Thanh Van Tran Nhut à l’honneur #4 – Octobre

Le quatrième « Auteur à l’honneur » sur Collectif Polar sera une auteure.

Et c’est Thanh Van Tran Nhut  que j’ai choisi de mettre en avant.

Mais avant de vous expliquer pourquoi c’est Elsa qui poursuit cette nouvelle rubrique sur notre blog, je vous en rappelle le principe.

L’idée est que chaque mois, on se fasse découvrir un auteur qui nous tient à cœur. Étant tous des lecteurs d’horizons différents, cela permet aux uns et aux autres d’explorer d’autres univers qui nous tentent ! Pour participer, rien de plus simple :
  • une photo de l’auteur
  • une bref biographie de lui
  • Et enfin, deux ou trois livres que vous avez aimés et pourquoi !
Pour participer, vous n’avez plus qu’à me laisser un commentaire avec le lien vers votre article et je l’ajouterai au mien 🙂 Alors à vos claviers !

 

Mais revenant à notre auteur à l’honneur

Thanh Van Tran Nhut

J’ai choisi cet auteur car comme les trois précédents, j’ai eu la chance de la recevoir dans ma bibliothèque pour un de mes fameux Apéro Polar. Et ce fut un moment riche. J’y ai appris énormément de choses. Et je n’étais pas la seule. Mes lecteurs ont été eux aussi conquis. Ce fut une nouvelle fois un exceptionnel moment d’échanges et de partage.

photo @Michèle Barrière

De plus  Thanh Van était rentrée la veille de notre rencontre de Nouvelle Zélande. 42 heures de voyage….Incroyable, même avec un tel décalage horaire, notre auteur s’est montrée d’une gentillesse et d’une telle disponibilité qu’elle a de suite su conquérir le public de cette fabuleuse rencontre.

Son parcours, ses bouquins

Thanh-Van Tran-Nhut  est l’auteur d’une série policière située dans le Viêt-Nam du XVIIe siècle. Mais pas seulement…

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Thanh-Van Tran-Nhut naît à Huê, au Viêt-Nam, en 1962. Impénitents, ses parents, professeurs de mathématique et de sciences naturelles, continuent sur leur lancée et Kim vient agrandir la famille en 1963. Jours tranquilles dans une grande maison au bord d’un cours d’eau.

En 1968, la famille s’installe aux Etats-Unis, les parents ayant choisi d’étudier dans l’un des états les plus froids du pays : le Michigan, au cœur de la région des Grands Lacs. Années inoubliables, faites de blizzards et de tornades, et placées sous le signe de Peace & Love.

Le choc culturel et thermique est brutal pour les Tran Nhut et surtout pour les deux petites.

1971, arrivée en France. Une nouvelle langue et une nouvelle vie, d’abord à Crotenay, un petit village jurassien, puis dans une petite ville de Haute-Saône. Adolescence en pattes d’eph et Clarks. Les deux soeurs passent un Bac Scientifique. Papa est intransigeant, il faut-être bon en classe.

Après le baccalauréat, leur chemin se sépare. Kim fait des études de physique à Normale Sup, tandis que Thanh-Van repart aux Etats-Unis. Soleil de Pasadena, Richard Feynman déambule encore à l’ombre des oliviers et le premier télescope Keck commence à voir le jour.

Quelques années plus tard, Thanh-Van revient en France avec un diplôme d’ingénieur en mécanique du California Institute of Technology. Plongée dans le monde informatique.

10516681_272402242945937_6823701988326705924_n1999, les deux sœurs se lancent dans l’écriture d’une série policière située dans le Viêt-Nam du XVIIe siècle. C’est Kim qui initie le projet, Thanh Van est moins enthousiaste. L’arrière-grand-père maternel, figure mythique de la famille pour avoir accédé très jeune aux fonctions de mandarin, servira de modèle au héros du roman. Il prête ainsi son intelligence et sa sagacité à un jeune magistrat, Tân, qui affiche des traits virils et promène un physique de guerrier. Un héros pétrit de confucianisme.,doctrine politique et sociale érigée en religion d’État dès la dynastie Han. Mais qui cohabite sans heurt avec les autres courants de pensées de l’époque : le bouddhisme et le taoïsme.

