Le top 10, 2019 des flingueuses, #3 par Miss Aline
Comme l’an dernier, en cette fin d’année j’ai demandé aux Flingueuses de me faire un petit classement des lectures qui les avaient marquées en 2019.
Et voici leur résultat.
Le top 10, 2019 des flingueuses,
#3 par Miss Aline
Top 10 de Miss Aline (2019).
Les refuges, Jérôme Loubry
4ème de couverture :
Installée en Normandie depuis peu, Sandrine est priée d’aller vider la maison de sa grand-mère, une originale qui vivait seule sur une île minuscule, pas très loin de la côte.
Lorsqu’elle débarque sur cette île grise et froide, Sandrine découvre une poignée d’habitants âgés organisés en quasi autarcie. Tous décrivent sa grand-mère comme une personne charmante, loin de l’image que Sandrine en a.
Pourtant, l’atmosphère est étrange ici. En quelques heures, Sandrine se rend compte que les habitants cachent un secret. Quelque chose ou quelqu’un les terrifie. Mais alors pourquoi aucun d’entre eux ne quitte-t-il jamais l’île ?
Qu’est-il arrivé aux enfants du camp de vacances précipitamment fermé en 1949 ?
Qui est vraiment sa grand-mère ?
Sandrine sera retrouvée quelques jours plus tard, errant sur une plage du continent, ses vêtements couverts d’un sang qui n’est pas le sien…
Mon avis :
1949 : Valérie se promène sur la plage avec son labrador Gus. Ils vont faire une découverte macabre.
1986 : Sandrine, journaliste, doit se rendre sur une petite île de Normandie afin de vider la maison de sa grand-mère qu’elle connait si peu.
On va osciller entre ces deux périodes et faire connaissance avec le reste des protagonistes. D’un côté, les collègues de Suzanne (la grand-mère de Sandrine) et les enfants. De l’autre, Sandrine fille solitaire et les amis de Suzie qui vivent encore sur l’île.
Inutile de vous en dire plus, la 4ème de couverture est très bavarde !
Ce que je peux vous dire, c’est que l’auteur m’a embarqué sur cette île remplie de secrets plus ou moins sombres. Que je n’ai pas pu lâcher ce livre avant d’en connaitre la fin.
Que j’ai subis le gris dans ces lieux d’où toutes couleurs semblent absentes, comme absorbées par quelque chose de funeste. Que j’ai été éblouie par les couleurs misent sur les murs pour apporter de la joie, de la vie, pour un sourire sur le visage des enfants.
Ce thriller est déroutant de complexité. Tout à son importance : le prologue, la période, les faits… L’auteur, d’une plume fluide, maitrise son intrigue avec brio. Il manipule les mots, les faits pour mieux balader la lectrice que je suis. Il a planté un décor, il y a mis des personnages en les rendant les plus vivants possible. Je suis sur l’île, j’entends les enfants, je cherche d’où vient le mal. Jérôme Loubry est généreux dans son écriture, il me donne tous les indices et pourtant je n’ai pas la fin. Je n’ai rien vu venir, j’ai même relus pour être certaine d’avoir bien saisi ce final. Ah oui quand même ! Chapeau bas Monsieur l’auteur.
Les refuges se dévore de jour comme de nuit ! J’ai été capturée, captivée, chamboulée, bouleversée. C’est exactement ce que j’attends d’un bon, d’un très bon thriller. Je veux les émotions, je veux la complexité et je veux surtout ne rien envisager du final.
Ce livre va plus loin (en tout cas pour moi) qu’une histoire racontée, il a une dimension philosophique. Il amène à l’introspection et l’interrogation : ai-je des refuges et quels sont-ils ?
Le baiser de l’ogre – Elsa Roch
4ème de couverture :
Paris, en pleine nuit, Amaury Marsac, chef de groupe à la Criminelle, découvre dans le hall d’un immeuble sa plus jeune équipière, Lise Brugguer, gisant entre la vie et la mort. Près d’elle, un cadavre d’homme à la tête explosée, mais pas d’arme.
