Le livre : Le glas de l’innocence de Cyril Carrère. Paru le 14 août 2018 aux éditions Le Lys Bleu . 21,40 € ; (356 p.) ; 15 x 21 cm.
(Attention, le livre n’est plus inscrit dans le catalogue de cet éditeur, pour le commander il faut passer par l’auteur)
4ème de couverture :
Okinawa, 1993 – Un jeune garçon subit au quotidien les accès de violence de son père. Au plus fort d’une enfance chaotique et solitaire, il noue une amitié solide avec une camarade de classe.
Mais l’horreur l’attend au tournant …
Tokyo, 2017 – Une série de meurtres dans le quartier cossu de Meguro place l’inspecteur Alex Nakayama dans une situation désespérée. Son excentrique mais talentueux assistant Hayato Ishida le supplée et va apprendre à ses dépens que les masques de la société japonaise renferment parfois de lourds secrets… Entre déni et suspicion, le cauchemar ne fait que commencer.
L’auteur : Né en 1983, Cyril Carrère partage sa vie entre la France et le Japon où il vit depuis 2018. Pharmacologue de formation, Cyril a travaillé dans l’industrie pharmaceutique pendant 7 ans, avant de devenir chef de projet de développement d’applications dans le secteur scientifique et auto-entrepreneur.
Passionné de littérature, de culture et de voyages, il est l’auteur du Glas de l’innocence (finaliste prix Fyctia) et du très remarqué Grand Froid (finaliste prix VSD-RTL), plébiscité par le public.
Cyril Carrère signe chez Cosmopolis en juin 2019.
Extrait :
« Hayato dressa un portrait d’Alex et se mit à relater les faits autant que possible, au vu de la situation inconfortable dans laquelle il se trouvait. Eiko prenait un malin plaisir à le sonder, les yeux comme deux gros projecteurs braqués sur lui. Il détestait cette atmosphère confinée qu’il ne contrôlait pas. Il aurait préféré prendre seul ses quartiers dans cette salle, les pieds sur la table, avec un bon stock d’onigiri et de poulet frit, à se concentrer sur l’essentiel : Alex.
Au lieu de ça, il se retrouvait en cage avec une femme à la voix suave et au parfum troublant, pour ne pas dire dérangeant. Une profileuse assez compétente pour bosser au PSB à vingt-sept ans et qui analysait chaque mot, chaque intonation de ce qui sortait de sa bouche.»
[…] Le glas de l’innocence de Cyril Carrère — Collectif polar : chronique de nuit […]
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merci pour le lien et le partage 🙂
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Il est dans ma pal merci isa !
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Merci Nathalie ! 😁
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Alors ça, ça donne envie !
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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merci Rocafort ! 🙂
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