Les deux sœurs vont choisir d’installer leur héros et ses aventures dans une période charnière de l’histoire du Daï Viet, le XVIIe siècle.

Pendant plus d’un millénaire, le Viêt Nam est une possession de la Chine . C’est dans le contexte de la lutte pour l’indépendance vis-à-vis de la Chine que se forge une conscience nationale Viêt : la nation vietnamienne qui émerge progressivement n’en demeure pas moins marquée par des structures étatiques inspirées de celles de la Chine, et par une culture en grande partie sinisée. En 939, le pays devient indépendant ; le Đại Việtménage cependant ses rapports avec l’empire chinois en continuant de reconnaître sa suzeraineté et en lui payant tribut. Le Đại Việt doit à plusieurs reprises lutter pour conquérir ou défendre son territoire.

De la fin du XVIe à la fin du XVIIIe siècle, le Đại Việt est divisé en deux. Les seigneurs de la famille Trịnh dominent le Nord et ceux de la famille Nguyễn le Sud, tandis que les souverains Lê ne règnent plus que symboliquement. Les Nguyễn finissent par l’emporter et règnent sur le pays, rebaptisé Việt Nam puis Đại Nam, mais connu en Occident sous le nom d’Annam.

C’est aussi, les seigneurs du Sud qui ont permis l’implantation des Français au Vietman, en leur demandant leur aide pour vaincre le Nord.

 A la grande joie des auteurs, la première enquête, Le Temple de la Grue écarlate, est publiée aux éditions Philippe Picquier.

Le Temple de la Grue écarlate : Une enquête du mandarin Tân

Lorsqu’il rejoint son poste, la mandarin impérial Tân subit un assaut de banquets, de conseils et de propositions de mariage tandis qu’on assassine des enfants derrière les résidences des notables corrompus et des prostituées sur des bateaux. Mais le mandarin est aussi détective… Un roman policier situé dans le Vietnam du XVIIe siècle.

L’aventure se poursuit avec la parution en 2000 de L’Ombre du prince, où l’on voit le mandarin Tân résoudre une affaire de meurtres en série dans la capitale Thang Long, l’actuelle Hanoi.

L’Ombre du prince : Une enquête du mandarin Tân

Un an après sa nomination dans une région reculée et désuète au nord du Viêtnam, le mandarin Tân se rend à Thang Long, la capitale de l’Empire, à la recherche de livres qui font défaut à sa province. Mais au lieu de manuscrits, il découvre une série de corps délicatement incisés par une lame artiste, meurtres sanglants qu’il lui faut élucider au plus vite en ce XVIIe siècle troublé par des luttes d’influences entre princes et seigneurs. Curieux voyage à la capitale, où le jeune magistrat est confronté non seulement à la toute-puissance des nobles et à un vol singulier chez les eunuques, mais aussi aux ombres surgies de son propre passé. Le sang versé hier appellerait-il les crimes d’aujourd’hui ? Pour percer à jour les motifs étranges d’un assassin sans pitié, le mandarin Tân devra pousser jusqu’au bout une effroyable logique qui, cette fois-ci, ne le laissera pas intact.

Le troisième volet des enquêtes, La Poudre noire de Maître Hou, est écrit par Thanh-Van à partir d’un scénario élaboré à deux. L’accent est mis sur l’ouverture du pays sur le monde, avec l’arrivée de marchands européens et de jésuites français.

