Pour les 2 ans de notre blog, je me suis faite curieuse. Oui je sais c’est chez moi une seconde nature dès qu’il s’agit de bouquins.
Alors je vous ai demandé quels étaient pour vous les 10 livres qui vous ont marqué(e) d’une façon ou d’une autre.
Vous avez accepté de jouez le jeu et j’en suis ravie
Voici donc quelques-unes de vos réponses.
Aujourd’hui c’est celle de Yvan
Place à son TOP 10
ET OUI TOUT ARRIVE
Comme je me suis fais harcelé par Geneviève, je me colle aussi à cet exercice de la liste de 10 livres qui ont marqué dans ma vie de lecteur. 10 (ou 13) livres seulement… Le choix d’un jour (le choix d’une vie).
Donc, dans l’ordre alphabétique des auteurs, et avec un petit extrait de ma chronique du livre (quand il y en a une) :
Pierre Bordage – L’ange des abîmes
Cette vision d’apocalypse, post 11 septembre, est proprement glaçante parce que crédible dans son énormité.
Éprouvant, mais tellement prenant !
Cette rencontre de la petite histoire avec la Grande Histoire prend progressivement aux tripes, pour ne plus vous lâcher la dernière page refermée.
Dans une Europe d’apocalypse ruinée par la faillite des OGM, enlisée dans la guerre contre le Moyen-Orient, en proie au fanatisme religieux et au racisme, le voyage initiatique de Stef et Pibe, deux adolescents à la recherche de l’archange Michel, le dictateur tout puissant qui gouverne le vieux continent depuis sa forteresse roumaine. Dans une ambiance crépusculaire fascinante car terriblement proche et crédible, un grand roman épique d’une actualité brûlante.
Elle ne lui avait jamais fourni d’explication sur ses disparitions ni sur ses motivations. Elle se contentait de répéter en riant qu’elle était son ange gardien, qu’elle lui ficherait la paix après avoir parcouru un bout de chemin en sa compagnie. Il ne voulait pas qu’elle sorte de sa vie. Un jour pourtant, elle se tirerait parce que « chacun doit descendre seul dans les abîmes de son âme, chacun doit apprendre à se dresser vers les cieux sans autre soutien que ses propres racines. »
Le lien vers la chronique de L’ange des âbimes
Emma Donoghue – Room
L’auteure a réussi à retranscrire tellement d’émotions différentes avec ce sujet « casse gueule », que j’en reste encore baba…
Tenir 400 pages avec une telle histoire, sans jamais faillir, avec une idée lumineuse par paragraphe et une imagination et une sensibilité aussi débordante, tient de l’exploit.
Le petit Jack est sans conteste parmi les personnages les plus forts que j’ai pu côtoyer durant mes lectures. Un petit homme que je n’oublierai jamais.
Sur le point de fêter ses cinq ans, Jack a les préoccupations des petits garçons de son âge. Ou presque. Il ne pense qu’à jouer et à essayer de comprendre le monde qui l’entoure, comptant sur sa mère pour répondre à toutes ses questions. Celle-ci occupe dans sa vie une place immense, d’autant plus qu’il vit seul avec elle dans la même pièce, depuis sa naissance. Il y a bien les visites du Grand Méchant Nick, mais la mère fait tout pour éviter à Jack le moindre contact avec ce personnage. Jusqu’au jour où elle réalise que l’enfant grandit, et qu’elle ne pourra pas continuer longtemps à entretenir l’illusion d’une vie ordinaire. Elle va alors tout risquer pour permettre à Jack de s’enfuir.
Mais réussira-t-il à trouver des repères loin de leur univers ? Quel accueil lui réservera le monde extérieur, à lui, l’enfant né de la captivité ?
Room interroge la capacité de survie qui existe en chacun de nous, tout en célébrant la puissance du langage et de la littérature.
Le lien vers la chroniques de Room
Ken Grimwood – Replay
J’aimerais vous dire tant de choses, vous crier encore plus fort mon amour pour les mots de Ken Grimwood, mais mes propos me semblent tous bien fades face à la puissance des émotions que peut procurer cette lecture. Ce livre a changé la vie de pas mal de monde, il n’est rien besoin de rajouter.
Je l’ai lu la première fois quand j’avais vingt ans et il a complètement modifié ma perception du monde et de mon futur. Je l’ai relu à trente ans et il m’a empli de questionnements. Je viens de le relire (largement) passé quarante ans et il m’a fait jeter un regard lucide sur mon passé. Si à cinquante ans tu n’as pas lu Replay, c’est que tu as raté ta vie ;-).
