Le livre : Celui dont le nom n’est plus de René Manzor. Paru le 22 mai 2014 chez Kero.20€ ; (390 p.) ; 24 x 16 cm
4e de couv :
Londres, au petit matin. Sur une table de cuisine, gît un homme vidé de ses organes. L’assassin est une vieille dame à la vie exemplaire. Pourquoi cette femme a-t-elle sacrifié l’homme qu’elle a élevé comme un fils ?
Elle est incarcérée. Pourtant, le lendemain, un autre homme est tué de façon similaire. Par la personne qui l’aimait le plus au monde. À chaque fois, les tueurs, qui ne se connaissent pas, laissent derrière eux la même épitaphe écrite dans le sang de leur victime :
Puissent ces sacrifices apaiser l’âme de Celui dont le Nom n’est plus…
Trois destins vont se lier autour de ces meurtres incompréhensibles : ceux de McKenna, vétéran de Scotland Yard, de Dahlia Rhymes, criminologue américaine et de Nils Blake, l’avocat de ces coupables qui ressemblent tant à des victimes. Trois destins, et trois vies détournées à jamais de leur cours.
L’auteur : René Manzor est scénariste, réalisateur, et écrivain. Né avec le goût de construire des histoires, René Manzor a d’abord donné corps à cette envie au cinéma. Ses deux premiers films, Le Passage et 3615 Code Père Noël, le font remarquer par Steven Spielberg qui l’invite à Hollywood. Voilà le jeune Français lancé à Los Angeles, scénariste et réalisateur, ghost writer pour les grandes productions. Dans les années 2000, René Manzor quitte les États-Unis et renoue avec le cinéma français (Dédales). En 2012, son premier roman, Les Âmes rivales, a révélé une plume au rythme vif et un univers mystérieux. il a reçu le prix Polar 2014 du meilleur roman francophone (Festival de Cognac) pour Celui dans le nom
Extrait :
« La mort n’est que métamorphose. Aujourd’hui, l’homme dépense des fortunes à soigner son apparence déclinante, de son vivant. il y a cinq mille ans, il était obsédé par celle qu’il aurait après sa mort. Quand on y réfléchit, c’est plus logique. Un mort, ça ne vieillit pas. Et l’éternité vaut bien un petit lifting. «
Le billet de Sylvie K
A Londres, un homme est retrouvé étripé. Son assassin est une vieille dame qui l’avait élevé comme son fils. Le lendemain, un autre homme est tué de façon similaire par la personne qui l’aimait le plus au monde. Et toutes les vingt-quatre heures, un nouveau supplicié apparaît. McKenna, un policier irlandais, mène l’enquête. Polar 2014 du meilleur roman francophone (Festival de Cognac).
[…] Celui dont le nom n’est plus, publié le 22.05.2014 aux Editions Kéro, 10.09.2015 aux Editions Pocket voici le retour du Collectif Polar […]
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merci 😉
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[…] Celui dont le nom n’est plus, publié le 22.05.2014 aux Editions Kéro, 10.09.2015 aux Editions Pocket voici le retour du Collectif Polar […]
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Très tentant !
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héhé, je ne te le fais pas dire !
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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🙂
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Oh comme ce livre me plaît ! Et je salue aussi la mention des greffes et la sensibilisation de l’auteur👏🏻
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Oui, il a tout pour plaire ce roman Gwenn, tu as raison !
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Bon, c’est fini, oui, de me faire des piqûres de rappel pour les livres que je n’ai pas encore lu !! Greffez-moi deux cerveaux et deux nouvelles mains, je lirai deux fois plus vite, ainsi 😆
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Je vais jouer les docteur Frankenstein et faire de toi ma lectrice créature, lectrice monstrueuse dame Belette !
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— voix caverneuse Cervô ! Je veux cervô !
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Oui tu auras double cervô monstrueuse créature !
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Chouette, ça va turbiner plus dessous ! 🙂
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Aîe, mon dieu j’ai créer un monstre qui turbine plus dessous !
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Le monstre s’affranchit de son maître créateur… 😆
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J’ai lu mon premier Manzor l’année dernière et j’ai fait l’erreur de commencer par « dans les brumes du mal » . J’ai beaucoup aimé mais l’auteur lui-même m’a conseillé de commencer par « les âmes rivales » pour découvrir les personnages au plus profond d’eux-mêmes. Ca sera mon prochain (la semaine prochaine donc …) !
Merci pour cette chronique !
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Et tu nous diras du coup ! 😉
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