La Poudre noire de Maître Hou : Une enquête du mandarin Tân

 A l’ombre de l’échine minérale du dragon qui sommeille dans la baie d’Ha Long, des cadavres décomposés semblent vouloir prendre part aux affaires des vivants. Un naufrage ressuscite les héros de batailles révolues, tandis que des cimetières subissent des pillages aussi mystérieux que profanateurs. A l’aube de ce XVIIe siècle qui voit le Viêtnam accueillir comptoirs portugais et missions jésuites, le mandarin Tân, épaulé par le fantasque lettré Dinh, doit élucider non seulement ces actes ténébreux mêlant élixirs et poudres taoïstes, mais aussi un meurtre dont les raisons se trouvent cristallisées dans une quête immémoriale.

Magistrat de ce pays sur lequel soufflent les esprits d’anciennes traditions et les nouveaux vents du changement, le mandarin Tân saura-t-il déchiffrer à temps le message prémonitoire d’une femme aimée ?

« Un policier étonnant par la poésie et la sensualité qu’il dégage, ce qui n’enlève rien à l’alchimie particulièrement réussie de l’intrigue. » (Elle)

« Un roman d’énigme très réussi qui mêle allègrement érudition, humour, légendes et pensées de l’Extrême-Orient. »
(Claude Mesplède)

2002, l’année de tous les bonheurs. Thanh-Van embarque dans un rêve vieux d’un siècle : faire le tour du monde. Sac à dos et pataugas. Faune du Kenya et grand rift en Tanzanie. Volcan sacré des Masaï, volcans révérés des Indonésiens, sommets taoïstes en Chine, temples bouddhistes en Corée, Angkor à vélo, déserts boliviens en jeep, chemin de l’Inca à pied, glaciers de l’Alaska à l’aube, sources chaudes du Japon à l’automne, souvenirs du Viêt-Nam à pleurer… Zigzags sur l’Equateur, ciel austral et aurores presque boréales.

Au retour, Thanh-Van signe seule la quatrième aventure du mandarin Tân. Le jeune magistrat retourne au village de son enfance, où de vieux démons reviennent à la vie. L’Aile d’airain est publié en 2003.

L’Aile d’airain : Une enquête du mandarin Tân

Sur cette terre du sud du Viêtnam où génies et fantômes se côtoient, des défunts réclament vengeance tandis que, dans la moiteur de la jungle, une démone à la beauté dévastatrice guette les hommes pour leur faire subir des outrages que la morale réprouve. De retour dans son village natal, le mandarin Tân est lui aussi confronté à ses propres démons : une mort particulièrement atroce le lance sur les traces de l’homme insaisissable qu’il traque depuis son enfance – son père. Un passé entaché de crimes et de trahisons resurgit, alors que se dévoile une vérité au goût de cendres.

Thanh-Van Tran-Nhut signe ici la quatrième enquête du jeune mandarin Tân, dont le dénouement marquera non seulement son existence, mais aussi l’avenir du pays, en ce XVIIe siècle déchiré par les luttes de pouvoir.

La suite des enquêtes est aussi l’œuvre de Thanh-Van : L’Esprit de la renarde paraît en septembre 2005, Les Travers du docteur Porc  en janvier 2007.

L’Esprit de la renarde : Une enquête du mandarin Tân

 

Au monastère de la Tortue Noire, la porte entre le monde des vivants et le royaume des morts s’entrebâille, l’espace d’un instant, pour célébrer la Fête des âmes errantes. Mais les défunts affamés ne sont pas les seuls à se mettre à table, car d’étranges disparitions sont revendiquées par un Gourmet aux appétits cannibales.

Dans le port animé de Faifo, marchands chinois, négociants japonais et aventuriers européens se livrent à de mystérieuses transactions à la lueur de lanternes multicolores. Tel un papillon attiré par le chatoiement des lampions, le lettré Dinh se fait prendre à un piège inextricable.

Alors qu’il tente désespérément de sauver son ami d’une justice expéditive, le mandarin Tân tombe sous le charme d’une ensorcelante femme-renarde, créature de la nuit et gardienne d’un secret. Il lui faudra pourtant recouvrer toute sa lucidité pour venir à bout d’une énigme aux ramifications insoupçonnées.

