Voici donc le second avis de la journée de Ge
Et je crois que c’est un coup de coeur
Le livre : Biotope : thriller de David Coulon. Paru le 11 mars 2021 chez Cosmopolite. 19€95. (381 p.) ; 24 x 16 cm
4e de couv :
Réparer des épaves
Il sort de prison. Nous ne connaîtrons jamais son nom. Il a passé huit ans derrière les barreaux pour avoir accidentellement renversé un enfant, alors qu’il conduisait. Maintenant qu’il est libre, la conditionnelle lui permet un emploi d’agent d’accueil dans un garage où on aide les accidentés de la route, les naufragés de la nuit. Une vraie chance pour repartir du bon pied et trouver enfin la rédemption.
Un bunker enfoui sous la terre
Une nuit, derrière le vacarme sourd du garage, un hurlement. Un long hurlement de terreur pure. Puis des vibrations, des coups portés sur une surface dure semblent sortir du sous-sol. Comme si des hommes et des femmes, en proie à la panique, celle de la nuit la plus obscure, étaient enfermés dans un bunker.
La traque de trois enfants disparus
Trois collégiens, dont les avis de recherche sont toujours diffusés, partout, dans la ville. Une ville gangrénée par des monstres en liberté. Une ville dans laquelle cet homme cherche à fuir les démons de son passé.
L’auteur : David Coulon est né en 1974 à Toulon. Il a commencé par écrire des nouvelles, en publier en revue papier (L’ours Polar, Lignes Noires, etc…) et à la radio (RTBF).
Il est actuellement psychologue, metteur en scène de théâtre (compagnies La Fille Du Guignol, et Kopasker), comédien.
Sur son site, vous trouverez quelques uns de ses écrits, mais pas tous, fort heureusement pour votre santé mentale, et la sienne ! Vous trouverez également des infos/actus sur les pièces de théâtre en cours de création, ou en jeu.
Il dirige plusieurs ateliers de théâtre et d’écriture.
Intéressé par les individus en phase de rupture mentale dans un univers social qui les broie, il allie univers très noir et humour.Extraits :
« Personne ne vit avec sa véritable identité. Sinon ça supposerait que l’on soit nous-mêmes, au fond. Sincères au quotidien avec nous-mêmes. Soyons honnêtes, personne ne l’est. Nous sommes tous les pseudonymes de nous-mêmes. Nous sommes tous des imposteurs. »
« On isole les innocents, les faibles, ceux qui craignent pour leur vie ou leur intégrité physique . Et on isole les êtres abominables . C’est ça la prison .
C’est ça , la vie. On ne veut voir ni les plus sensibles ni les monstres . Les deux extrémités de l’humanité. Tout ce qui sort de la norme . »« Je suis une parenthèse dans le monde, un signe typographique insignifiant. Je n’avais rien à faire ici , et on me le faisait comprendre. J’étais une coquille dans un texte , que personne ne devait remarquer. Une faute de frappe. »
Je l’ai beaucoup aimé mais moins que trouble passager.
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Oui je peux comprendre, pour moi les deux sont très très bons ! hihi ;-P
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Une histoire qui parait compliquée, mais sûrement pleine de suspense et d’intérêt.
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Non elle n’est pas si compliquée au final !
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci Françoise
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