Le top 10 de cécile : ses 10 coups de coeur 2020 et un peu plus

Le top 10 des Flingueuses et vous, saison 3

Le Top 10 des Flingueuses et des indics

Le top 10 de cécile : ses 10 coups de coeur 2020 et un peu plus

Voilà, Mme la Bibliothécaire, Oui, un peu plus que 10 ….

MON TOP 10 – 2020

Franchement 2020, nous n’avons vraiment pas fait la moitié de ce que nous voulions. Alors pour mon top 10, je fais ce qui me plait… donc oui, je déborde un peu, mais par catégorie, j’en ai bien 10 et pas d’ordre de préférence !! Oui, je sais Rebelle Attitude quand tu nous tiens ! Et c’est parti :

Les Mensonges du Sewol de Kim Takhwan :

 Une lecture bouleversante sur le travail des plongeurs chargés de remonter les corps piégés, principalement des lycéens dans l’épave du ferry Sewol en Corée du Sud.

Corée du Sud, 16 avril 2014 ; le naufrage du Sewol fait 304 victimes, pour la plupart des adolescents en excursion scolaire. Énorme scandale qui met en lumière des carences multiples, notamment dans l’organisation des secours. Ce drame et ses suites contribueront à la destitution de Park Geun-hye, alors présidente.

Le récit prend la forme d’une déposition écrite du narrateur – un plongeur professionnel – destinée à disculper un de ses collègues, accusé d’homicide involontaire. Il évoque l’infernale recherche des cadavres à travers l’obscur labyrinthe de l’épave, les graves traumatismes dont souffrent les plongeurs et dénonce l’incurie avec laquelle ont été menées les opérations, ainsi que les injustes accusations à l’égard de ceux qui se sont dévoués corps et âme pour rendre aux familles les dépouilles de leurs disparus. L’auteur ne cite pas le nom du navire, ni ceux des véritables protagonistes, souhaitant conférer une portée universelle à ce roman vrai. Il indique en postface que le plongeur qui lui a servi de modèle n’est plus. L’enquête qui a suivi son décès a conclu à un suicide.

 

Chinatown, Intérieur de Charles Yu :

Un scénario, un synopsis ? Une plongée maligne, drôle et addictive dans l’industrie hollywoodienne et le racisme trop ordinaire contre la communauté asiatique.

 

Willis est un Américain d’origine asiatique qui tente de percer à Hollywood. Dans un monde qui voit tout en noir et blanc, qui se pense comme un affrontement entre Noirs et Blancs, Willis a-t-il sa place ? Mêlant le petit et le grand écran, la série policière, le film de kung-fu, la comédie romantique, le film de procès, Charles Yu nous offre un grand roman américain, émouvant, tendre et parfois amer, un récit d’odyssée personnelle et de conquête sociale dans ce champ de bataille qu’est la société américaine.

Charles Yu est un Américain d’origine taïwanaise, né à Los Angeles en 1976.

 

 

 

 

 

Les publications des Éditions Matin Calme :

ou mon dealer officiel de polars coréens.

Une petite préférence coupable pour 

Le Jour du Chien noir de Song Si-woo 

pour le sujet la dépression, les phrases fluides et percutantes de l’autrice. Et peut-être aussi parce que j’ai mon nom en quatrième de couverture.

Complot pharmaceutique et dépression
Deux voisins se croisent dans la cage d’escalier. Leurs épaules se frôlent. L’un en prend ombrage et interpelle l’autre. Qui devient fou de colère et le tue. Un avocat-stagiaire est chargé de chercher des éléments pour nourrir sa défense.
C’est l’été. Une femme est retrouvée morte dans la montagne. Elle porte une tenue d’hiver de randonnée. Un inspecteur est chargé de l’enquête. Il découvre que cette femme appartenait à un groupe de parole animé par un homme qui lutte contre les antidépresseurs et crie au complot pharmaceutique.
Peu à peu, les deux enquêtes convergent et les soupçons autour du groupe de parole se font plus précis…

 

 

Enfin il ne faut pas oublier le drôlissime 

Carnet d’enquête d’un beau gosse nécromant de Jung Jaehan, 

 

Chamane VS Gourou !

Chamane : n. m. Désigne un Beau Gosse qui roule en Ferrari de collection (un peu hors d’âge) et s’habille sur mesure chez les tailleurs milanais et londoniens. Signe particulier : escroc.