En ce 18 octobre 1988, Jeff Winston se trouve dans son bureau new-yorkais, et écoute sa femme lui répéter au téléphone : « Il nous faut, il nous faut… » Il leur faudrait, bien sûr, un enfant, une maison plus confortable. Mais surtout parler. A coeur ouvert. Sur ce, Jeff meurt d’une crise cardiaque. Il se réveille en 1963, à l’âge de dix-huit ans, dans son ancienne chambre d’université. Va-t-il connaître le même avenir? Non, car ses souvenirs sont intacts. Il sait qui va gagner le prochain Derby, et ce qu’il en sera d’IBM et d’Apple… De quoi devenir l’homme le plus puissant du monde, jusqu’à… sa deuxième mort, et qu’une troisième, puis une quatrième vie commencent…
El vous, si vous pouviez recommencer votre vie, que changeriez-vous ?
La lien vers la chronique de Replay
Glen David Gold – Carter contre le diable
Approchez-vous Mesdames et Messieurs et installez-vous confortablement. Le rideau va bientôt s’ouvrir sur le spectacle de Carter le Grand, le magicien !
Il y a des livres qui touchent directement votre âme… cette partie de votre âme qui est encore capable de s’émerveiller.
Carter contre le diable est de ceux-là. Ce n’est pas qu’un simple livre, il est un peu magique. A l’image de son sujet (l’histoire très romancée d’un magicien dans les années 20), il fait appel à notre capacité d’éblouissement et d’optimisme d’une manière incroyablement touchante et ludique.
Entrez dans un monde où tout est illusion.
1920, San Francisco. Carter le Grand, l’un des prestidigitateurs les plus célèbres du pays, donne ce soir-là un spectacle exceptionnel devant le président des États-Unis, Warren G. Harding, qu’il invite sur scène pour participer à l’un de ses stupéfiants numéros. La représentation est un triomphe mais, quelques heures plus tard, le président meurt mystérieusement dans sa chambre d’hôtel. Sachant qu’il va être suspecté, Carter disparaît afin de mener sa propre enquête. Aurait-il eu des raisons de se débarrasser du locataire de la Maison Blanche ? L’agent Griffin, des services secrets, se lance alors à ses trousses. Mais affronter un génie du trompe-l’œil et de l’illusion tel que Carter ne va pas être chose aisée.
Avec cette formidable histoire de manipulations basée sur des personnages ayant réellement existé, Glen David Gold nous donne à la fois un palpitant thriller historique dans lequel tous les tours sont permis, et un portrait magistral de l’Amérique des années 1920.
Le lien vers l’article sur Carter contre le diable
Franck Herbert – Dune
Le livre qui a tout changé. Il y a un avant et un après. J’étais en classe de troisième, j’ai galéré à le lire mais il m’a ouvert les portes vers un univers infini. Cet univers de la lecture et de l’imaginaire.
Il n’y a pas, dans tout l’Empire, de planète plus inhospitalière que Dune. Partout des sables à perte de vue. Une seule richesse : l’épice de longue vie, née du désert, et que tout l’univers convoite.
Quand Leto Atréides reçoit Dune en fief, il flaire le piège. Il aura besoin des guerriers Fremen qui, réfugiés au fond du désert, se sont adaptés à une vie très dure en préservant leur liberté, leurs coutumes et leur foi. Ils rêvent du prophète qui proclamera la guerre sainte et changera le cours de l’histoire.
Cependant, les Révérendes Mères du Bene Gesserit poursuivent leur programme millénaire de sélection génétique : elles veulent créer un homme qui réunira tous les dons latents de l’espèce. Le Messie des Fremen est-il déjà né dans l’Empire ?
L’auteur a brossé une immense fresque, qui, par l’intensité dramatique, le foisonnement des personnages, la précision des détails, est digne des grands chefs-d’oeuvre du roman historique classique.
Stephen King – 22/11/63 ( et Ça – Simetierre – Misery…)
Vous êtes fan du King, jetez vous là-dessus.
Vous ne connaissez pas le King, jetez vous là-dessus.
Vous n’êtes pas friand de science-fiction, ça tombe bien ce roman n’en n’est pas vraiment un, donc jetez vous là-dessus.
Vous êtes fan de SF, ce n’est peut-être pas le sujet principal, mais ça vous parlera tout de même, donc jetez vous là-dessus.
Vous aimez les longs romans, jetez vous là-dessus.
Vous prenez un peu peur devant la taille de celui-ci, mais je vous le dis : vous n’avez rien de mieux à lire, donc jetez vous là-dessus.