Avant de sombrer dans l’inconscience, Brugguer lui révèle qu’elle a une fille de trois ans, qui est peut-être en danger, et que lui, Marsac, soit veiller sur elle.
Marsac est stupéfait d’apprendre l’existence de cette enfant. Et quand il la rencontre, petite fille muette aussi mystérieuse qu’attachante, la protéger devient son obsession.
Mais pourquoi Brugguer était-elle dans ce hall ?
Quelles étaient ses relations avec la victime, vermine criblée de dettes ? Et qui pourrait en vouloir à cette petite fille ?
Marsac va devoir démêler les faux-semblants et déterrer les secrets du passé que son équipière pour percer la vérité.
Et vaincre l’Ogre…
Le baiser de l’ogre… un ogre… un monstre. Qui est le monstre ? Quel mal porte-t-il en lui ?
Mon avis :
Je voulais juste lire les premières lignes mais je n’ai pas pu refermer le livre d’Elsa Roch. Elle m’a chopé direct par les émotions. Deux pages et je pleure. Une femme à terre, une balle dans le dos qui arrache une promesse. Celle de veiller sur sa fille de trois ans.
Amaury également va se laisser prendre et promettre. Situation délicate par rapport au reste de l’équipe. Il va fondre devant Miss Butterfly qui ne va pas lui décrocher un mot.
Il va émettre le code d’urgence. Son bras droit va rappliquer et le soutenir. L’enquête est laborieuse, les indices peinent à révéler leurs secrets. Bon sang qu’est-ce qui peut bien menacer cette gamine ?
Lise joue les dures à cuire. Elle a du mal à lâcher des infos. Amaury va devoir la bousculer un peu. Et l’ogre se déplie et révèle toute sa noirceur tentaculaire.
C’est mon premier roman d’Elsa Roch et surement pas le dernier. Plume affutée et efficace. Chapitres courts pour un rythme page turner. Une intrigue bien menée. La noirceur de l’homme, une fois n’est pas coutume, sur le devant de la scène.
Des personnages avec des failles que l’on a envie de soutenir. La lumière de ce roman : Miss Butterfly. Elle est l’espoir. La raison qui fait que tu te lèves et que tu pars au combat chaque jour. Pas question que l’ogre ne pose le bout d’un doigt, l’ombre d’un regard sur elle.
Elle est l’amour d’une mère, son combat, sa raison de vivre. Elle est la petite lumière au fond du tunnel d’un homme blessé par la vie. Par sa particularité elle touche le cœur, elle invite à sourire.
Elsa Roch a (volontairement ou non) apporté un soin particulier à contre balancer la noirceur humaine avec la caresse d’un Butterfly.
HS 7244 – Lorraine Letournel Laloue.
4ème de couverture :
Lorsque Marius se réveille dans cette cellule froide et puante, ses derniers souvenirs sont ceux d’une soirée arrosée et joyeuse avec Camille, l’amour de sa vie. Après Saint-Pétersbourg et Moscou, leur voyage à travers la Russie les avait conduits dans un petit bar de Grozny. Des vacances en amoureux, cela avait commencé comme ça…
Aujourd’hui, Marius est enfermé, il a tout perdu, à commencer par ses droits. Il entend des hurlements, des hommes torturés. On les accuse d’être malades, contagieux. Dans cette prison non officielle, ils font l’objet d’expériences médicales, menées par ceux qui veulent trouver l’origine de leur mal et surtout un remède à ce fléau.
Avec l’histoire de Marius, inspirée d’un drame qui a choqué le monde entier, Lorraine Letournel Laloue embarque le lecteur pour un aller simple en enfer.
