Le livre : L’heure du diable de Patrick Bauwen. Paru le 26 août 2020 chez Albin Michel, le 26 août 2020 – 21€90. (476 p.) ; 23 x 16 cm
4e de couverture
Chris Kovak est médecin, agoraphobe, incapable de sortir de chez lui. Quand un mystérieux patient le contacte, un compte à rebours meurtrier commence.
Audrey Valenti est lieutenant de la brigade Évangile, spécialiste des crimes du métro. Lorsque le corps d’une inconnue habillée en sorcière est retrouvé sur les voies ferrées, débute la plus incroyable des enquêtes.
Tous deux traquent le diable, un psychopathe monstrueux et insoupçonnable.
Mais c’est le diable qui va les trouver.
L’auteur : Patrick Bauwen, nom de plume de Patrick Bousquet, est un romancier français spécialisé dans le roman policier.
Médecin urgentiste, il est responsable d’un service d’urgences dans une clinique à L’Isle-Adam, en région parisienne et vit une partie du temps aux États-Unis.
Il s’est lancé dans l’écriture en rédigeant des scénarios de jeux de rôle pour Casus Belli dans les années 1990, et des novellisations (Lanfeust de Troy notamment) au début des années 2000 avec Christophe Debien.
Son premier roman « L’Œil de Caine » (2006), salué unanimement et traduit dans cinq langues, reçoit le Prix Carrefour du premier roman et le Prix Polar des lecteurs du Livre de Poche.
« Monster », a obtenu le Prix Maison de la Presse en 2009.
« Seul à savoir », prix Littré 2011, traite du danger des réseaux sociaux, de la recherche médicale, de l’argent sale et des nouvelles technologies.
En 2017, il reçoit le Grand Prix des lecteurs Le Grand Livre du Mois et le Prix du Polar Babelio.com-Albin Michel, pour « Le Jour du chien ».
En 2018, Chris Kovak, déjà présent dans « Le jour du chien », reprend du service dans « La nuit de l’ogre ».
Extrait :
Les gens réagissent à la colère comme des miroirs. Ce sont leurs neurones miroirs qui parlent. Ces structures de la reconnaissance qui permet l’apprentissage par imitation. De la même façon qu’un enfant mime les réactions faciales de ses parents. Si un gosse pleure dans une classe de maternelle, tous les autres pleurent avec lui sans savoir pourquoi. La colère contamine la foule.
A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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