Mon Bilan du Pumpkin Autumn Challenge 2022

Hello mes polardeux,

Vous le savez Maintenant, j’ai participé pour la première fois au

  Pumpkin Autumn Challenge 2022

Alors voici mon Bilan définitif :

Le « Pumpkin Autumn Challenge 2022 »

J’avais choisi de valider

« Une faim de Loup Garou »

Puis je me suis lancer pour

« ça s’appelle avoir les crocs »  Pour finir j’ai réussi je crois à valider « Un appétit de Goule »

L’Automne de l’Etrange

3 sous-catégorie validées au moins 2 fois 

 

( lu et chroniqué )

« Les mystérieux habitants de Pottsfield » La vallée des ténèbres, Peter Robinson

Pour les habitants de Swainshead, un paisible village du Yorkshire, la macabre découverte que fait Neil Fellowes, en se promenant dans la lande – un cadavre défiguré -, évoque étrangement le meurtre, jamais élucidé, qui, cinq ans plus tôt, a plongé la région dans la terreur.

À l’époque, l’inspecteur Banks soupçonnait fortement l’amie d’un notable local, mais celle-ci s’était enfuie et l’affaire avait tourné court, comme si quelqu’un, dans l’ombre, s’ingéniait à brouiller les pistes.

Y a-t-il un lien entre ces crimes ?

Cette fois, l’inspecteur Banks compte bien aller jusqu’au bout…

 

 

 

 

 

( lu et chroniqué )

« In the Dark I hear a call » La digue, Blackwater vol 2 de Michael McDowell

Black Water II

La digue

Tandis que la ville se remet à peine d’une crue dévastatrice, le chantier d’une digue censée la protéger charrie son lot d’imprévus : main-d’oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes… Pendant ce temps dans le clan Caskey, Mary-love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d’Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer. Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis.

À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.

 

 

 

( lu et chroniqué )

« In the Dark I hear a call » : Prenez-moi pour une conne, Guillaume Clicquot

Je m’appelle Orane de Lavallière, j’ai 58 ans, j’ai sacrifié tous mes diplômes pour me dévouer à ma famille et à la réussite de mon mari, Xavier.

Ma mission de mère au foyer accomplie, ce salopard m’a quittée pour une jeunette. Il m’a prise pour une conne et vous aussi, je présume.
Je ne vous blâme pas, car vous avez raison. C’est une histoire banale. Mais moi, je n’ai rien vu venir, endormie par mon confort de vie et aveugler par mes certitudes de petite bourgeoise naïve et coincer. Xavier m’a détruite, je me suis relevée. Pourtant son souvenir m’obsède, son existence me ronge. Je me sens impuissante. A moins

 

 

 

(Chroniqué et déjà lu)

«Soit vent, rêve, cendre et néant. Soit nuit, noir, âme et souhait» : La mort est parfois préférable, Sacha Erbel

Yan est flic à la police judiciaire de Lille.
Depuis quelque temps, un « passager clandestin » s’est invité dans sa vie : « l’Araignée », c’est le surnom qu’elle lui a donné.
Alors que Yan traque l’auteur du meurtre d’un journaliste connu pour ses reportages à sensation, elle n’a pas d’autre choix que de composer avec son « invisible ennemie » : insidieuse, omniprésente, l’Araignée tisse sa toile, cuisante morsure dans ses chairs survenant n’importe où, n’importe quand…
En parallèle, Brath, son collègue, enquête sur la mort étrange d’un homme retrouvé décapité, assis au volant de sa voiture, la tête reposant sur la banquette arrière.
En équilibre sur un fil, Yan ne baisse pas les bras, avance sur son chemin de douleurs au risque de se perdre… définitivement.

 

 

( lu et chroniqué )

«Soit vent, rêve, cendre et néant. Soit nuit, noir, âme et souhait» : L’énigmatique tombeau de Rebecca, Liliane Mendelsohn

Disparitions, assassinats sauvages et inhumains, Xavier Clément, commandant de police à la crime est dépêché dans le Val d’Oise pour enquêter sur les membres d’une confrérie baptisée le Manoir du loup. Surprises et rebondissements inattendus le poussent à enquêter sur les agissements du chef de cette communauté.

Au cours de cette affaire inquiétante, Xavier découvre par hasard sur une tombe ornée de sa photo, une femme disparue dans des circonstances suspectes. Hanté par son visage et poussé par son intuition, Xavier ne tarde pas à établir un lien inattendu entre cette inconnue et Le Manoir du Loup… De nombreuses interrogations le mènent à résoudre le mystère qui entoure le tombeau de Rébecca et sa troublante ressemblance avec la divine et envoûtante Océane.