Mon Avis :
HS 7244 c’est brutal, violent. C’est presque destructeur. Chaque page représente la quintessence du mal. Chaque mot est une blessure, un coup porté au cœur. Avec Marius, Lorraine Letournel Laloue nous relate un fait réel des plus horribles. J’ai mal pour ces hommes et ces femmes qui ont vécus dans leurs chairs cette violence physique poussée à l’extrême, ainsi que la violence psychologique. Je n’ose imaginer l’auteure écrivant ce roman. Que de souffrance à chaque ligne. Quelle force, quelle volonté lui a-t-il fallu pour porter cet ouvrage jusqu’au mot fin.
Au début de ma lecture, je me demande ce qui « justifie » l’enfermement de Marius et ses compagnons d’infortune. Je l’apprends de la bouche de Sylvain lorsqu’il le révèle à Marius. Comme ce dernier je n’y crois pas… et pourtant. A partir de là tout prend une autre dimension. C’est la consternation, l’incompréhension. Pourquoi, comment, au nom de quoi ou de qui ?
Au fond de ce puits de noirceur, il ya malgré tout la solidarité, l’amitié, l’espoir.
Dans les dernières pages, tu finis le cœur ouvert, brisé. La vue brouillée par les larmes tu te dis que : non, non pas ça, pas comme ça, pas lui. Toutes ces révélations, ces inattendus me laissent sur le carreau.
J’en veux à l’auteur de me faire mal et pourtant je la remercie pour ce roman hors normes. Son écriture est précise, simple et d’une efficacité redoutable. Son récit, dans son déroulement, est maîtrisé de mains de Maître (oui avec un M majuscule). La fin est une apothéose aussi bien dans ses révélations que dans la charge émotionnelle quelle génère. Je n’ai pas pris une simple claque mais bien un uppercut.
HS 7244 sera incontestablement dans mes coups de cœur de l’année. Pour un premier roman c’est magistral. J’attends les suivants…
Un très grand merci à Lorraine Letournel Laloue pour ce moment de lecture incroyable.
Je ne t’oublie pas – Sébastien Didier
4ème de couverture :
Bellevue Park. Ses villas d’architecte, ses espaces verts, ses prestations luxueuses… Pour Marc Vasseur, c’était un rêve. Mais lorsque sa femme disparaît en ne laissant qu’un simple SMS pour toute explication, le rêve tourne au cauchemar.
Les autorités ne tardent pas à classer l’affaire. Un abandon de domicile conjugal comme il s’en produit des milliers chaque année. Mais Marc en est sûr, Sandra ne les aurait jamais quittés ainsi, lui et leur fille Lisa.
Trois mois plus tard, alors que tout espoir semble s’être évanoui, il reçoit une photo qui va bouleverser toutes ses certitudes.
Celle d’une jeune fille, une inconnue, qui arbore un médaillon.
Ce bijou, Marc en est persuadé, c’est celui de Sandra. Celui qu’elle ne quittait jamais.
Mon Avis :
La veille, dans ta boîte aux lettres, une enveloppe bulle : un livre. Petit format, grands frissons, est-il annoncé. Qu’est-ce que cela présage ?
Journée 1 :
9 h 30
La lecture commence et je fais connaissance avec Marc Vasseur. Sandra, son épouse, a disparue depuis trois mois. Un SMS de rupture. Impossible. Ils avaient tout pour être heureux comme l’on dit : belle maison dans une résidence fermée et surveillée, un bon job, une fille de 16 ans bien dans ses baskets. Marc est au bord du gouffre, il a le sentiment d’être seul. Ce n’est pas qu’une impression les autorités ont classée l’affaire : disparition volontaire.
Un SMS contenant une photo et Marc reçoit un électrochoc, un sursaut qui va le mener sur une piste qu’il n’avait pas imaginé. Et pour cause, il ignore un pan du passé de Sandra.
Téléphone, courriel, tâches du quotidien… impossible de lire en continu. Il faut pourtant trouver le temps de poursuivre. Tu peines pour Marc et Lisa. Ils sont fragiles, à fleur de peau.
