la fissure qui menace le glacier et ces poissons qu’on a retrouvés morts. Et si tout était lié ?

C’est en tant qu’ingénieur géologue que Noah, enfant du pays, va revenir en mission et retrouver Anå, son amour de jeunesse, ainsi que les anciens amis qu’il avait initiés aux jeux de rôle. Il était alors Sigurd, du nom justement de cette maudite plateforme.

Avec Climax, Thomas B. Reverdy réveille le roman d’aventures en lui offrant une dimension crépusculaire et contemporaine, puisque désormais les glaciers fondent, les ours meurent et l’homme a irrémédiablement tout abîmé. Heureusement, il reste la fiction pour raconter cette dernière aventure, celle de la fin d’un monde.

 

« Le don des Merriwick » : La cité des nuages et des oiseaux d’Anthony Doerr

Un manuscrit ancien traverse le temps, unissant le passé, le présent et l’avenir de l’humanité.

Avez-vous jamais lu un livre capable de vous transporter dans d’autres mondes et à d’autres époques, si fascinant que la seule chose qui compte est de continuer à en tourner les pages ?

Le roman d’Anthony Doerr nous entraîne de la Constantinople du XVe siècle jusqu’à un futur lointain où l’humanité joue sa survie à bord d’un étrange vaisseau spatial, en passant par l’Amérique des années 1950 à nos jours.

Tous ses personnages ont vu leur destin bouleversé par La Cité des nuages et des oiseaux, un mystérieux texte de la Grèce antique qui célèbre le pouvoir de l’écrit et de l’imaginaire.

Et si seule la littérature pouvait nous sauver ?

 

« Le don des Merriwick » : Fata Morgana, Chika Unigwe

L’offre est brute, directe : C’est 30 000.

30 000 euros pour quitter Lagos et le désespoir qui tue.

30 000 euros pour atteindre l’Europe débordante de richesses. Une dette à laquelle s’ajoute le loyer qu’il faut rembourser par mensualités en travaillant dix heures par jour dans une rue du quartier chaud d’Anvers. Sisi, Ama, Efe et Joyce ont quitté le Nigeria, animées par cette volonté universelle : survivre pour se construire une vie meilleure. En attendant, elles partagent un modeste appartement et rejoignent chaque soir les vitrines du quartier rouge, les yeux rivés sur les promesses de l’Europe.

Mais soudain, le meurtre brutal de Sisi fait voler en éclats la routine et les silences. Et c’est toute leur histoire qui surgit alors des profondeurs de l’humanité.

Dans ce roman haletant et débordant d’une énergie vitale, Chika Unigwe raconte avec verve, grâce et passion la trajectoire de ses héroïnes malmenées par la vie, mais bien décidées à prendre leur avenir en main. Elle livre ainsi un regard rare sur la migration au féminin, le prix du déracinement et la brutalité du rêve occidental.

L’Automne Douceur de Vivre

 

(Déjà lu mais pas encore chroniqué)

« La maison Slangsters » : Avec Yoga Cartel de Erwan Marinopoulos

Sandra, jeune prof de yoga, assiste au meurtre de l’homme qu’elle aime par des policiers corrompus.
Malheureusement pour elle, ces mêmes policiers travaillent avec l’inspecteur en charge de l’affaire. Elle va donc devoir mener l’enquête de son côté dans l’univers très secret des diamantaires, accompagnée de la maîtresse de son mec!
Ce duo improbable, femme et maîtresse, va devoir unir ses forces dans ce road-movie sans temps mort jusqu’au point final!

 

 

 

 

 

 

(Dans ma PAL mais bientôt en lecture)

« La maison Slangsters » : Avec Des meurtres qui font du bien de Karsten Dusse

On vous le promet : pas un livre ne vous détendra autant cette année !

Vous êtes anxieux, tendu, surmené ? Vous êtes décidé à lever le pied, à prendre enfin du temps pour vous ?

La méditation de pleine conscience est ce qu’il vous faut.

Sous la pression de sa femme excédée d’avoir à supporter un mari trop stressé, Björn Diemel a résolu de sauter le pas et de consulter un coach. Il espère mettre fin aux tensions qui l’habitent et retrouver la paix intérieure.