Liliane Mendelsohn signe un polar captivant sur fond de dérives sectaires

 

 

( lu et chroniqué )

«Soit vent, rêve, cendre et néant. Soit nuit, noir, âme et souhait»

Sanction

Une jurée d’assises qui influence malgré elle l’issue d’un procès, un groupe d’enfants qui s’acharne sur un vieil homme isolé, un homme dont la poupée gonflable est attaquée, une jeune avocate qui doit défendre le chef d’un réseau de prostitution…

Dans ces douze nouvelles appartenant à l’univers de la justice, la plume incisive de Ferdinand von Schirach saisit des existences banales à l’instant précis où elles basculent, et interroge la part sombre qui sommeille en chacun de nous.

 

 

 

 

 

 

 

(Lu mais sera chroniqué seulement fin décembre) : Darwyne de Colin Niel

 

Darwyne Massily, un garçon de dix ans, légèrement handicapé, vit à Bois Sec, un bidonville gagné sur la jungle infinie. Et le centre de sa vie, c’est sa mère Yolanda, une femme qui ne ressemble à nulle autre, bien plus belle, bien plus forte, bien plus courageuse. Mais c’est compter sans les beaux-pères qui viennent régulièrement s’installer dans le petit carbet en lisière de forêt. Justement un nouvel homme entre dans la vie de sa mère : Jhonson, un vrai géant celui-là. Et au même moment surgit Mathurine, une employée de la protection de l’enfance. On lui a confié un signalement concernant le garçon. Une première évaluation sociale a été conduite quelques mois auparavant par une collègue qui a alors quitté précipitamment la région.

Dans ce roman où se déploie magistralement sa plume expressive, Colin Niel nous emporte vers l’Amazonie, territoire d’une puissance fantasmagorique qui n’a livré qu’une part infime de ses mystères. Darwyne, l’enfant contrefait prêt à tout pour que sa mère l’aime, s’y est trouvé un refuge contre le peuple des hommes. Ceux qui le voudraient à leur image.

 

 

(Lu mais sera chroniqué seulement fin décembre)

« La cueillette des champignons » :  Et la forêt brulera sous nos pas de Jens Liljestrand

Au plus fort de l’été, alors que de nombreux Suédois aisés sont en vacances, de gigantesques feux de forêt se déclarent. Dans cette situation apocalyptique, la région se mue en une véritable zone de guerre et les autorités peinent à faire face. Didrik, consultant médias, est pris dans le cataclysme avec sa famille, mais semble autant préoccupé par ses tweets en direct que par le destin des siens.

Courage, lâcheté, indifférence, colère, comment réagissons-nous face à ces crises qui nous dépassent ? Sommes-nous, aujourd’hui, capables de modifier profondément nos modes de vie ? En suivant quatre personnages qui incarnent chacun une réaction différente face à la catastrophe qui vient, Jens Liljestrand livre avec ce roman saisissant une salutaire mise en garde. L’humanité ne dispose que d’une planète, et chaque individu n’a qu’une vie. Dès lors, que choisissons-nous d’en faire ?

( lu et chroniqué )

« La cueillette des champignons » : Une lueur dans la nuit, Stacy Willingham

 

Au fin fond de la Louisiane, les monstres ne se cachent pas dans les bois. Ce ne sont pas des ombres dans les arbres ou des créatures invisibles tapies dans des recoins sombres. Dans la chaleur moite et écrasante d’une nature sauvage, les monstres se cachent à la vue de tous.

La vie de Chloe Davis a basculé l’été de ses douze ans, quand six jeunes filles ont disparu au sein de sa petite communauté. Le tueur en série est arrêté et mis en prison tandis que le reste de sa famille doit essayer de vivre avec cette culpabilité. Car le tueur n’est autre que son propre père, et c’est Chloe qui en a découvert la preuve.

Vingt ans plus tard, alors que son père purge encore sa peine après avoir avoué les meurtres, Chloe est installée comme psychologue à Bâton-Rouge et essaye de mener une vie adulte équilibrée. Quand une autre jeune fille de quinze ans vient à disparaître dans des circonstances similaires, les souvenirs torturés de cet été fatal remontent à la surface.

Marquée par les traumatismes de son adolescence au point de tomber dans la paranoïa, sa parole est sans cesse remise en cause. Pour Chloe, le chemin pour arriver à la vérité sera brumeux et sinueux comme un bras de marécage plongé dans l’obscurité oppressante de la Louisiane. Elle devra arpenter un chemin parsemé de pièges et de faux-semblants dans une atmosphère alourdie par une tension psychologique omniprésente afin de découvrir, encore une fois, la vérité.