11h15
« Il » a des chapitres rien que pour lui. On apprend qu’il aime le thé, qu’il est un tantinet maniaque. Que sa dernière victime est un peu jeune. Tant pis il s’en accommodera.
13h45
Des impasses. Des coups d’épée dans l’eau. Des solutions tirées par les cheveux. L’auteur t’embarque dans la course folle de Marc pour retrouver sa femme. Oui, il y croit. Encore. Malgré tout. Malgré tous. Les révélations qu’il découvre le déconcertent mais il poursuit. Moi aussi je poursuis ma lecture. Je veux y croire même si certains éléments me laissent présager le pire.
Heureusement que c’est une journée Off concernant le travail. Je vais pouvoir poursuivre ma lecture. Ne pas lâcher Marc d’une semelle ou plutôt d’une page !
23h
Dans les ultimes chapitres. Les révélations se succèdent. Les masques tombent. La noirceur de l’être humain a déployée ses ailes. C’est un spectre de très grande envergure. Comment a-t-il pu se cacher aux yeux des autres ? Marc va-t-il s’en sortir ? Quel part de lui va-t-il laisser dans cette bataille ?
Je pourrais vous en dire tellement plus sur ce spectre mais je préfère vous laissez le découvrir. Il en va de même pour les suspenses comme pour les surprises : il ne faut pas les gâcher.
Les dernières pages sont tournées. Premier roman pour Sébastien Didier mais certainement pas le dernier. Je l’espère et lui souhaite. J’ai tout aimé dans ce roman. Le rythme et la fluidité de l’écriture qui t’obligent à lire encore et encore. Les personnages attachants, je parle des gentils évidements. L’auteur nous parle des liens familiaux forts. Le soutien moral, être là pour l’autre même (et surtout) dans l’épreuve. Il nous parle d’espoir malgré tout. J’ai fortement apprécié l’intrigue qui de simple passe à un véritable sac de nœuds. Par quel bout délier tout ceci ? Tu connais les nœuds simples, les nœuds marins mais les autres….ceux que l’auteur a inventé pour toi, pour te perdre, pour susciter ta curiosité. Tu passes de rebondissements en révélations qui parfois te laissent sans voix.
Roman finaliste et best-seller via la plateforme Fyctia. Succès mérité. Auteur à suivre incontestablement.
L’inconnue de l’équation – Xavier Massé
4ème de couverture :
Quatre heures. La police n’a que quatre heures pour démêler ce qui ne semblait être au départ qu’un simple drame familial : un couple, Juliette et François, retrouvé carbonisé, leur fils, Julien, gisant au sol. Deux salles d’interrogatoires, deux témoins de la tragédie : la mère de François et une flic présente sur les lieux. Deux versions, deux visions différentes. Accident, meurtre, ou vengeance ? Une toile d’araignée va se tisser peu à peu et d’une simple énigme va surgir une équation… aux multiples inconnues.
Mon Avis :
Quatre personnes dont trois armées. Un drame. Deux témoins. Deux salles d’interrogatoire. Quatre heures d’audition en tant que simple témoin ensuite il faudra les relâcher ou signifier une garde à vue.
Salle 1 : l’inspectrice Amandine Binger.
Salle 2 : Mireille la mère de François (l’une des victimes).
Deux versions pour expliquer la mort d’un couple, un adolescent entre la vie et la mort, ainsi qu’un incendie à l’origine douteuse.
Les inspecteurs Migue et Dida vont avoir fort à faire pour démêler les tenants et les aboutissants de cette affaire.
Pourquoi Binger est-elle sur place ? Qui l’a appelé ?
Pourquoi Mireille, avec sa vue défaillante, a-t-elle emmené son petit-fils dans la résidence secondaire de ses parents ? Pourquoi a-t-il voulu rentrer précipitamment en pleine nuit ?
Chacune va apporter des explications sur son rôle, sur la vie de François et Juliette. Plus l’audition avance et plus les nœuds s’emmêlent. Où est la vérité ?