Avec cette cinquième enquête du mandarin Tân, Thanh-Van Tran-Nhut ressuscite brillamment le Viêt-Nam du XVIIe siècle : « un univers exotique et foisonnant, non sans quelque distance et beaucoup d’humour » (Livres Hebdo).

 

Les Travers du docteur Porc : Une enquête du docteur Porc

Quittant sa province reculée du nord du Vietnam, le mandarin Tân a confié la justice du tribunal au pachydermique docteur Porc. Autoritaire et expéditif, ce dernier ne tarde pas à exposer ses travers quand une découverte macabre l’oblige à fourrer son nez dans la fange d’une histoire ancienne. Affairé, il trottine de sessions d’autopsie en séances de chirurgie esthétique, sans oublier de se régaler au passage d’exquises douceurs fourrées à la viande. Ainsi, ne sacrifiant jamais le lard pour l’art, il mène son enquête avec un flair tout particulier, dans une ville où de vieux cochons se frottent à de jolies cocottes. Artiste du scalpel et virtuose de l’acupuncture, le docteur Porc est aussi un maître de l’interrogatoire : pour que les suspects crachent le morceau, il n’hésite pas à les cuisiner avec des herbes très, très spéciales.

Ce roman de Thanh-Van Tran-Nhut s’inscrit dans la série des enquêtes du mandarin Tân, qui nous plongent avec précision et malice dans le Dai-Viêt du XVIIe siècle.

En 2009, deux nouveaux livres : Le Banquet de la Licorne, septième enquête du mandarin Tân (éditions Philippe Picquier), et Le Palais du Mandarin, un recueil de textes gourmands (NiL éditions).

Le Banquet de la Licorne : Une enquête du mandarin Tân

Au cours d’une nuit d’orage, à la demande du mandarin Tân, l’intendant Hoang organise un banquet, dressant une somptueuse table où défilent canards et tourteaux, tendres gorets et grasses volailles. Festoyant à la lumière des lanternes, un maître des geôles, un percepteur des impôts, une poétesse, un couple d’apothicaires et un tailleur racontent une énigme non résolue de leur passé, tandis que le lettré Dinh et le docteur Porc livrent chacun un épisode mystérieux de leur jeunesse.

Servis dans de la vaisselle en céladon, meurtres, vols et coups bas sont décortiqués à l’aide de baguettes laquées, faisant le délice des convives.

C’est l’heure lumineuse des conteurs, qui donnent voix aux amours défuntes et visage aux héros d’antan. C’est l’heure sombre des aveux masqués et des guets-apens, alors que, dehors, s’amassent les ténèbres d’un monde au bord du chaos.

Avec cette septième enquête du mandarin Tân, Thanh-Van Tran-Nhut nous entraîne dans un Viêt-Nam du XVIIesiècle aux rebondissements pleins de saveurs gourmandes.

 

Le Palais du Mandarin

Voyage culinaire dans le Viêt Nam des années 1960, en Chine, en Amérique et en Europe.

Exotisme et émotion pour cet «Exquis d’écrivains» souriant qui nous emmène du Viêt Nam en Chine, d’Amérique en Europe, et nous propose d’indiscrètes incursions dans les cuisines d’un Extrême-Orient d’hier et d’aujourd’hui. Secrets aphrodisiaques, contes joliment cruels et saynètes pleines de fantaisie… Thanh-Van Tran-Nhut porte un regard tendrement ironique sur le monde des gourmets de tous horizons, sur les étrangetés de la langue culinaire et sait nous amuser pour mieux nous mettre en appétit.

En janvier 2010 sort La Femme dans le miroir (Robert Laffont), une histoire d’obsession et de manipulation qui se déroule à Paris de nos jours.

La Femme dans le miroir

Comment une femme du XVIIe siècle a-t-elle pu servir de modèle à un peintre du XXe ? C’est la question que se pose Adrien, hanté par la mort récente de sa femme, en reconnaissant sur une toile contemporaine le visage qui se reflète dans le miroir d’une vanité peinte trois siècles plus tôt. D’où vient que cette beauté a traversé le temps comme si des artistes n’avaient jamais cessé de l’aimer ?