 

 

L’Automne Frissonnant

3 sous-catégorie validées au moins 2 fois 

 

(Chroniqué et déjà lu)

« Gost Hunt » : Le faussaire de Salt Lake City : meurtres et manigances chez les mormons, Simon Worrall

 

La limite entre le vrai et le faux est parfois floue. Pas celle entre la vie et la mort.

Comment devient-on un faussaire ? L’enfance de Mark Hofmann a été rythmée par les textes mormons. Alors qu’il est adolescent, et a accès à des livres critiques sur son Église, sa foi se fissure. Se sentant trompé, il se transforme en usurpateur. Il commence par fabriquer de faux documents, d’abord pour moquer les hauts dirigeants mormons, puis enhardi par son succès, il rédige de faux poèmes d’Emily Dickinson. Mais pris au piège de sa propre folie, il finit par commettre l’irréparable.

Simon Worrall revient sur cette trajectoire effroyable et nous montre à quel point la vérité est parfois construite de toutes pièces.

 

 

(Lu et chroniqué)

« Gost Hunt » : Les masques éphémères, Donna Leon

Au Campo Santa Margherita un doux soir d’été, deux étudiantes américaines partent en balade dans la lagune avec deux beaux Vénitiens et sont grièvement blessées dans un accident de bateau.

L’incident semble anodin, mais la curiosité du commissaire Guido Brunetti est piquée par le comportement des garçons, qui ont abandonné les victimes à l’entrée de l’hôpital. Le commissaire en est certain, ces deux suspects ont un secret à protéger.

Aidé par sa collègue Claudia Griffoni, Brunetti découvre un vaste réseau de corruption où des bateliers véreux sont impliqués dans un sinistre trafic nocturne. Brunetti va devoir travailler de pair avec la Guardia Costiera en sillonnant les canaux sombres et sinueux de la ville pour faire éclater cette affaire au grand jour.

La trentième enquête du commissaire Brunetti est un véritable tour de force sur le crime organisé vénitien.

 

( lu et chroniqué )

« Gost Hunt » : Brooklyn requiem, Ken Bruen

Il est brillant, séduisant et froid. De son chapelet vert il étrangle les femmes, leur long cou blanc comme celui des cygnes, mais il ne s’en souvient pas. Cet homme est irlandais, il s’appelle Matt O’Shea. Il est flic et il rêve d’Amérique.

Sélectionné pour un échange entre polices, il débarque à Brooklyn, au NYPD. Sa personnalité clivée doit composer avec Kurt, alias Barka, un pit-bull en uniforme ripou jusqu’à l’os – son coéquipier. Mais Kurt a une soeur, une fille superbe, légèrement attardée…

Matt est lâché, l’enfer va se déchaîner…

 

 

 

 

( lu et chroniqué )

« Des sakuma drops au milieu des lucioles » :  L’affaire de l’île Barbe de Stanislas Petrosky

Janvier 1881, on découvre sur les bords de la Saône, le cadavre d’une femme mutilée. Les restes sont transportés sur la morgue flottante de Lyon, où ils seront autopsiés.
C’est pour Ange-Clément Huin le début d’une grande aventure aux côtés de son maître, le profes- seur Alexandre Lacassagne.
Comment cette mauvaise graine, cet Apache, est devenu le fidèle auxiliaire d’un des plus grands pontes de la médecine légale, c’est ce que vous découvrirez dans ce premier carnet secret.

 

 

 

 

 

 

( lu et chroniqué )

« Des sakuma drops au milieu des lucioles »  : Agatha : la vraie vie d’Agatha Christie

Saviez vous qu’Agatha Christie a elle-même organisé sa propre disparition pour punir un mari infidèle, qu’elle n’a eu de cesse de voler, de faire du surf, qu’elle a voyagé en Irak, en Egypte, n’imaginant pas de limite à sa liberté. Indéniablement Dame Agatha nous est familière, et sa reconnaissance internationale. Pourtant qui connaît le vrai visage de la Duchesse de la mort ? Loin de n’être que cette bourgeoise conservatrice à l’embonpoint sympathique, coupable de romans policiers populaires, la vénérable Anglaise était avant tout une femme moderne, complexe et secrète. Un personnage bien plus énigmatique que tous ceux qu’elle a inventés !
Agatha Christie, une femme libre propose d’appréhender les multiples facettes de la reine du whodunit. D’explorer sa part d’ombre, son univers crypté, et ses fascinantes mille et une vies…