Mais quand, comme lui, on est avocat du crime organisé et que notre principal client est un mafieux aussi dangereux qu’imprévisible, il est parfois difficile de dire stop et de se débarrasser de ce qui nous encombre.

À moins de trouver une solution vraiment radicale… pour éliminer tout ce qui nuit à notre sérénité. Et enfin profiter du moment présent.

Ce thriller contemplatif, désopilant et explosif, premier volume des aventures de Björn Diemel, a été un véritable phénomène éditorial en Allemagne, où il est resté pendant plus d’un an en tête de la liste des meilleures ventes du Spiegel. Bientôt adapté par Netflix, il a donné naissance à un genre nouveau, mêlant crime et bien-être. On vous le promet : pas un livre ne vous détendra autant cette année !

 

(Chroniqué et déjà lu)

« Il n’y a jamais trop d’épices dans ma Pumpkin Pie » : On était des Loups de Sandrine Collette

Ce soir-là, quand Liam rentre des forêts montagneuses où il est parti chasser, il devine aussitôt qu’il s’est passé quelque chose. Son petit garçon de cinq ans, Aru, ne l’attend pas devant la maison. Dans la cour, il découvre les empreintes d’un ours. À côté, sous le corps inerte de sa femme, il trouve son fils. Vivant.

Au milieu de son existence qui s’effondre, Liam a une certitude : ce monde sauvage n’est pas fait pour un enfant. Décidé à confier son fils à d’autres que lui, il prépare un long voyage au rythme du pas des chevaux. Mais dans ces profondeurs, nul ne sait ce qui peut advenir. Encore moins un homme fou de rage et de douleur accompagné d’un enfant terrifié.

Dans la lignée de Et toujours les Forêts, Sandrine Collette plonge son lecteur au sein d’une nature aussi écrasante qu’indifférente à l’humain. Au fil de ces pages sublimes, elle interroge l’instinct paternel et le prix d’une possible renaissance.

 

 (Le presque nouveau, puisqu’une relecture)

« Chante moi une chanson Sassenach » Hobboes, Philippe Cavalier

Ravagée par une supercrise, l’Amérique doute et vacille. Des millions d’exclus prient pour un avenir meilleur aux marges de ses villes. Des frontières du Canada à celles du Mexique, rumeurs et légendes s’échangent sur les routes. Parmi les hobboes, les vagabons, on parle d’hommes doués de pouvoirs surnaturels et d’un guide promis à venger les humiliations des pauvres. On parle de révoltes et de NovAmerica, le monde d’après la prochaine révolution. On parle surtout d’un homme capable, à lui seul, de changer le destin de tout un peuple…

 

 

 

 

 

 

« Chante moi une chanson Sassenach » L’aigle noir, de Jacques Saussey

Un sorcier vaudou qui décide de fonder une obscure église loin de son Togo natal. Un homme qui meurt dans une terrible attaque de requin. Une petite fille qui se replie sur sa détresse de jour en jour. L’île de la Réunion, malgré ses paysages entre lagons turquoise et montagnes luxuriantes, n’a rien du paradis auquel Paul Kessler s’attendait. Pourtant, cet ex-commandant de police n’aspirait qu’à un peu de tranquillité jusqu’à sa rencontre, à Toulon, avec Hubert Bourdonnais.

Deux ans plus tôt, ce riche industriel a quitté son île en confiant la direction de la vanilleraie familiale à Pierre, son fils unique. Mais celui-ci est décédé dans un crash d’hélicoptère il y a peu. Et si la gendarmerie a conclu à un accident, Hubert Bourdonnais, lui, ne croit pas à cette thèse. Face à ses doutes, Kessler a alors accepté de mener l’enquête, sans imaginer qu’il serait confronté à une réalité bien sombre…

Voilà maintenant j’ai jusqu’au 4 décembre pour valider ce super Pumpkin Autumn Challenge 2022

#PALduPAC

Et vous vous participer à ce PAC ?

Et vous en êtes où dans votre Challenge ?

 

19 réflexions sur “le Pumpkin Autumn Challenge 2022, j’ai complété ma PAL

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