Papote d’auteur, Isabelle Villain était avec Nelly Topscher

Il y a quelques jours nous vous proposions, sur Collectif Polar, une chronique sur Ultricem Angelus le dernier livre  de Nelly Topscher . Ce soir Isabelle notre auteur-Flingueuse vous propose de mieux connaitre son auteur.

Aussi je vous laisse avec :

l’interview exclusive de Céline Servat par Isabelle Villain


Papote d’auteur, Isabelle Villain était avec Nelly Topscher

L’Interview

Bonjour Nelly, pour ceux qui ne te connaissent pas encore très bien, peux-tu te présenter en quelques mots ?

Originaire de Montpellier (ça c’est pour l’accent !) et habitant les Yvelines( oui l’amour m’a fait quitter mon soleil en 2002 !), je suis juriste de métier( métier choisi que j’affectionne) et auteure à mes heures perdues. J’ai aussi récemment développé une activité accessoire de conseiller-agent littéraire.

Quelles sont tes passions en dehors de l’écriture et de la lecture ?

Les randonnées dans les bois, et discuter avec mes ami(e)s

Tu peux me citer un livre qui t’accompagne ?

Qui m’accompagne pas vraiment mais que j’ai besoin de relire souvent c’est le Petit prince de st Exupéry.

 

Une chanson ?

Nothing Else Matters de Metallica.

 

Un film ?

Le cercle des poètes disparus

 

Un souvenir de voyage ?

La première fois où mon mari m’a présenté à ces enfants dans les Ardennes. Du fait de notre différence d’âge, j’ai des beaux enfants plus vieux que moi (pas de beaucoup mais quand-même !!)

 

Tu as toujours beaucoup lu, mais as-tu toujours eu envie d’écrire ? 

Absolument pas. J’avais commencé des romans étant étudiante mis je n’avais jamais eu l’idée d’en faire quelque chose. Cette envie n’est venue qu’en 2017 quand j’ai participé à un concours de nouvelles et que j’ai rencontré ceux qui allaient devenir mes bêta-lecteurs.

 

Quel est ton genre de prédilection en matière de romans ?

Je lis principalement des thrillers et romans noirs, mais je suis ouverte à tous les genres dès lors que je vibre pour l’histoire.

Ultricem Angelus est ton dixième roman si j’ai bien compté. Tu parviens à changer de style et d’univers très facilement. De la romance, de la dark romance, du thriller, des nouvelles… Rares sont les auteurs qui y parviennent. Tu as un secret ?

Je déteste la routine et j’ai besoin de relever des défis. Etre étiquetée, rentrer dans un moule est incompatible avec mon côté rebelle.

Les thématiques que tu abordes dans tes romans sont très fouillées. La partie recherche te demande beaucoup de temps ?

Pour un thriller oui énormément. Même si je m’accorde des libertés car un roman reste une fiction j’aime que les évènements apparaissent réels, et le plus crédibles possible .

 

Auto édition ou bien maison d’édition. As-tu une préférence comme tu as testé les deux ?

Pour la « tout contrôle et chieuse » que je suis l’auto-édition s’est imposée pour ne plus être soumise à des délais, des mises en ligne etc.. J’ai néanmoins énormément appris dans ma maison d’édition.

 

Tu es plutôt plan très structuré ou écriture au fil de l’eau ?

Mes personnages prennent toujours les rênes de mes romans donc même si j’élabore un plan, je ne le respecte pas forcément.

 

Travailles-tu actuellement sur un nouveau projet ?

Je suis en train d’écrire le dernier chapitre de mon 3ème thriller. Je réfléchis déjà à un prochain sans trop pousser mon cerveau non plus car j’ai dans mes fichiers plusieurs romans finis dans leur 1er jet qui attendent d’être corrigés.

 

Pour conclure, un coup de cœur ?

Celui qui détrône tout depuis novembre 2018, c’est La corde de mi de Christian Guillerme. Il y en eu d’autres depuis mais celui-là reste spécial car il fut ma 1ère beta-lecture. Et c’est par celui-ci que j’ai petit à petit eu envie de devenir conseiller-agent littéraire, car il parait que je le vends très bien ce thriller.

 

Un coup de gueule ?

Sur la méchanceté et le manque de bienveillance que l’on retrouve de plus en plus dans le monde livresque, et plus particulièrement sur les réseaux sociaux. Je ne comprends pas que certains fassent du « cassage d’auteurs », un sport. J’estime (c’est peut-être mon côté bisounours !) qu’il y a de la place pour chaque auteur, chaque roman. Pour moi chaque livre est fait pour un lecteur et celui qui n’aime pas du tout le texte passe son chemin, se tait au lieu de dézinguer à tout va. La critique est bonne à prendre quand elle est constructive mais c’est très rarement le cas. A part faire du mal et faire douter l’auteur(e), je ne comprends pas l’objectif.

 

Et un dernier petit mot ?

Un grand merci pour cette interview et j’espère que 2021 permettra de renouer avec les rencontres entre auteur(e)s et lecteur lors d’n salon ou séance de dédicaces.

Un grand merci pour ta disponibilité Nelly !

4 réflexions sur “Papote d’auteur, Isabelle Villain était avec Nelly Topscher

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