 

( lu et chroniqué )

« Des sakuma drops au milieu des lucioles » : Apocryphe de René Manzor

Jérusalem, an 30. Un petit garçon regarde avec rage son père agoniser sur la croix. Son nom est David de Nazareth, fils du supplicié Yeshua, dit le roi des Juifs. Sept ans plus tard, lassé de vivre caché au cœur du désert de Judée, le jeune David part pour Jérusalem afin de prendre part aux bouleversements qui secouent le pays soumis au joug de l’occupation romaine. Mais, très vite, il est repéré. Débute alors pour lui une cavale haletante jalonnée de secrets, de trahisons et de stratégies guerrières. Lancé à sa poursuite, un policier du Temple : le futur saint Paul. Comment survivre en Palestine occupée quand on est le fils du Messie ?

 

(Lu mais chronique à venir fin décembre)

« Des sakuma drops au milieu des lucioles » : DuchessChris Whitaker

« Depuis quand tu veux être comme les autres ? Tu es une hors-la-loi. »

Duchess a treize ans, pas de père, et une mère à la dérive. Dans les rues de Cape Haven, petite ville côtière de Californie, elle ne souffre ni pitié ni compromis. Face à un monde d’adultes défaillants, elle relève la tête, comme un défi, tout en veillant sur son petit frère, Robin. Mais Vincent King, le responsable du naufrage de sa mère, vient de sortir de prison. Et son retour à Cape Haven ravive le tumulte du passé. Face à cette menace, Duchess n’a plus le choix : il va lui falloir mener le combat pour sauver ce qui peut l’être, et protéger les siens.

Attention, coup de coeur ! On n’avait pas rencontré d’héroïne aussi farouche et attachante depuis Scout dans Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur, le chef-d’oeuvre de Harper Lee. Sous une carapace d’impertinence et de rébellion, Duchess est de ces personnages dont la présence lumineuse et l’énergie désespérée donnent au récit la force des grands romans qui vous marquent à jamais.

 

 

 

(en lecture)

« Le portrait du mal » L’inspecteur Dalil à Beyrouth, Soufiane Chakkouche

De retour à Casablanca, l’inspecteur Dalil est envoyé d’urgence à Beyrouth, pour enquêter sur le meurtre d’une jeune chanteuse marocaine retrouvée dans sa chambre d’hôtel, la gorge tranchée.

Mais ce n’est là qu’un alibi. Il est en réalité chargé d’une mission classée secret défense, capitale et bien plus dangereuse. Il s’agit de localiser des missiles iraniens détenus par le Hezbollah sur le sol libanais.

Sur place, le contact de Dalil est la délicieuse Nabila l’Égyptienne, alias la Chatte, agent dormant des services marocains au Moyen-Orient.

Toutefois, afin de mener sa mission à bien en toute sécurité, Dalil préfère embaucher comme guide le petit Rafik, un gamin débrouillard et réfugié syrien.

Mais l’enlèvement de Rafik par Abou Jâafar – un autre prétendant aux missiles – va lourdement compliquer la donne. Une course contre la montre s’engage alors…

L’inspecteur Dalil s’en sortira-t-il vivant ?

 

( lu et chroniqué )

« Le portrait du mal » : La femme congelée, Jon Michelet

Dans La Femme congelée, le premier roman de Jon Michelet à être traduit en français, l’inspecteur Thygesen est maintenant rangé des affaires. Cependant, un cadavre de femme ayant été découvert dans son jardin, il se retrouve mêle à une enquête dont les ingrédients sont des bandes de motards, un trafic d’amphétamines, la nouvelle mafia des pays de l’Est, le milieu de la police norvégienne et les magouilles des politiciens locaux, un inquiétant cocktail d’où il ressort à l’évidence que la Norvège n’est plus épargnée par les maux des sociétés contemporaines.

Ce livre a valu à Jon Michelet de recevoir pour la deuxième fois le Grand Prix norvégien de la littérature policière (2001). On notera aussi que plusieurs de ses romans ont été portés à l’écran et traduits en une dizaine de langues.

 

 

 

( lu et chroniqué )

« Le portrait du mal » : La traque, Muriel et Patrick Spens

Pourquoi le célèbre romancier anarchiste Larsen, exilé au Mexique, n’a-t-il plus écrit de livres après 1940 ?

Pourquoi les seuls otages fusillés par le gouvernement communiste de Munich en 1919 appartenaient-ils tous à une société secrète dont les principaux membres inspirèrent ensuite son programme d’extermination à Adolf Hitler ?