S’il ne devait en rester qu’un, ce serait celui-ci (et Replay… non je ne peux pas choisir entre les deux…)
Imaginez que vous puissiez remonter le temps, changer le cours de l’histoire. Le 22 novembre 1963, le président Kennedy était assassiné à Dallas. À moins que…
Jake Epping, professeur d’anglais à Lisbon Falls, n’a pu refuser d’accéder à la requête d’un ami mourant : empêcher l’assassinat de Kennedy. Une fissure dans le temps va l’entraîner dans un fascinant voyage dans le passé, en 1958, l’époque d’Elvis et de JFK, des Plymouth Fury et des Everly Brothers, d’un taré solitaire nommé Lee Harvey Oswald et d’une jolie bibliothécaire qui deviendra le grand amour de Jake, un amour qui transgresse toutes les lois du temps.
Avec une extraordinaire énergie créatrice, King revisite au travers d’un suspense vertigineux l’Amérique du baby-boom, des « happy days » et du rock and roll.
Ici l’avis d’Yvan sur 22/11/63
Henri Loevenbruck – Nous rêvions juste de liberté
Henri Loevenbruck a fait tellement fort avec ce roman que ça tient presque du miracle. Au début ça saigne à cause de la baston, à la fin c’est ton cœur qui saigne et y a pas beaucoup d’auteurs qui arrivent à te faire ressentir ça. C’est un putain de magicien des émotions le Loevenbruck, moi je dis. Ride like the wind, c’est pas du vent !
« Nous avions à peine vingt ans et nous rêvions juste de liberté. » Ce rêve, la bande d’Hugo va l’exaucer en fuyant la petite ville de Providence pour traverser le pays à moto. Ensemble, ils vont former un clan où l’indépendance et l’amitié règnent en maîtres. Ensemble ils vont, pour le meilleur et pour le pire, découvrir que la liberté se paie cher.
Nous rêvions juste de liberté réussit le tour de force d’être à la fois un roman initiatique, une fable sur l’amitié en même temps que le récit d’une aventure. Avec ce livre d’un nouveau genre, Henri Loevenbruck met toute la vitalité de son écriture au service de ce road-movie fraternel et exalté.
Nous révions juste de liberté, la chronique
Marcus Malte – Le garçon
Marcus Malte est un immense écrivain. Ce roman, qui nous touche par la candeur de son héros tout autant que par la beauté et le carnage des émotions qu’il vit, restera une lecture inoubliable. Le genre de livre qui marque un lecteur profondément, intensément, durablement.
Juste indispensable.
Il n’a pas de nom. Il ne parle pas. Le garçon est un être quasi sauvage, né dans une contrée aride du sud de la France. Du monde, il ne connaît que sa mère et les alentours de leur cabane. Nous sommes en 1908 quand il se met en chemin – d’instinct. Alors commence la rencontre avec les hommes : les habitants d’un hameau perdu, Brabek l’ogre des Carpates, philosophe et lutteur de foire, l’amour combien charnel avec Emma, mélomane lumineuse, à la fois sœur, amante, mère. « C’est un temps où le garçon commence à entrevoir de quoi pourrait bien être, hélas, constituée l’existence : nombre de ravages et quelques ravissements. » Puis la guerre, l’effroyable carnage, paroxysme de la folie des hommes et de ce que l’on nomme la civilisation. Itinéraire d’une âme neuve qui s’éveille à la conscience au gré du hasard et de quelques nécessités, ponctué des petits et grands soubresauts de l’Histoire, le Garçon est à sa façon singulière, radicale, drôle, grave, l’immense roman de l’épreuve du monde. Marcus Malte est né en 1967 à la Seyne-sur-Mer. Il est l’auteur de plusieurs romans et recueils de nouvelles dont Garden of Love (récompensé par une dizaine de prix littéraires, notamment le Grand Prix des lectrices de Elle, catégorie policier) et, plus récemment, les Harmoniques.
La chronique sur Le garçon
Maud Mayeras – Reflex
Ce livre vibre entre vos mains (ou alors sont-ce vos mains qui tremblent ?), doué d’une vie propre. Votre cœur pulse de plus en plus vite à longueur de pages (ou est-ce le livre qui s’anime de lui même ?), jusqu’au long final qui vous laissera exsangue.
Je ne me souviens pas avoir lu un roman aussi lentement, cherchant mon souffle à chaque réplique, m’extasiant devant la forme et le fond, dégustant la prose de cette auteure incroyable.
Une véritable expérience sensorielle, une lecture organique entre ténèbres et lumière, du genre de celle qui vous marque au fer rouge pour très longtemps.
Iris Baudry est photographe de l’identité judiciaire. Disponible nuit et jour, elle est appelée sur des scènes de crime pour immortaliser les corps martyrisés des victimes. Iris est discrète, obsessionnelle, déterminée. Elle shoote en rafales des cadavres pour oublier celui de son fils, sauvagement assassiné onze ans auparavant.
Mais une nouvelle affaire va la ramener au coeur de son cauchemar : dans cette ville maudite où son fils a disparu, là où son croque-mitaine de mère garde quelques hideux secrets enfouis dans sa démence, là ou sévit un tueur en série dont la façon d’écorcher ses victimes en rappelle une autre.