Un Beau Gosse et une policière as du kung-fu !

Des tas de bandits !

Une personne dont on ne peut pas tout vous dire sur la quatrième de couverture de ce livre, sans quoi vous perdriez le sel du dénouement !

Des héros archétypiques !

Le cadavre d’une future star de la K-pop en escarpins blancs !

Une comédie policière coréenne déjantée !

Par la web-autrice star de Corée, Jung Jaehan !

Du rire !

De l’action !

 

l’hyper-intelligent 

Seoul Copycat de Lee Jong-kwan 

Un copycat dément joue à reproduire les crimes de meurtriers ayant échappé à la justice.

Meurtre n°1
Une femme a été retrouvée noyée dans sa baignoire.
La porte de la maison n’a pas été forcée.
Les soupçons portent sur son mari, Han Kibum.

Meurtre n°2
Une lycéenne fugueuse est découverte morte sur un toit-terrasse. Elle s’est vidée de son sang.
Les soupçons portent sur Lee Jeongwoo, employé de banque.

Meurtre n°3
Une femme a disparu sans laisser la moindre trace.
Son mari est un professeur d’université.
Les soupçons portent sur cet homme, Kim Younghak.

Quelques mois après, Han Kibum est retrouvé mort noyé. Quelques mois après, Lee Jeongwoo est assassiné, saigné à blanc. Quelques mois après, Kim Younghak est porté disparu.

Et un amnésique détient peut-être la clé de l’énigme.

 

et le très cinématographique 

Bonne nuit maman de Seo Mi-ae.

Le Silence des agneaux Made in Korea
Seonkyeong, criminologue, est sollicitée par un serial-killer qui attend son jugement en prison. Cet homme qui a assassiné une douzaine de femmes veut lui parler, à elle et à personne d’autre. Intelligent, manipulateur, ses motivations restent floues mais tous s’accordent à dire que Seonkyeong devra faire preuve de la plus grande prudence face à ce criminel hors normes.
Dans le même temps, son mari se voit contraint de faire venir chez eux la fille qu’il a eu d’un précédent mariage. Une petite de onze ans qui serre contre elle son ours en peluche, une petite bouleversée par les décès de sa mère et de ses grands-parents maternels. Des décès pour le moins suspects d’ailleurs…

Bonne nuit maman est le premier opus d’une trilogie consacrée à Ha-young, jeune criminelle qui incarne les bouleversements vécus par la société coréenne.

 

Mes fictions françaises au top :

 

Pour sa plume douce-amère sous le soleil parfois cru de la Corse, 

Cécilia Castelli avec Fréres Soleil.

Frères soleil

Chaque été sur l’île, les deux frères retrouvent leur jeune cousin venu du continent. Ensemble, les enfants pèchent, jouent, chahutent. Rémi, le plus jeune des trois, est en admiration devant les deux grands. Il aimerait leur ressembler mais il n’est pas vraiment comme eux, il ne vit pas ici. De leur côté, les adultes profitent de l’insouciance de l’été. Sur le terrain familial, au bord de la mer, l’existence est plus douce. Au soleil, ils souhaitent effacer les anciennes cicatrices, celles dont on ne parle jamais, le meurtre du grand-père et l’enfant qui devait naître.

Leur histoire se mêle à celle des ancêtres. Dans la maison au figuier, figure tutélaire, il y a la vieille tante Maria. Signadora mystique, sorcière, guérisseuse qui perpétue les traditions immémoriales. Les enfants la redoutent, s’interrogent sur cette femme silencieuse et toujours en noir. Puis ils grandissent et pensent à d’autres jeux, aux feux de camp sur la plage avec les filles notamment.

Mais quand vient la fin de l’adolescence, que certains choix s’imposent même s’il semble impossible de quitter l’île, un nouveau drame se produit. Meurtre ou accident ? Comme leurs parents avaient autrefois dissimulé les blessures, la nouvelle génération se retrouve à son tour confrontée à l’indicible.

 

Pour sa plume de psychopathe, mais pas que… , 

Sacha Erbel avec Eugène Terredefeu.