Pourquoi Rudolf Hess, le dauphin d’Hitler, a-t-il gagné en avion la Grande-Bretagne au printemps 1941, avant le déclenchement de l’opération Barbarossa ?

Pourquoi Jacques Doriot, ancien communiste devenu chef du Parti populaire français collaborationniste, a-t-il été mitraillé dans sa voiture, en 1945, par des avions de chasse non identifiés, sur une route du sud de l’Allemagne ?

L’enquête menée à Paris au début de l’été 1942 par un inspecteur français à la suite de l’assassinat d’un officier SS conduit sur la piste de quelques-uns des aspects les plus mystérieux de la Seconde Guerre mondiale.

Un thriller historique qui fait revivre, sous les traits de Larsen, l’écrivain B. Traven, l’inconnu le plus fameux des annales littéraires du XXe siècle.

Ce roman, par son intrigue aux multiples rebon

 

 

 

L’Automne Rayonnant

 

Tous les sous genres me vont :

L’Automne Rayonnant

Au moins un titre lu qui entre dans les 3 sous catégories .

( lu et chroniqué )

« We’re all born naked, the rest is drag » ; « you cannot eat the money » ; « Le don des Merriwick » : Sorrowland, Rivers Solomon

Vern est enceinte et décide de s’échapper de la secte où elle a été élevée. Cachée dans une forêt, elle donne naissance à des jumeaux, et prévoit de les élever loin de l’influence du monde extérieur.

Mais, même dans la forêt, Vern reste une proie. Forcée à survivre en pleine nature, elle montre une brutalité terrifiante, résultat de changements étranges et inexplicables que son corps traverse.

Pour comprendre sa métamorphose et protéger sa famille, Vern doit affronter le passé et l’avenir. Trouver la vérité signifiera découvrir les secrets de la secte qu’elle a fui, mais aussi l’histoire violente de ces États-Unis qui l’ont produite.

 

 

( Toujours à lire )

« We’re all born naked, the rest is drag » : La famille de l’Hiver et le Roi Fée d’Elisabeth Ebory

Chaque nuit, son bien-aimé le sauve des flammes d’un dragon et pourtant, Marcus ignore son identité.

Condamné pour son homosexualité, le jeune magicien s’exile d’un XXe siècle étriqué en compagnie de son amie de toujours, la fée Orégane, à la recherche de ce héros mystérieux dans les terres du Sidh.

Pour découvrir enfin leur place, les deux parias devront vaincre la méfiance du peuple féerique et de son roi insaisissable, apaiser des spectres furieux et déjouer les manigances d’une menace oubliée et, surtout, affronter leur propre part de ténèbres.

Entre quête d’amour et d’identité, de destin individuel et collectif, la féerie se heurte aux tourments contemporains au cours d’un récit épique et enivrant.

 

( lu et chroniqué )

« We’re all born naked, the rest is drag » : Nuages Baroques, Antonio Paolacci, Paola Ronco

À Gênes, un jeune étudiant en architecture est retrouvé battu à mort au petit matin, non loin de l’endroit où se tenait une fête en soutien à l’union civile des homosexuels, nouvellement adoptée. Le sous-préfet de police adjoint Paolo Migra arrive bientôt sur les lieux. Aidé de l’inspecteur en chef Caccialepori, efficace mais toujours plus ou moins malade, et de la volcanique assistante Santamaria, il s’intéresse à l’oncle du jeune homme, un célèbre architecte qui l’a adopté après la disparition mystérieuse et subite de ses parents.

Dans un milieu policier réactionnaire, Migra ne craint pas de s’afficher comme gay et le sort de la victime le touche. La thèse du crime homophobe semble s’imposer mais l’affaire se révélera encore plus noire et complexe que ne le pensait le sous-préfet.

 

( lu et pas encore chroniqué )

« We’re all born naked, the rest is drag »: Nos identités, celles qu’on nous impose celles qu’on cache : 6 histoires qui font la part belle à la diversité

Voici nos identités. Elles étaient gommées, bafouées ou méprisées. On nous avait rendu•e•s invisibles, inaudibles. Nos voix éclatent ici.

À votre tour, faites entendre la vôtre pour que les diversités jaillissent !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(Toujours à lire)

« you cannot eat the money » : Climax De Thomas B. Reverdy

Climax

C’est une sorte de village de pêcheurs à l’extrême nord de la Norvège. C’est là que tout a commencé : l’accident sur la plateforme pétrolière, la fissure qui menace le glacier et ces poissons qu’on a retrouvés morts. Et si tout était lié ?