Huis clos que ce roman qui garde en alerte. Dés le départ on est intrigué. Qui parle dans le prologue ? De quelle décision est-il question ?
On est dans la maison, on assiste au drame mais a-t-on tout vu, tout compris ?
On passe d’une salle à une autre et écoutons les témoignages. Entre les deux le récit de la vie de François et Juliette.
Une troisième salle, dans ma tête de lectrice, avec ma propre interprétation, mes interrogations, mes doutes.
L’auteur sait garder le suspens entier, pratiquement jusqu’à la dernière ligne. Il distille des révélations, de nouvelles interrogations avec parcimonie. Toujours au bon moment pour relancer l’enquête et l’attention du lecteur. Il nous entraine vers une fin que l’on n’imaginait pas.
Avec ce roman, se pose la question de l’interprétation d’un fait. On s’interroge aussi sur ce que les autres nous révèlent d’eux. Est-ce le reflet intégral de la réalité ou juste une partie. Celle qu’ils veulent bien nous montrer, nous faire partager. Combien de masque je porte en fonction de mon « public » ? Quand suis-je moi, entière, complète ? Est-ce que face à moi-même, je porte aussi un masque ? Qui suis-je ?
Le singe d’Harlow – Ludovic Lancien
4ème de couverture :
Démis de ses fonctions de commandant à la PJ parisienne, le lieutenant Lucas Dorinel vit son exil brestois comme une petite mort. Jusqu’à ce qu’un message obscur – les Bêtes seront sacrifiées- lui rappelle ce que la mort, la vraie, a de plus terrifiant. Car le message le conduit à un cadavre. Sauvagement mutilé. Un homme mort depuis plusieurs semaines, et déterré avant d’être déchiqueté. En s’adressant directement à lui, l’assassin réveille en Lucas à la fois son instinct de flic et sa violence. Le meurtrier et lui sont faits de la même étoffe et partagent le même credo : les Bêtes ne doivent pas rester impunies. Quel que soit le prix à payer. Même s’il lui faut réveiller des douleurs que le temps n’a pas cicatrisées. Même si la folie et la haine qu’il devra affronter rouvrent ses propres cicatrices et menacent de le terrasser.
Même s’il faut combattre le mal par le mal.
Et même si les Bêtes, parfois, ne se terrent pas là où on l’imagine.
La rencontre d’une jeune femme et d’un homme. Identités inconnues !
Un trio dans une cave : un bourreau, deux victimes. Identités inconnues !
Douze ans séparent ces deux événements.
Mon avis :
Ancien commandant au célèbre 36 Lucas, démis de ses fonctions, est sur Brest depuis à peine un an. Il est « guidé » vers une scène de crime d’une extrême violence. Pourquoi le veut-on sur cette affaire ?
Lucas Dorinel s’impose malgré la présence d’Eric Clément chef de la PJ. Ces deux là se tolèrent avec grand mal. Quelle est la source de leur désaccord ?
Gaël reçoit un mystérieux colis le ramenant à sa vie d’avant, avant de devenir prêtre. Chamboulé par ce que cela induit, il part en quête d’une vérité qui lui a longtemps été refusée.
Suspense (n, m) :
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Moment d’un film, d’une œuvre littéraire où l’action tient le spectateur, l’auditeur ou le lecteur dans l’attente angoissée de ce qui va se produire.
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Situation ou événement dont on attend la suite avec une inquiétude très vive.
Les refuges rassemblent tout le monde !
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Je confirme aussi 😉
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C’est effectivement excellent…
Bonne journée.
Miss Aline.
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Les Refuges de Jérôme Loubry est LE polar de l’année, je te rejoins totalement Miss Aline.
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le refuge et l’auteur etaient la révélation cette année pour moi
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Je partage totalement ton avis 🙂
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Merci Fred. Du coup impatience de lire l’ouvrage suivant…
Bonne journée.
Miss Aline.
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