 

La petite ville de Plymouth, sur la côte Est des États-Unis, voit sa quiétude bouleversée depuis que moi, Eugène Terredefeu, je suis arrivé en ville. Non pas que je sois mêlé à cet horrible meurtre commis dans le parc, mais des événements troublants se succèdent, et pas seulement en matière d’homicide.

 En passionné de romans noirs, je colle aux basques de Lilly Anak, agent du FBI tourmentée, pour tenter d’en apprendre plus.
Je vois bien qu’elle cache des éléments importants et bien plus terrifiants encore, liés à l’assassinat de cette future maman. Pire encore, c’est au péril de ma propre vie que je vais être confronté au Mal absolu. Celui que l’on ne voudrait croiser sous aucun prétexte ! Pas même dans ses pires cauchemars !

Et ce n’est pas Poison qui vous dira le contraire ! Hein ? … quelle petite peste, celle-là ! …

 

La Corée du Nord :

 

Avec deux livres témoignages choc de deux échappées de cette secte à ciel ouvert qu’est la Corée du Nord : 

Je voulais juste vivre de Yeonmi Park

Je voulais juste vivre

2007. Après des années de privations et de harcèlement, par une nuit glaciale, Yeonmi, 13 ans, et sa mère réussissent à traverser le fleuve Yalu qui marque la frontière entre la Corée du Nord et la Chine. Elles laissent derrière elles leur pays natal et ses horreurs : la faim, la délation constante et surtout une répression impitoyable. Mais leur joie n’est que de courte durée. Rien ne les a préparées à ce qui les attend entre les mains des passeurs. Après plusieurs années d’épreuves inhumaines et un périple à travers la Chine et la Mongolie, Yeonmi atteint finalement la Corée du Sud.

À 23 ans, Yeonmi est désormais une combattante : c’est l’une des plus influentes dissidentes nord-coréennes et une activiste reconnue des droits de l’homme.

 

et 

La fille aux sept noms de Hyeonseo Lee.

Hyeonseo a passé son enfance en Corée du Nord, piégée comme des millions d’autres par l’une des plus secrètes et brutales dictatures. Elle grandit dans la ville de Hyesan près d’une rivière qui trace une frontière naturelle avec la Chine, un autre monde insaisissable.

Au milieu des années 1990, la famine s’abat sur le pays. Chaque jour témoin de la répression et de la pauvreté, elle comprend que sa patrie ne peut être «le meilleur des mondes» qu’on lui vante depuis toujours. À 17 ans, au coeur de l’hiver, Hyeonseo décide de traverser la rivière gelée. Elle ne peut imaginer alors qu’elle ne reverra pas les siens avant longtemps. C’est un voyage sans retour. Elle apprend à survivre clandestinement en Chine, échappant à la police et aux trafiquants, grâce à un esprit de débrouillardise et une témérité incroyables.

Douze ans plus tard, et presque autant de vies, elle revient à la frontière pour une mission plus périlleuse encore : faire sortir du pays sa mère et son frère et les conduire jusqu’en Corée du Sud…

 

Et un recueil de nouvelles qui décrit le quotidien hallucinant des Coréens dans les années de 90 du culte de la personnalité de la dynastie Kim, de la famine, à la surveillance constante entre voisins. 

La dénonciation de Bandi.

Bandi, qui signifie «Luciole», est le pseudonyme d’un écrivain qui vit en Corée du Nord. Après bien des péripéties, dissimulés dans des livres de propagande communiste, ses manuscrits ont franchi la frontière interdite pour être publiés en Corée du Sud. Mais pas leur auteur. Bandi a choisi de rester, lui qui se veut le porte-parole de ses concitoyens réduits au silence. Ses récits où s’expriment son émotion et sa révolte dévoilent le quotidien de gens ordinaires dans une société où règnent la faim, l’arbitraire, la persécution et le mensonge, mais aussi l’entraide, la solidarité, et l’espoir, chez ceux qui souffrent. Des récits d’une grande humanité, et l’oeuvre d’un authentique écrivain.

Je vis en Corée du Nord depuis cinquante ans, Comme un automate qui parle, Comme un homme attelé à un joug.

J’ai écrit ces histoires, Poussé non par le talent, Mais par l’indignation, Et je ne me suis pas servi d’une plume et d’encre, Mais de mes os et de mes larmes de sang.