C’est en tant qu’ingénieur géologue que Noah, enfant du pays, va revenir en mission et retrouver Anå, son amour de jeunesse, ainsi que les anciens amis qu’il avait initiés aux jeux de rôle. Il était alors Sigurd, du nom justement de cette maudite plateforme.

Avec Climax, Thomas B. Reverdy réveille le roman d’aventures en lui offrant une dimension crépusculaire et contemporaine, puisque désormais les glaciers fondent, les ours meurent et l’homme a irrémédiablement tout abîmé. Heureusement, il reste la fiction pour raconter cette dernière aventure, celle de la fin d’un monde.

( lu et chroniqué )

« you cannot eat the money » : Du fond des âges, René Manzor

Il est trop taro pour avoir peur…

Nouvelle-Zélande. Un petit garçon court à perdre haleine dans les rues de Christchurch, poursuivi par un homme armé. Des coups de feu éclatent. À l’hôpital, on découvre que l’enfant a été porté disparu il y a trois ans. Il s’appelle Nateo, c’est le fils du célèbre explorateur Marcus Taylor. Pourquoi le retrouve-t-on maintenant ? Était-il séquestré ? S’est-il enfui ? Et qui peut vouloir tuer un enfant de huit ans ?

Un an auparavant, le glaciologue Marcus Taylor dirige une mission de scientifiques envoyés dans une base implantée en plein milieu de l’Antarctique. Quand ils arrivent sur place, ils découvrent des bâtiments saccagés et déserts. L’équipe précédente a disparu sans laisser de trace.

Quel lien y a-t-il entre la réapparition de l’enfant et cette expédition qui tourne au cauchemar ?

Une chose est sûre. Il est trop tard pour avoir peur….

(Lu et chronique à venir)

« Le don des Merriwick » : La cité des nuages et des oiseaux d’Anthony Doerr

Un manuscrit ancien traverse le temps, unissant le passé, le présent et l’avenir de l’humanité.

Avez-vous jamais lu un livre capable de vous transporter dans d’autres mondes et à d’autres époques, si fascinant que la seule chose qui compte est de continuer à en tourner les pages ?

Le roman d’Anthony Doerr nous entraîne de la Constantinople du XVe siècle jusqu’à un futur lointain où l’humanité joue sa survie à bord d’un étrange vaisseau spatial, en passant par l’Amérique des années 1950 à nos jours.

Tous ses personnages ont vu leur destin bouleversé par La Cité des nuages et des oiseaux, un mystérieux texte de la Grèce antique qui célèbre le pouvoir de l’écrit et de l’imaginaire.

Et si seule la littérature pouvait nous sauver ?

 

 

( lu et chroniqué )

« Le don des Merriwick » : Fata Morgana, Chika Unigwe

L’offre est brute, directe : C’est 30 000.

30 000 euros pour quitter Lagos et le désespoir qui tue.

30 000 euros pour atteindre l’Europe débordante de richesses. Une dette à laquelle s’ajoute le loyer qu’il faut rembourser par mensualités en travaillant dix heures par jour dans une rue du quartier chaud d’Anvers. Sisi, Ama, Efe et Joyce ont quitté le Nigeria, animées par cette volonté universelle : survivre pour se construire une vie meilleure. En attendant, elles partagent un modeste appartement et rejoignent chaque soir les vitrines du quartier rouge, les yeux rivés sur les promesses de l’Europe.

Mais soudain, le meurtre brutal de Sisi fait voler en éclats la routine et les silences. Et c’est toute leur histoire qui surgit alors des profondeurs de l’humanité.

Dans ce roman haletant et débordant d’une énergie vitale, Chika Unigwe raconte avec verve, grâce et passion la trajectoire de ses héroïnes malmenées par la vie, mais bien décidées à prendre leur avenir en main. Elle livre ainsi un regard rare sur la migration au féminin, le prix du déracinement et la brutalité du rêve occidental.

 

 

L’Automne Douceur de Vivre

Au moins deux titres lus qui entre dans les 3 sous catégories

« Deux citrouilles en valent mieux qu’une » : L’orphelin des docks, Cay Rademacher

Hambourg, 1947, l’été est écrasant de chaleur. L’inspecteur principal de la police allemande, Frank Stave, vivote dans une ville régie par les privations et le rationnement. Il attend des nouvelles de son fils, disparu après la guerre dans la débâcle du front de l’Est, mais commence à perdre espoir.

