En voyage avec Collectif Polar
Et si nous faisions un tour d’Europe ou presque.
Le livre : Les anneaux de la honte de François Thomazeau. Paru le 22 août 2012 chez l’Archipel dans la collection Coeur Noir. 18€95. (260 p.) ; 24 x 16 cm
4e de couv :
Après l’annulation de contre-jeux censés se dérouler en Espagne. Albert est envoyé à Berlin avec une délégation française afin de soutenir discrètement les républicains espagnols et arrêter les exportations d’armes allemandes.
Chargé d’enquêter pour éviter la mise en place de ce trafic d’armes, Albert accepte, rêvant d’apporter sa pierre à l’édifice, et persuadé que la guerre est inévitable.
Au cours de sa mission, Albert fera la connaissance de la belle Anna Mayer, escrimeuse juive qui participe aux Jeux avec l’équipe allemande.
De trompeuses apparences vont entraîner Anna et Albert dans une dramatique aventure d’espionnage et de passion…
L’auteur : François Thomazeau est né le 13 avril 1961 à Lille.
Il est l’un des pionniers de la vogue du polar marseillais. En 1995, il publie « La faute à Dégun » chez l’éditeur corse Misteri, qui devient l’un des premiers néo-polars situés dans la cité phocéenne.
À partir des années 2000, Thomazeau se consacre à l’édition. Il a ainsi fondé avec plusieurs complices la maison d’édition L’Écailler du sud ( devenu L’Écailler aujourd’hui malheureusement disparu). Diplômé de l’École supérieure de journalisme de Lille, il est également journaliste sportif. Il a longtemps été chef du service des sports de l’agence Reuters à Paris et a obtenu en 2005 le prix du meilleur article sportif de l’année décernée par l’Union syndicale des journalistes sportifs de France (USJSF).
François Thomazeau est aussi traducteur de l’anglais et musicien occasionnel.
Extraits :
« C’est à l’issue d’un Conseil des Ministres du Front Populaire et par un communiqué du Quai d’Orsay que fut officialisée la position française de « non-intervention » en Espagne et son appel aux autres nations européennes de se rallier à cette position. Le texte était l’œuvre d’Yvon Delbos, ministre radical des Affaires étrangères, connu pour sa proximité avec les thèses anglaises et sa répugnance à s’engager. Geneviève Tabouis, la grande journaliste diplomatique de Paris-Soir, disait de lui qu’il était l’incarnation même de l’eau tiède et que, dans les périodes de grande indécision, il était passé maître dans l’art… de ne rien décider. »
« Nous n’étions plus chez Hitler et ses tristes sbires, mais chez Hansel et Gretel. »
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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