 

La belle littérature de Hwang Sok-yong :

Le vieux jardin :

 un de ses œuvres les plus autobiographiques qui parlent de l’engagement politique, de l’emprisonnement, de l’amour malgré tout. Une plume contemplative et magnifique.

« Toi au-dedans et moi au-dehors, nous avons vécu ce monde. Ce fût parfois difficile mais réconcilions-nous avec les jours passés… » Il y a dans le Vieux jardin, roman peut-être le plus autobiographique de Hwang Sok-yong, une éblouissante histoire d’amour. Entre O Hyônu, opposant politique, et Han Yunhi, artiste peintre. Une histoire en deux temps. Celui de la jeunesse, quelques mois de passion dans la Corée des dictatures. Puis la séparation, brutale, sans appel.

Quand O Hyônu sort de prison, après dix-huit ans d’isolement, il ne retrouve de Yunhi que son journal intime, ses lettres, ses cahiers… Se dessine alors le magnifique portrait d’une femme engagée. Et celui, plus universel encore, d’une génération qui a voulu réaliser le rêve d’une vie meilleure.

 

 

Monsieur Han :

 un court roman sur le destin brisé d’un homme du Nord qui passe au Sud. Puissant !

À travers la descente aux enfers d’un homme écartelé par la division de son pays, brutalement séparé de sa famille, socialement déclassé, renié par le Nord et suspecté au Sud, partout indésirable, Hwang Sok-yong dit toute la cruauté d’une époque en folie qui pousse les êtres dans des voies sans issue. D’où l’émouvante beauté de son personnage, devenu emblématique.

Récit poignant, fulgurant, de l’existence d’un Candide pris malgré lui dans l’engrenage de l’Histoire, Monsieur Han est une oeuvre majeure de la littérature coréenne contemporaine.

« Merveilleux nouvelliste et saisissant romancier, Hwang Sok-yong a la trempe de ces idéalistes qui, parfois, finissent par dicter leur texte à l’Histoire. »

 

Génération offensée de Caroline Fourest :

 un essai militant pour une lutte universaliste contre les replis communautaires et religieux. Un appel à vivre ensemble et surtout à lutter ensemble.

 

C’est l’histoire de petits lynchages ordinaires, qui finissent par envahir notre intimité, assigner nos identités, transformer notre vocabulaire et menacer nos échanges. Une peste de la sensibilité.

Chaque jour, un groupe, une minorité, un individu érigé en représentant d’une cause, menace, et censure parce qu’il se dit « offensé ». Souvent, le procès est mené en criant à l’« appropriation culturelle », ce nouveau blasphème.

Au Canada, des étudiants réclament la suppression d’un cours de yoga pour ne pas risquer de « s’approprier » la culture indienne. Aux États-Unis, la chasse aux sorcières traque les menus asiatiques dans les cantines et l’enseignement des grandes oeuvres classiques, jugées choquantes et normatives. Des étudiants s’offusquent à la moindre contradiction, qu’ils considèrent comme des « micro-agressions ». Au point d’exiger des safe space, où l’on apprend à fuir le débat et l’altérité. La parole même est confisquée, selon l’origine géographique ou sociale, le genre ou la couleur de peau. Une intimidation qui va jusqu’à la menace physique et au renvoi de professeurs.

La France croyait résister à cette injonction, mais là aussi, des groupes tentent d’interdire des expositions ou des pièces de théâtre… souvent antiracistes ! La police de la culture vire à la police de la pensée.

Ce livre propose une voie authentiquement féministe et antiraciste, universaliste, qui permet de distinguer le pillage de l’hommage, tout en continuant à penser et se parler.

 

L’art de la fiction en peu de mots de Kim Young-ha :

Tout d’abord, 

Ma mémoire assassine :

un polar court et réjouissant qui m’a réconcilié avec la maladie d’Alzheimer comme élément central de ce récit.

Un ex-tueur en série décide de reprendre du service. Seul problème : il a soixante-douze ans et vient d’apprendre qu’il est atteint de la maladie d’Alzheimer.

Sous ses dehors de vieillard inoffensif s’adonnant à ses heures perdues à la poésie et la philosophie, se cache un redoutable meurtrier qui a assassiné sans remords des dizaines de personnes. Aujourd’hui il repart en chasse alors que rôde autour de sa maison un homme qui menace de s’en prendre à sa fille adoptive bien-aimée.

