Le livre : Le mur du temps de Ludovic Metzker Paru le 31 Janvier 2022 en Auto édition. , 18 €. (458 pages) ; 21 x 15 cm.
4ème de couverture :
Paris, juillet 2016
Benoît est un jeune étudiant en histoire. Pour terminer son mémoire sur l’Holocauste, il se rend au « Mémorial de la Shoah » accompagné de Jennifer, sa meilleure amie dont il est secrètement amoureux.
Devant un morceau du mur de l’ancienne synagogue de Lodz, le jeune homme fait un malaise…
Lodz, juillet 1944
Benjamin n’aspire qu’à retrouver la liberté volée par les nazis.
Battu et laissé quasiment pour mort par les Maquereaux devant le mur de l’ancienne synagogue, il fait une prière tout en sachant que ses jours sont comptés.
Épuisé, il se laisse aller et pense que la mort l’arrache à la vie…
Contre toute attente, Benoît et Benjamin vont échanger leur vie et se retrouver chacun dans la peau de l’autre.
Alors que Benjamin découvre une nouvelle forme de liberté, Benoît comprend qu’il ne lui reste plus que quelques semaines à vivre…
L’auteur : Ludovic Metzker voit le jour à Paris, le 28 juin 1974. Amateur d’histoire et de mythologie, l’auteur voue une passion pour la lecture grâce à des auteurs comme Boris Vian, Alexandre Dumas ou encore Bernard Cornwell et débute l’écriture d’un premier essai lors de ses 20 ans, mais il commencera la création de son premier projet en 2013 avec la saga « L’homme sans nom“ et la saga ”Et si demain n’existait plus ? » Commercial dans la bureautique, ancien responsable d’achat dans le prêt-à-porter féminin, passionné d’informatique, de cinéma, l’auteur imagine des mondes qui se veulent novateurs tout en mélangeant les genres.
Extrait :
« Pleurer voilà ma seule richesse. Des larmes qui vont trouver leur eau je ne sais où, vu que boire est un luxe que nous ne pouvons pas nous offrir. Peut-être en goûtant à mes larmes j’aurai de quoi rassasier mon ventre ? Même la pluie ne veut pas rentrer dans ma bouche alors les larmes … Pourtant, je tente avec ma langue, d’en accueillir quelques -unes. Je ne demande pas grand-chose. Juste qu’une larme pénètre sur ma langue et me rappelle, en se glissant dan mon gosier que boire est important. Ma main posée sur le mur et voilà que je me mets à prier ».
Freaky friday, en quelque sorte 😆
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😆😆
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Merci Sylvie, je me le note de ce pas ! Cet échange de vie et de corps, dans deux époques complètement opposées me tente beaucoup. 😃
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Ha, là ma curiosité est clairement éveillée !
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Et tu m’en vois ravie ;-P
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