Dans un entrepôt en ruine, à deux pas du port désormais vide, le corps d’un enfant assassiné est découvert, étalé sur une bombe qui n’a jamais explosé. La scène est macabre et le crime odieux.

L’enquête va conduire l’inspecteur sur les traces des enfants-loups, ces orphelins de guerre qui vivent à l’écart de la société, sauf lorsque la faim les pousse au trafic ou à la prostitution.

Récit passionnant d’une enquête cadencée, L’Orphelin des docks nous entraîne dans les méandres d’une ville détruite où la loi et la morale sont suspendues.

(Déjà lu et chronique programmée pour le 12- 12)

 « La maison Slangsters» : Avec Yoga Cartel de Erwan Marinopoulos

Sandra, jeune prof de yoga, assiste au meurtre de l’homme qu’elle aime par des policiers corrompus.
Malheureusement pour elle, ces mêmes policiers travaillent avec l’inspecteur en charge de l’affaire. Elle va donc devoir mener l’enquête de son côté dans l’univers très secret des diamantaires, accompagnée de la maîtresse de son mec!
Ce duo improbable, femme et maîtresse, va devoir unir ses forces dans ce road-movie sans temps mort jusqu’au point final!

 

 

 

 

 

 

( lu et chroniqué )

« La maison Slangsters » : Avec Des meurtres qui font du bien de Karsten Dusse

On vous le promet : pas un livre ne vous détendra autant cette année !

Vous êtes anxieux, tendu, surmené ? Vous êtes décidé à lever le pied, à prendre enfin du temps pour vous ?

La méditation de pleine conscience est ce qu’il vous faut.

Sous la pression de sa femme excédée d’avoir à supporter un mari trop stressé, Björn Diemel a résolu de sauter le pas et de consulter un coach. Il espère mettre fin aux tensions qui l’habitent et retrouver la paix intérieure.

Mais quand, comme lui, on est avocat du crime organisé et que notre principal client est un mafieux aussi dangereux qu’imprévisible, il est parfois difficile de dire stop et de se débarrasser de ce qui nous encombre.

À moins de trouver une solution vraiment radicale… pour éliminer tout ce qui nuit à notre sérénité. Et enfin profiter du moment présent.

Ce thriller contemplatif, désopilant et explosif, premier volume des aventures de Björn Diemel, a été un véritable phénomène éditorial en Allemagne, où il est resté pendant plus d’un an en tête de la liste des meilleures ventes du Spiegel. Bientôt adapté par Netflix, il a donné naissance à un genre nouveau, mêlant crime et bien-être. On vous le promet : pas un livre ne vous détendra autant cette année !

 

(Chroniqué et déjà lu)

« Il n’y a jamais trop d’épices dans ma Pumpkin Pie » : On était des Loups de Sandrine Collette

Ce soir-là, quand Liam rentre des forêts montagneuses où il est parti chasser, il devine aussitôt qu’il s’est passé quelque chose. Son petit garçon de cinq ans, Aru, ne l’attend pas devant la maison. Dans la cour, il découvre les empreintes d’un ours. À côté, sous le corps inerte de sa femme, il trouve son fils. Vivant.

Au milieu de son existence qui s’effondre, Liam a une certitude : ce monde sauvage n’est pas fait pour un enfant. Décidé à confier son fils à d’autres que lui, il prépare un long voyage au rythme du pas des chevaux. Mais dans ces profondeurs, nul ne sait ce qui peut advenir. Encore moins un homme fou de rage et de douleur accompagné d’un enfant terrifié.

Dans la lignée de Et toujours les Forêts, Sandrine Collette plonge son lecteur au sein d’une nature aussi écrasante qu’indifférente à l’humain. Au fil de ces pages sublimes, elle interroge l’instinct paternel et le prix d’une possible renaissance.

 

( lu et chroniqué)

« Il n’y a jamais trop d’épices dans ma Pumpkin Pie » : Comment cuire un oursde Mikael Niemi

1852 Village de Kengis, dans le grand nord suédois.

Une jeune servante est retrouvée sauvagement assassinée dans la forêt. Pour tenter de rassurer la population, le commissaire s’empresse d’imputer l’odieux crime à… un ours.

Lars Levi Laestadius, l’excentrique pasteur du village, n’y croit pas un seul instant. Secondé par son fidèle Jussi, un jeune orphelin sámi qui le suit comme son ombre, il décide de mener l’enquête. Quitte à s’attirer les foudres des autorités locales.