S’engage alors une course contre la montre : tuer avant d’oublier qui il est, avant que la maladie n’ait raison de lui, qu’il ne devienne prisonnier d’un temps sans passé ni futur.

Un étrange roman d’humour noir dont l’héroïne n’est autre que la mémoire qui se dérobe et brouille les pistes, jusqu’à un dénouement proprement stupéfiant.

Et 

Qu’est devenu l’homme coincé dans l’ascenseur ?

 De la comédie, de la tragi-comédie en passant par le fantastique et le doux-amer, un recueil de quatre nouvelles enthousiasmantes.

Chez Kim Young-ha, les vampires ne mordent pas, les écrivains ont peur de leur ombre, et c’est par amour qu’un homme devient invisible. Lorsque ses histoires se colorent de fantastique, c’est une étrangeté qui serait comme l’empreinte rémanente d’une vérité philosophique. Parfois, dès le réveil, vous avez le pressentiment que tout ira de travers. Une de ces journées où les gestes les plus simples comme se raser, prendre le bus ou monter dans un ascenseur peuvent avoir des conséquences désastreuses. Où la succession de catastrophes devient une cascade de gags révélateurs de l’absurdité de notre condition.

Entre Kafka et Buster Keaton, des nouvelles scintillantes d’humour noir. Un régal !

 

 

Les fureurs invisibles du cœur de John Boyne : 

Une saga qui embarque dans une Irlande corsetée par la religion, les préjugés et l’homophobie d’Église et d’État… un pavé de 864 pages d’émotions !

Cyril Avery n’est pas un vrai Avery et il ne le sera jamais – ou du moins, c’est ce que lui répètent ses parents adoptifs. Mais s’il n’est pas un vrai Avery, qui est-il ?
Né d’une fille-mère bannie de la communauté rurale irlandaise où elle a grandi, devenu fils adoptif d’un couple dublinois aisé et excentrique par l’entremise d’une nonne rédemptoriste bossue, Cyril dérive dans la vie, avec pour seul et précaire ancrage son indéfectible amitié pour le jeune Julian Woodbead, un garçon infiniment plus fascinant et dangereux.
Balloté par le destin et les coïncidences, Cyril passera toute sa vie à chercher qui il est et d’où il vient – et pendant près de trois quarts de siècle, il va se débattre dans la quête de son identité, de sa famille, de son pays et bien plus encore.
Dans cette œuvre sublime, John Boyne fait revivre l’histoire de l’Irlande des années 1940 à nos jours à travers les yeux de son héros. Les Fureurs invisibles du cœur est un roman qui nous fait rire et pleurer, et nous rappelle le pouvoir de rédemption de l’âme humaine.

L’entertainment intelligent de Kevin Kwan :

Des paillettes, de la richesse, du dépaysement avec les ultra-riches de la communauté asiatique de Singapour, Hong Kong et des USA, mais aussi avec la saga de 

Crazy Rich Asian 

« Extravagant et follement drôle… Issu lui-même de cette aristocratie chinoise qu’il dépeint si bien, Kévin Kwan connaît son sujet sur le bout des doigts ! »
« Un Orgueil et préjugés sauce satay. »
« Impossible de résister à cette famille de jet-setters à l’invraisemblable collection de Louboutin, Hilarant ! »
Lorsque la New-Yorkaise Rachel Chu débarque à Singapour au bras de son boyfriend Nicholas Young, venu assister au mariage de son meilleur ami, elle pense juste passer de paisibles vacances en amoureux. Mais le beau Nick a « oublié » de lui dire que sa famille est l’une des plus fortunées d’Asie, que le mariage prévu est l’Événement de l’année, et qu’il est l’héritier le plus convoité de tout l’Extrême-Orient !

Pour Rachel, le séjour de rêve se transforme en un véritable parcours du combattant – en stilettos et robes couture… Sino-américaine, pauvre et roturière : bonne chance !

« Une comédie vertigineuse sur la société de consommation… Absolument irrésistible. »

Jamais trop riches, jamais trop snobs, jamais trop excentriques…

À la veille d’épouser le célibataire le plus convoité de l’Asie du Sud-Est, Rachel Chu se retrouve confrontée à un redoutable secret de famille. Une découverte qui va la mener de Singapour à Shanghai et Pékin, où les nouveaux riches chinois en surenchère de bling-bling et d’excentricités relèguent nos it-girls occidentales au rang de jeunes filles rangées !

