Le livre : Chambre 312 de Sylvie Bougeot Paru le 24 octobre 2019 chez M+ éditions. 14€80. (246pages) ; 15 x 22cm.
4ème de couverture :
Le corps meurtri d’une enfant de 9 ans vient d’être découvert à l’institut psychiatrique où elle séjournait. La porte de la chambre était verrouillée, les vigiles n’ont rien vu, le personnel soignant n’a rien entendu. Cette affaire complexe et nébuleuse est une mission toute désignée pour Dan Kieffer, ce flic revêche que la vie n’a pas épargné. Malgré son franc parler il devra taire ses préjugés en matière de psychologie et ravaler ses diatribes car une jeune psychiatre de la criminelle lui sera imposée. Une affaire sinueuse qui sèmera le trouble dans l’esprit des deux enquêteurs d’autant que les spectres du passé viendront hanter leur âme et fragiliser le duo improbable.
L’auteur : Je me nomme Sylvie Bougeot, j’ai 47 ans, je suis mariée et nous avons trois ados dont deux de 16 et une de 20 ans. J’ai écrit quatre romans policiers, “Chambre 312”, “Les arcanes de la Haine”, “Le syndrome du poulpe”, « Sms d’outre-tombe » (à revoir) et travaille actuellement sur un cinquième dont je ne vous dévoilerai le titre qu’une fois terminé, un peu de patience ;-))
J’ai également écrit plusieurs nouvelles policières dont l’une a remporté un prix décerné par Maxime Chattam, président du jury, laquelle a été publiée sous la forme d’un recueil de nouvelles policières dénommé « De biens étranges affaires ».
L’écriture est une passion chronophage qui peut perturber le bon fonctionnement d’un foyer harmonieux alors merci à mes enfants et à mon époux.
Après quelques années de pratique théâtrale, je me suis lancée dans l’écriture de paroles que j’ai par la suite adaptées en musique et interprétées avant de réaliser la maquette de plusieurs titres. Un peu plus tard, mon mari m’a suggéré de me consacrer à la rédaction d’un roman, conscient de mon goût pour l’écriture et de mon imagination quelque peu débordante…
Extrait : La psychiatre était sortie de ses gonds. La veine jugulaire était si gonflée qu’on pouvait deviner sa trajectoire. Les tempes bleuies par l’action de la colère, l’œil noir et la mâchoire crispée témoignaient sans aucun doute d’un malaise. Elle se sentait agressée, jugée et condamnée d’avance.
Etait-elle réellement la meurtrière des fillettes ? La mutilation des ovaires n’était-elle pas assimilée à un acte de purification ?
[…] Chambre 312 de Sylvie Bougeot — Collectif polar : chronique de nuit […]
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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