Dans la droite lignée du Nom de la Rose, Comment cuire un ours est à la fois un savoureux roman policier, une peinture sociale fascinante de la Suède du XIXe siècle et une déchirante histoire d’amour.

 

 

 

( lu et chroniqué)

« Il n’y a jamais trop d’épices dans ma Pumpkin Pie » : Les corps solides, de Joseph Incardona.

Anna vend des poulets rôtis sur les marchés pour assurer l’essentiel, pour que son fils Léo ne manque de rien. Ou de pas grand-chose. Anna aspire seulement à un peu de tranquillité dans leur mobile-home au bord de l’Atlantique, et Léo à surfer de belles vagues. À vivre libre, tout simplement.

Mais quand elle perd son camion-rôtissoire dans un accident, le fragile équilibre est menacé, les dettes et les ennuis s’accumulent.

Il faut trouver de l’argent.

Il y aurait bien ce « Jeu » dont on parle partout, à la télé, à la radio, auquel Léo incite sa mère à s’inscrire. Gagner les 50 000 euros signifierait la fin de leurs soucis. Pourtant Anna refuse, elle n’est pas prête à vendre son âme dans ce jeu absurde dont la seule règle consiste à toucher une voiture et à ne plus la lâcher.

Mais rattrapée par un monde régi par la cupidité et le voyeurisme médiatique, a-t-elle vraiment le choix ?

Épopée moderne, histoire d’amour filial et maternel, Les corps solides est surtout un roman sur la dignité d’une femme face au cynisme d’une époque où tout s’achète, même les consciences.

 

 

( lu et chroniqué )

Il n’y a jamais trop d’épices dans ma Pumpkin Pie » : Comment cela se finit, Saskia Sarginson

1957 : en pleine guerre froide, les Delaney débarquent dans une base américaine du Suffolk. Le père, Todd, vient y travailler sur un projet confidentiel, accompagné de sa femme, Ruby, et de leurs jumeaux, Hedy et Christopher. Mais, au bout d’à peine un an, leur existence si parfaite vole en éclats. L’un d’entre eux a-t-il vu ce qu’il n’aurait pas dû voir ? Seule rescapée, Hedy, jeune fille rebelle, questionne le passé familial avec courage pour comprendre ce qui a vraiment eu lieu derrière les portes fermées du secret militaire. Son voyage vers la vérité la conduit sur les traces de son frère décédé mystérieusement. Progressivement, elle découvre ce qui a anéanti sa famille.

 

 

 

 

 

 

 

( lu et chroniqué )

« Chante moi une chanson Sassenach » Hobboes, Philippe Cavalier

Ravagée par une supercrise, l’Amérique doute et vacille. Des millions d’exclus prient pour un avenir meilleur aux marges de ses villes. Des frontières du Canada à celles du Mexique, rumeurs et légendes s’échangent sur les routes. Parmi les hobboes, les vagabons, on parle d’hommes doués de pouvoirs surnaturels et d’un guide promis à venger les humiliations des pauvres. On parle de révoltes et de NovAmerica, le monde d’après la prochaine révolution. On parle surtout d’un homme capable, à lui seul, de changer le destin de tout un peuple…

 

 

 

 

 

 

( lu et chroniqué )

« Chante moi une chanson Sassenach » L’aigle noir, de Jacques Saussey

Un sorcier vaudou qui décide de fonder une obscure église loin de son Togo natal. Un homme qui meurt dans une terrible attaque de requin. Une petite fille qui se replie sur sa détresse de jour en jour. L’île de la Réunion, malgré ses paysages entre lagons turquoise et montagnes luxuriantes, n’a rien du paradis auquel Paul Kessler s’attendait. Pourtant, cet ex-commandant de police n’aspirait qu’à un peu de tranquillité jusqu’à sa rencontre, à Toulon, avec Hubert Bourdonnais.

Deux ans plus tôt, ce riche industriel a quitté son île en confiant la direction de la vanilleraie familiale à Pierre, son fils unique. Mais celui-ci est décédé dans un crash d’hélicoptère il y a peu. Et si la gendarmerie a conclu à un accident, Hubert Bourdonnais, lui, ne croit pas à cette thèse. Face à ses doutes, Kessler a alors accepté de mener l’enquête, sans imaginer qu’il serait confronté à une réalité bien sombre…

 

Voilà maintenant j’ai validé ce super Pumpkin Autumn Challenge 2022

#PALduPAC

Et vous , avez vous participé à ce PAC ?

Et vous en êtes où dans votre Challenge ?

 

20 réflexions sur “Mon Bilan du Pumpkin Autumn Challenge 2022

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