Le livre : Les rivières sombres, Mickaël Lawrence. Paru en autoéditons le 3 juin 2018
271 pages ; 21 x 13 ; 13,95 €
4ème de couverture :
Daniel fait un retour aux sources parés une séparation difficile. Il espère prendre un nouveau départ et offrir un cadre de vie plus serein à ses fils. Hélas, rien ne se passe comme prévu. Tout commence par la découverte d’un homme mort empoisonné lors d’une promenade. La gendarmerie les met alors en garde contre une prolifération inexpliqué de serpents. Les événements et les rencontres étranges s’enchaînent, plongeant Daniel dans un monde angoissant. Que se passe-t-il à Ornans ? Petit à petit, le doute s’insinue : morts accidentelles, tueur en série ou interventions surnaturelles ?
Ornans est une ville qui ne demande qu’à vous révéler ses secrets…si vous êtes prêts à les découvrir.
L’auteur : Mickaël LAWRENCE est né en Franche-Comté, et il n’a jamais quitté cette région qu’il aime beaucoup. Depuis le bac à sable, il a toujours eu une préférence pour l’épouvante et le surnaturel. En dehors de ça, il a eu un parcours banal un peu comme tout le monde. Ce n’est qu’après le collège que j’il atrouvé le métier qu’il voulait faire Animateur socio-culturel Mais j’envisage prochainement une reconversion professionnelle.
En 2013 il a commencé à écrire son premier roman qui parait finalement en octobre 2016, « Le reflet de la haine » est publié en auto-édition.
En 2018 sort son second roman « Les rivières sombres »
Michaël Lawrence aime jouer sur son anonymat. Et on ne sait pas grand chose d’autre sur lui.
Extrait :
« – je ne suis pas seul. Du moins, je ne l’étais pas. J’accompagnais mon grand-père. Oui…c’est ça… Grand-père. Mais nous avons fait des bêtises. Ma bêtise à moi … elle était toute petite…alors je suis toujours vivant.
Steven et Maël se regardèrent et ne surent plus quoi penser. Cet enfant, ce Tony, était étrange et son récit avait tissé une toile de malaise. Maël voulut en avoir le cœur net.
– Et ton grand-père, où se trouve-t-il maintenant ?
– Mort. Puni par les serpents. Ma punition à moi… C’était de le regarder se faire punir, le regarder mourir. »
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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