Le livre : Extinction de Matthew Matter. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Christine Barbaste. Paru le 12 novembre 2015 chez Fleuve éditions dans la collection Fleuve noir. Ebook, 14€99 ;. (480 p.) ; 21 x 14 cm
4e de couv
Les situations les plus extrêmes révèlent nos pires instincts.
Alors qu’une gigantesque tempête de neige s’abat sur Manhattan, Internet s’effondre, entraînant dans sa chute les infrastructures municipales : l’électricité, l’eau courante… Le black-out est total, les vivres viennent à manquer. Dehors, c’est la loi de la jungle, entre pillages et épidémies. On accuse les Chinois, les cyberpirates. La faim, le froid, la soif guettent à chaque coin de rue – mais l’ennemi le plus redoutable partage sans doute votre palier…
Dans la résidence de Chelsea où, hier encore, les voisins se pressaient joyeusement autour d’un barbecue, confiance et solidarité s’érodent peu à peu. Mike Mitchell, jeune père et ingénieur aisé, sait que la menace peut surgir de partout. Aucune barricade ne peut garantir contre la trahison, l’égoïsme, la paranoïa… Sa vie, celles de sa femme et de son fils ne dépendent que de son jugement. À mesure que la communauté se disloque, l’extinction opère son effroyable sélection naturelle…
« Tellement bien, j’aurais aimé avoir cette idée moi-même… cette histoire m’a marqué à jamais. » Hugh Howey, auteur de Silo
L’auteur : Matthew Mather a débuté sa carrière professionnelle au Center for Intelligent Machines (CIM) à l’université McGill à Montréal. Il a également travaillé pour plusieurs start-up couvrant divers domaines, dont la cyber-sécurité, la nanotechnologie informatique, les dossiers médicaux électroniques ou encore les systèmes de prévision météorologique. Matthew Mather vit entre Montréal et Charlotte en Caroline du Nord. Extinction est son second roman, et le premier chez Fleuve Éditions. Visitez son site : matthewmather.com
Extrait :
La lumière déclinait et la neige tombait plus dru ; il y avait de nouveau du blizzard dans l’air. Au retour de Penn Station, nous avions décidé de pousser tant bien que mal jusqu’à Meatpacking, où se trouvait le garage de Chuck. Nous avions cheminé le long de rues quasi désertes, sauf lorsque nous étions passés devant l’hôtel Gansevoort, sur la Neuvième Avenue.
Une foule impressionnante était massée devant le bâtiment, encore illuminé comme un sapin de Noël, et exigeait à cor et à cri de se réfugier dans l’hôtel de luxe. Une armada d’imposants cerbères lui tenait tête. Tout le monde hurlait.
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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Un retour qui me rend curieuse 🤗
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oh oh !
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Encore une histoire à trembler, vous avez le chic pour les dénicher!
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C’est un peu mon job Marie-Christine 😉
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