Le livre : L’enfant invisible de Cornelia Read. Traduit de l’américain par Laurent Bury.Paru le 4 mai 2011 chez Actes Sud dans le collection Actes noirs. 23€40 ; (407 p.) ; 25 x 15 cm
Réédité en poche par Babel le 6 avril 2016. 9€90 ; (515 p.) ; 18 x 11 cm
4e de couv :
Madeline Dare, la jeune héroïne délicieusement cynique de L’Ecole des dingues, accepte d’aider une cousine à nettoyer le cimetière familial laissé à l’abandon depuis des décennies. La végétation a tout envahi et recouvre indifféremment les tombes de ses ancêtres et les sépultures sans nom des esclaves enterrés auprès d’eux. Mais, en débroussaillant, la jeune femme fait une sinistre découverte : un tout petit squelette à la cage thoracique défoncée. L’autopsie révélera que l’enfant noir de trois ans a été tué à coups de poing. Bouleversée mais déterminée à ce que justice soit rendue, Madeline décide de suivre l’enquête de près. Elle ne se doute pas que l’écho de son propre passé va entrer en résonance avec la destinée macabre du pauvre enfant.
L’auteur Née à Cornelia Read est issue d’une vieille famille américaine qui a connu des jours meilleurs. Elle grandit dans un milieu hippie, en Californie.
Elle se définit comme une « rescapée » de son milieu social WASP.Après l’université, elle devient journaliste. Une période de chômage la voit atterrir plus ou moins par hasard dans un atelier d’écriture de polars où elle commence à écrire en reprenant un fait divers réel dont son entourage lui a parlé et qui n’a jamais été résolu : cela donnera Champs d’ombres.
Cornélia Read a connu un jolie succès avec son premier roman «Champs d’ombre» (Actes noirs, 2007) roman finaliste de nombreux prix, dont l’Edgar Award. Deux ans plus tard, elle récidive avec «L’école des dingues» paru chez Actes Sud.
Extrait :
« Les gamins des villes savent que les terrains vagues envahis par les broussailles abritent toutes sortes de bêtes dangereuses : des chiens féroces, des rats gros comme des blaireaux, avec de longues dents jaunes et tordues.
Et un grand terrain comme celui-ci devait également héberger toutes sortes de gens dangereux. »
Je viens de me l’acheter 🙂
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Rhaaaaaaaa, Julie, tu es définitivement incurable. Ton addiction aux livres est plus forte que toi. Mais je te comprends, c’est une drogue qui te fait voyager assez loin . 😉
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Oui c’est une douce addiction 🙂 ma fille m’a dit « maman ce sont les livres qui t’habillent 😉
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Rhoooo, c’est joli comme définition ! Sauf si elle sous-entendait que tu était mal fringuée ! lol 😉
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😂😂😂 na j’ai pas assez pour elle 🙂
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Pas assez de livres ? C’est ça Julie ?
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Na pas assez de vêtements 😉
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Rhaaaa ces fille ! hihihi 🙂
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🙂 oui un peu notre opposée et notre reflet 😉
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Pas faux ! 🙂
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😉
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