Devenu malgré lui l’acteur d’une aventure née sous le pinceau d’un maître hollandais, Adrien entreprend une inquiétante enquête où l’histoire des pigments et la magie des alchimistes l’entraînent hors du domaine de la raison et lui ouvrent des portes inattendues.

Aidé par un chercheur lunatique et un thanatopracteur savant, il plonge dans les mystères des passions amoureuses peut-être aussi subtils que ceux de la pierre philosophale, promesse de longue vie. Mais sur le point de percer le secret des tableaux, il comprend soudain que rien dans cette histoire n’est dû au hasard et que les véritables enjeux de cette énigme dépassent le fantasme d’un idéal de beauté.

 

En 2011 paraît Les Corbeaux de la Mi-automne, où d’anciennes légendes refont surface sur fond de tensions entre la Chine et le Dai-Viêt.

Les Corbeaux de la Mi-automne : Une enquête du mandarin Tân

Sous la pleine lune de la Mi-Automne, l’Archer céleste, le génie des Eaux et le lapin apothicaire reviennent fouler la terre des hommes et jouer avec leurs destins. A peine les derniers lampions de la fête éteints, des moines en colère dénoncent la vicieuse dégradation de leurs lieux de culte et de leurs lieux d’aisance, alors que le mandarin Tân s’active à élucider plusieurs morts suspectes, et qu’une femme au charme irrésistible sème la zizanie dans la bourgade.

Entre-temps, espions et aventuriers sillonnent la campagne, ravivant les tensions immémoriales entre le Dai-Viêt et son puissant voisin, l’Empire du Milieu. Des alliances décisives se nouent devant la menace d’une guerre civile : sommé de se rallier au pouvoir corrompu du Nord ou au seigneur félon du Sud, le mandarin Tân doit enfin faire son choix.

Dans cette huitième enquête du mandarin Tân, Thanh-Van Tran-Nhut fait la part belle aux mythes d’Asie, peuplés d’Immortels et de génies, tout en évoquant la longue et tumultueuse histoire qui lie le Viêt-Nam à la Chine.

 

Les livres ont été traduits en italien, en japonais, en espagnol, en russe et en allemand.

 Thanh-Van Tran-Nhut a été la lauréate française 2014 de la résidence d’écrivains Randell Cottage à Wellington, Nouvelle Zélande. Ce voyage l’amennera aussi en Australie et en Polynésie Française et à Tahiti.

En ce moi d’octobre 2017 sort son nouveau roman : Kawekaweau. Ce livre est l’aboutissement de son projet de résidence.

Kawekaweau

Le livre : Kawekaweau  de Thanh-Van Tran-Nhut. Paru le 20 octobre 2017 aux éditions Au Vent des îles.  20€ ; (232 p.) ; 21 x 13 cm

À peine installé au Viêt-Nam avec sa femme, Viktor reçoit un colis de Lucie, son amour de jeunesse, récemment décédée. Elle lui lègue des objets de leur vie commune, mais aussi un ultime défi : résoudre une énigme liée au lézard géant rapporté du Pays du long nuage blanc par un équipage français au XIXe siècle – le mythique kawekaweau marqué d’une malédiction.

Plongé dans le journal d’un célèbre amiral, arpentant les antipodes aux côtés de scientifiques, d’artistes et de matelots, alors que s’ouvre à eux un territoire inconnu, Viktor s’aperçoit qu’entre les lignes du rapport officiel se cache un drame ignoré de tous.

Le portrait d’une jolie Maorie, un fragment de jade vert, des photos d’un monde évanoui… Et si ces objets d’un autre temps recelaient, eux aussi, le dernier message de Lucie à Viktor ?

24 réflexions sur “Thanh Van Tran Nhut à l’honneur #4 – Octobre

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