Ascension sociale, milliardaires en mal d’amour et de folies, scandales en tous genres… Kevin Kwan nous entraîne dans l’univers argenté et déjanté d’une jet-set asiatique qu’il connaît comme personne. Cinglant, fascinant et jubilatoire, un roman où (presque) rien n’est inventé.

« Un concentré de Gossip girl, Dynastie et de famille royale d’Angleterre. Les personnages de Kevin Kwan se conduisent de façon atroce – et c’est absolument hilarant. On adore ! »

dont 

Rich people problems (pas encore édité en Français)

 est le dernier opus. Kevin Kwan fait jouer un autre rôle que celui habituellement donné à cette communauté.

Kevin Kwan, bestselling author of Crazy Rich Asians(soon to be a MAJOR MOTION PICTURE starring Constance Wu, Henry Golding, Michelle Yeoh and Gemma Chan) and China Rich Girlfriend, is back with an uproarious new novel of a family riven by fortune, an ex-wife driven psychotic with jealousy, a battle royal fought through couture gown sabotage, and the heir to one of Asia’s greatest fortunes locked out of his inheritance. When Nicholas Young hears that his grandmother, Su Yi, is on her deathbed, he rushes to be by her bedside–but he’s not alone. The entire Shang-Young clan has convened from all corners of the globe to stake claim on their matriarch’s massive fortune. With each family member vying to inherit Tyersall Park–a trophy estate on 64 prime acres in the heart of Singapore–Nicholas’s childhood home turns into a hotbed of speculation and sabotage. As her relatives fight over heirlooms, Astrid Leong is at the center of her own storm, desperately in love with her old sweetheart Charlie Wu, but tormented by her ex-husband–a man hell bent on destroying Astrid’s reputation and relationship. Meanwhile Kitty Pong, married to China’s second richest man, billionaire Jack Bing, still feels second best next to her new step-daughter, famous fashionista Colette Bing. A sweeping novel that takes us from the elegantly appointed mansions of Manila to the secluded private islands in the Sulu Sea, from a kidnapping at Hong Kong’s most elite private school to a surprise marriage proposal at an Indian palace, caught on camera by the telephoto lenses of paparazzi, Kevin Kwan’s hilarious, gloriously wicked new novel reveals the long-buried secrets of Asia’s most privileged families and their rich people problems.

Et

 Sex and Vanity,

(pas encore édité en Français)

son dernier one shot sorti, la lecture vous emmène à Capri, que demander de plus.  

 

The iconic author of the bestselling phenomenon Crazy Rich Asians returns with a glittering tale of love and longing as a young woman finds herself torn between two worlds–the WASP establishment of her father’s family and George Zao, a man she is desperately trying to avoid falling in love with. On her very first morning on the jewel-like island of Capri, Lucie Churchill sets eyes on George Zao and she instantly can’t stand him. She can’t stand it when he gallantly offers to trade hotel rooms with her so that she can have the view of the Tyrrhenian Sea, she can’t stand that he knows more about Curzio Malaparte than she does, and she really can’t stand it when he kisses her in the darkness of the ancient ruins of a Roman villa and they are caught by her snobbish, disapproving cousin, Charlotte. « Your mother is Chinese so it’s no surprise you’d be attracted to someone like him, » Charlotte teases. Daughter of an American-born-Chinese mother and blue-blooded New York father, Lucie has always sublimated the Asian side of herself in favor of the white side, and she adamantly denies having feelings for George. But several years later, when George unexpectedly appears in East Hampton where Lucie is weekending with her new fiancé, Lucie finds herself drawn to George again. Soon, Lucy is spinning a web of deceit that involves her family, her fiancé, the co-op board of her Fifth Avenue apartment, and ultimately herself as she tries mightily to deny George entry into her world–and her heart. Moving between summer playgrounds of privilege, peppered with decadent food and extravagant fashion, Sex and Vanity is a truly modern love story, a daring homage to A Room with a View, and a brilliantly funny comedy of manners set between two cultures.

Et vivement les lectures de 2021 !!

21 réflexions sur “Le top 10 de cécile : ses 10 coups de coeur 2020 et un peu plus

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