La canicule assèche la ville, détrempe les corps et échauffe les esprits, les monstres se révèlent et le brasier qu’Iris croyait éteint va s’enflammer à nouveau dans l’objectif de son reflex.
Reflex, le billet
Robert Charles Wilson – Julian
Cette quête initiatique est une véritable réflexion politique, environnementale et religieuse. Mais, la grande force du récit est, qu’à aucun moment, il ne tombe dans un coté moralisateur « premier degré » et privilégie toujours l’aventure (et quelle riche aventure !).
J’ai été bouleversé par cette capacité à me faire vivre une vraie aventure, différente, parfaitement maîtrisée, au message écologique, de tolérance et d’humanisme tellement fort.
Apostat. Fugitif. Conquérant.
Il s’appelle Julian Comstock ; il est le neveu du président des États-Unis.
Son père, le général Bryce Comstock, a été pendu pour trahison (on murmure qu’il était innocent de ce crime).
Julian est né dans une Amérique à jamais privée de pétrole, une Amérique étendue à soixante États, tenue de main de maître par l’Église du Dominion. Un pays en ruine, exsangue, en guerre au Labrador contre les forces mitteleuropéennes. Un combat acharné pour exploiter les ultimes ressources naturelles nord-américaines.
On le connaît désormais sous le nom de Julian l’agnostique ou (comme son oncle) de Julian le Conquérant.
Ceci est l’histoire de ce qu’il a cru bon et juste, l’histoire de ses victoires et défaites, militaires et politiques.
Fresque post-apocalyptique, western du XXIIe siècle, fulgurant hommage à l’ oeuvre de Mark Twain, Julian est le plus atypique des romans de Robert Charles Wilson. Une réussite majeure et une critique sans concession des politiques environnementales actuelles.
La chronique d’Yvan sur Julian
Il me faut remercier comme il se doit mon ami Yvan d’avoir bien voulu se prêter au jeu.
Je sais qu’il t’en coûte mon ami. Alors je n’en suis que plus touchée.
Ah les choix d’Yvan !!
J’en ai noté quelques uns, lus d’autres !
Toujours un goût sur !!
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Et oui ma Kris, Yvan est notre prescripteur number one ! 🙂
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Et MA référence !! Ou préférence … je sais’pas … 😉😉😉
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Moi je sais, nanana ! 😉 😛
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Julian, c’est le prénom de mon dernier gremlins ❤ Quelle belle liste, certains sont lus, d’autres prévus. Quoi qu’il en soit Yvan reste un de mes tentateurs 😉
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Et comme je te comprends ma Mélie, il est terrible notre tentateur ! Vive Yvan !!! 😉 🙂
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Je t’ai déjà conseillé un livre avec une Mélie, je veux bien le faire avec un Julian 😉
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Tu peux tout, t’es trop fort toi sire Yvan ! 🙂
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Putain, tu présentation pour le livre du King mériterait d’être reprise dessus ! Un argument de vente choc ! Encore un peu, je me laissais avoir, alors que je l’ai lu… Je ne suis pas d’accord avec toi pour un seul titre « Dune », autant le premier, ça va, autant le second aussi, je te raconte pas le 3ème !!!
Julian, pas encore lu… bien des autres furent lus à cause ou grâce à toi 😉 Merci pour la liste, j’aurais pu la faire à ta place car je me doutais de QUI je trouverais dedans 😉
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Oui, King devrait enployer Yvan à sa com. en France ! 😉
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Je vais lui en parler lorsque je boirai un café avec lui… Avec le King, hein, Yvan ne boit pas de café, lui.. 😀
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Moi non plus je bois pas de café !
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Oh mon dieu ! Mais putain, à part ma binômette, y’a personne qui boit du café ici ????? 😀
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Oh mon dieu, te voilà bien !
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Tout à fait, me voilà bien…
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Mais alors, tu es vraiment bien là ! ou bien ?
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Il n’a pas besoin de moi 😉
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C’est quand m^me toi qui m’a fait relire King ! Si, si !!!
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Ahah c’est trop fort alors 😉
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Tu vois ! T’es trop fort !
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Héhé, je connaissais cette liste!!!!!;) On commence à bien les connaitre nos copains de blogs!!!!;)
Tu m’as fait mourir de rire pour la présentation de celui du King!!!!;)
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C’est déjà ça eheh 😉
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Et en plus tu fais le modeste ! 😉
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ah le King, il est de tout les coups !
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Ouais c’est fou ça!!!!;) Il est trop fort!!!;)
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Un vrai gourou des lecteurs ! 😉
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C’est un honneur, ma Geneviève 😉
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Et c’est aussi un honneur pour moi de te recevoir ici, mon ami ! 😉
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